qsparis [licensed for non-commercial use only] / FrontPage 18 vidéos sur les nouvelles pédagogies Deuxième Edition du #QS Paris: la température monte Lundi se tenait à La Cantine la deuxième édition du Quantified Self Paris (#QSparis) 4 mois seulement après le tout premier évènement en français. Je ne reviens pas ici sur le principe de la mesure et du suivi des activités personnelles déjà abordé dans le précédent billet.So what’s up depuis l’été: Tout d’abord la poursuite du projet de Denis Harscoat (ex-Quantter) qui devient DidTH_is et dont la mission est de permettre de tagger et quantifier tout type d’action. DidTH_Is est donc définitivement "action centric" et veut s’imposer comme le flux d’activité personnelle pour les "actions effectuées" sur le modèle d’Instagram pour la photo [ils partagent d'ailleurs le même défaut, être présent uniquement sur l'Appstort :-) ]. L’appli est dispo mais toujours en développement, toute comme la communauté. Illustration de points accumulés avec Earndit Like this: J'aime chargement…
les théories de motivation L¶origineL¶originedesdes théoriesthéoriesde la Motivationde la Motivation Les théories des besoinsLes théories des besoins nous avons des nous avons desbesoins et pour les satisfaire, nous déclenchonsbesoins et pour les satisfaire, nous déclenchonsdes comportements motivés.des comportements motivés. Les théories du renforcementLes théories du renforcement nos noscomportements sont contrôlés par leurscomportements sont contrôlés par leursconséquences, et non pas par des phénomènesconséquences, et non pas par des phénomènesinternes, tels que les besoins, attitudes, lesinternes, tels que les besoins, attitudes, lesvaleurs, l¶instinct, etc..valeurs, l¶instinct, etc.. haque théorie s¶appuie sur une perspective et un haque théorie s¶appuie sur une perspective et unensemble de postulats qui lui sont propre.ensemble de postulats qui lui sont propre.
Quantified Self Guide Digifit The Digifit ecosystem is a full suite of Apple apps that records heart rate, pace, speed, cadence, and power of your running, cycling and other athletic endeavors. Data can be uploaded to the well established training sites Training Peaks and New Leaf. The ecosystem is is split up into the Digifit™, iCardio™, iRunner™, iBiker™, iSpinner™ and iPower™ apps. To utilize the full functionality of the app you must purchase the Digifit Connect ANT+ dongle and and the purchase of an advanced functionality App. URL: Évolution de la notion d'apprentissage expérientiel en éducation des adultes: vingt-cinq ans de recherche | Érudit | Revue des sciences de l'éducation v26 n2 2000, p. 263-286 | Introduction Depuis la première moitié du XXe siècle, l'éducation des adultes a entraîné dans son sillage de nombreux courants de recherche. L'andragogie, l'alphabétisation, la formation continue, l'apprentissage au travail en sont quelques-uns à l'intérieur desquels, par filiation, d'autres champs se sont montrés particulièrement actifs et novateurs. Cet article se propose de diriger l'attention sur la marque croissante qu'imprime l'expérience au fil des années dans le discours de l'éducation et en particulier de l'éducation des adultes. Dans ce texte, nous retiendrons les auteurs anglo-saxons qui, en explorant le processus d'experiential learning, auront tenté du même coup de faire avancer la notion même d'apprentissage. Figure 1 La galaxie de l'experiential learning : les principaux auteurs Les pères fondateurs John Dewey et la pensée progressiste Eduard Lindeman et le changement social Malcolm Knowles et l'apprentissage de l'adulte La fin des années soixante: l'émergence du concept
