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Zbigniew Brzeziński

Zbigniew Brzeziński
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Zbigniew Brzeziński Zbigniew Brzeziński le 14 mars 1977. Biographie[modifier | modifier le code] Origines et éducation[modifier | modifier le code] Début de carrière[modifier | modifier le code] Auteur de plusieurs études et analyses sur le bouleversement et le rôle des États-Unis dans le monde, il devient conseiller politique au Département d'État de 1966 à 1968. Dans Between Two Ages: America's Role in the Technetronic Era (1970), il affirme qu'une politique de coopération plus étroite entre les pays riches est nécessaire pour prévenir l'instabilité globale émergeant de l'accroissement des inégalités. Il cofonde alors, avec le multi-milliardaire David Rockefeller, la commission Trilatérale en 1973, qu'il dirige jusqu'en 1976. Conseiller de Carter[modifier | modifier le code] Brzeziński voyage aussi à Pékin en 1978 afin d'amorcer la normalisation des relations sino-américaines, prolongeant ainsi la diplomatie du ping-pong initiée par Nixon.

Samuel Huntington Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Samuel Phillips Huntington, (, New York - , Martha's Vineyard, Massachusetts), est un professeur américain de science politique auteur d'un livre intitulé Le Choc des civilisations. Biographie[modifier | modifier le code] Ses livres les plus connus dans le monde francophone sont Le Choc des civilisations, traduit en trente-neuf langues et objet de nombreuses controverses, et Qui sommes-nous ? Le Choc des civilisations[modifier | modifier le code] Le Choc des civilisations est issu d'un article, « The Clash of Civilizations » publié à l'été 1993 par la revue Foreign Affairs et inspiré de l'ouvrage de l'historien français Fernand Braudel Grammaire des civilisations (1987). D'après lui, les relations internationales vont désormais s'inscrire dans un nouveau contexte. En effet, les opinions publiques et les dirigeants seraient nettement plus enclins à soutenir ou à coopérer avec un pays, une organisation proche culturellement. Qui sommes-nous ?

L'escroquerie de la VIe République : décryptage Pour bien comprendre à quel point M.Mélenchon se moque des Français avec son projet de "VIe République", j'invite les lecteurs à visionner :soit un extrait de 9 minutes tirées de ma conférence "Mais où est passée la République française ?", spécialement sélectionné par notre militant Cyril Carbonnel : si possible toute ma conférence, qui peut être regardée ici : ------------------------------------------------------------------------------LES PROBLÈMES DE LA FRANCE NE VIENNENT PAS DE LA CONSTITUTION DE LA Ve RÉPUBLIQUE.ILS VIENNENT AU CONTRAIRE DU FAIT QUE CETTE CONSTITUTION EST VIOLÉE DANS SES PRINCIPES LES PLUS FONDAMENTAUX Contrairement à ce qu'affirme M. Reprenons en effet quelques-uns des principaux articles de notre actuelle Constitution : -----------------------ARTICLE PREMIER. M. --------------ARTICLE 2. A ce propos, on ne peut que regretter le silence de M. --------------ARTICLE 3.

1973 - Commission Trilatérale Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Fondation[modifier | modifier le code] L’idée de la création de cette organisation fut initialement émise en juin 1972 par David Rockefeller, lequel fut rapidement rejoint par Zbigniew Brzezinski. La Commission Trilatérale fut officiellement créée à Tokyo le 1er juillet 1973. À cette époque, le leadership mondial des États-Unis commençait à être fragilisé dans le secteur industriel et commercial par les performances de l’Allemagne et du Japon, l’idée était de substituer à la direction américaine un partenariat trilatéral[1]. Dans sa brochure "Présentation de la Trilatérale par la Trilatérale" émise en 1977, la Commission se définit elle-même comme « une organisation orientée vers la prise de décision » entre les « démocraties industrielles », définies comme « une communauté ayant son identité propre et constituant un enjeu vital ». Répartition des sièges[modifier | modifier le code] Le groupe européen[modifier | modifier le code]

Henry Kissinger Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Henry Kissinger, né Heinz Alfred Kissinger ([haɪnts ˈalfʁɛt ˈkɪsɪŋɐ]) le à Fürth en Allemagne, est un politologue et diplomate américain. Juif et allemand de naissance, il émigre aux États-Unis en 1938 pour fuir les persécutions nazies et est naturalisé en 1943. Henry Kissinger est avec le milliardaire David Rockfeller et Zbigniew Brzezinski, un des membres importants de la commission trilatérale, un groupe regroupant les hommes d'affaires et les politiciens les plus influents au monde, et visant à favoriser la doctrine mondialiste [1],[2],[3],[4]. Il est actuellement président de Kissinger Associates dont il est également le fondateur. Biographie[modifier | modifier le code] Enfance et éducation[modifier | modifier le code] Henry Kissinger est né en Bavière à Fürth, dont il est plus tard devenu citoyen d'honneur, dans une famille juive allemande[5]