Quantified Self (3/3) : Les tabous de la mesure Par Hubert Guillaud le 15/12/11 | 6 commentaires | 2,785 lectures | Impression L’une des limites du Quantified Self demeure trop souvent, de rester focaliser sur la santé et le sport, notamment parce que les deux secteurs permettent d’enregistrer des données “objectives” : vitesse de course, pulsation cardiaque, localisation, prise médicamenteuse… sont autant d’actions concrètes facilement révélables par les chiffres. En ce sens, le QS demeure une mesure de la performance et de l’amélioration, même si pour cela elle observe également la maladie, la faiblesse et la dégradation. Pour s’étendre, le mouvement doit certainement chercher à dépasser ses limites originelles pour introduire la mesure dans d’autres domaines que le seul domaine du soin de soi. Mais en même temps, quand il lui arrive de glisser sur d’autres thématiques, il révèle vite ses limites et ses tabous. Peut-on tout mesurer de soi ? Peut-on tout mesurer de soi ? Comment alors parvenir à les contourner ? Hubert Guillaud
Principes Théoriques des Arbres de Connaissances® - Informations sur les arbres de connaissances Le concept des " Arbres de Connaissances " a été élaboré en novembre et décembre 1991. Les principes sous-jacents à cette élaboration sont à la fois mathématiques, philosophiques et sociologiques. Il n’y a aucune raison de penser que l’une de ces trois dimensions a été plus importante que les deux autres. Chaque évolution dans l’une a permis ou suscité des avancées dans les autres. Face au développement de plus en plus sophistiqué des techniques d’analyse de données, notre démarche met en avant la nécessité d’une technique de synthèse de données pour faire émerger de la connaissance, du sens, d’un ensemble d’informations complexes. Cette démarche, qui vise à instrumentaliser la maîtrise de la complexité, nécessite l’implication de l’utilisateur (théorie moderne de l’observateur). Le problème Les solutions mathématiques sous-jacentes aux algorithmes proposés par TriVium dans Gingo sont liées au problème très général suivant. Statistique Théorie des jeux Principe d’optimisation Commentaires
Quantified Self (2/3) : Des outils au service de soi Par Hubert Guillaud le 08/12/11 | 7 commentaires | 4,199 lectures | Impression La communauté des quantifiés n’est pas composée que de personnes sensibles à leurs propres mesures. Elle est aussi composée de geeks, de bidouilleurs, de développeurs, d’artisans, de makers, de start-upers et d’industriels qui bricolent ou codent des outils et des services pour faciliter la mesure. Des gens qui, partant le plus souvent de leurs propres besoins, développent des applications ou des prototypes, qu’ils ne cessent de perfectionner, espérant trouver le produit ou le service qui sera adopté par le plus grand nombre, qui fera passer le mouvement de la mesure de la niche des passionnés au plus grand public. Les applications sportives ou de santé ne manquent pas. Reste à trouver le capteur et l’interface qui séduira le plus grand public. La longue traine des outils Image : Rain Ashford sur la scène de la conférence Quantified Self Europe photographiée par Sebastiaan ter Burg. Le Graal de l’agrégation
Quantified Self (1/3) : Mettre l’informatique au service du corps Assister à une conférence du Quantifed Self (QS), comme c’était le cas de cette première édition européenne, qui se tenait à Amsterdam, c’est faire l’expérience étrange d’être parmi des gens obnubilés par la mesure de soi et qui interrogent sans cesse ce qu’ils mesurent d’eux-mêmes. C’est être confronté à une multitude de personnes – les « quantifiés » – qui part leurs pratiques mêmes, semblent se distinguer du commun des mortels : « Nous ne sommes pas comme les autres personnes » reconnaissait Gary Wolf en introduction de ces deux jours. Bardés d’outils, d’applications, de techniques de soi et de méthodes, que bien souvent ils inventent en faisant, ces cobayes d’eux-mêmes vous font entrer dans le monde étrange d’une pratique réflexive sur soi-même, visant à faire sens d’une accumulation de données et de chiffres. Comme le faisait remarquer Gary Wolf, le QS vise à « utiliser l’informatique utilement ». C’est un processus actif de réflexivité qui mêle informatique et données.
Vers des “produits de données” Pour O’Reilly Radar, Mike Loukides, a publié un court rapport sur la nature de ce qu’il appelle les « produits de données » où il tente de dresser une esquisse d’une taxonomie des services imaginables depuis ce que produisent les données. La science des données explique-t-il, est en train de donner naissance à de nouveaux types de produits qu’on n’imaginait pas il y a encore quelques années. En fait, les données sont en train de devenir des produits, que ce soit des produits liés aux données elles-mêmes (des données de transports ou de trafic par exemple qui deviennent des services en tant que tels), ou des produits liés à l’activation des données par les utilisateurs (par exemple les produits liés au Quantified Self). Les données font naître de nouveaux types de produits Nous commençons à nous habituer aux produits virtuels à mesure qu’ils remplacent les produits physiques, explique Mike Loukides. Pour Mike Loukides, il existe néanmoins d’autres formes de livrables.
Et si le rapport de force Marque Conso évoluait Au début de cette semaine, Marine Catalan, Directrice du planning stratégique Plan.Net, écrivait un article très intéressant, intitulé “Consumer empowerment, la révolution en marche” , sur le nouveau statut des marques vis-à-vis de leurs consommateurs dû à l’évolution du consommateur et de son environnement. Ainsi, dans cet article, l’auteur défend le fait que le consommateur a évolué, délaissant le “consommacteur ” pour laisser davantage s’exprimer l’acteur qui est en lui et qui le pousse à vouloir les jouer les premiers rôles dans sa relation avec une marque. Participer, collaborer à l’élaboration d’une campagne ou encore d’un produit voire même à la stratégie d’une marque représentent les ambitions de ces nouveaux consommateurs qui ont donc pris la pouvoir. Il s’agit donc d’un ” empowered consumer ” qui entre directement en interaction avec la marque. Concretement, ce concept est mis en application par le gouvernement britannique et une communauté de chercheurs, développeurs.
Les limites de la mesure de soi Kevin Kelly, cofondateur du Quantified Self a prononcé la conférence de clôture de la première édition de la conférence sur la quantification de soi qui se tenait la semaine dernière à Mountain View en Californie, permettant, comme le dit Ethan Zuckerman qui en rapportait les propos, d’offrir un contexte pour comprendre les propos échangés pendant deux jours. Pour Kevin Kelly, auteur de What technology Wants (Ce que veut la technologie), la quantification de soi fait partie d’une tendance plus large vers laquelle nous allons. Cette tendance plus large consiste à être à l’écoute de la technologie, parce que « la technologie nous dit où elle va ». La quantité d’information ne cesse d’augmenter, plus rapidement que tout ce que nous faisons. Image : Gary Wolf et Kevin Kelly sur la scène de la première édition de la conférence Quantified Self, photographiés par Marc Smith. Nous n’échapperons pas au Lifestream « Nous ne voulons pas moins de données, nous voulons une plus grande symétrie »
Le phénomène du Self-tracking (Quantified Self) au Web-In 2011 J'ai eu l'occasion de présenter une courte conférence lors du Web-In 2011 sur la thématique du Self-tracking (Quantified Self). Web-In veut stimuler les artisans de l’industrie à innover et à réinventer le Web de demain. Web-In vise carrément à amener ses participants à aller au-devant des constats, voir même à sortir de leurs zones de confort et à remettre en questions leurs certitudes. Web-In est organisé par Alliance numérique, le réseau d’affaires de l’industrie des nouveaux médias et des contenus numériques interactifs du Québec, dans le cadre de MTL DGTL. Malgré une petite salle, beaucoup de sujets, plusieurs façons de le présenter, plein de gens curieux. Les vidéos de la journée seront disponible sous-peu. Voici la vidéo : LE PHÉNOMÈNE DU SELFTRACKING from Alliance numérique on Vimeo. Je vous invite à visionner l'ensemble des présentations du Web-In 2011 en vidéo. Voici ma présentation : Quelques articles post-évènement : Mention spéciale pour la performance de Alexandre Enkerli !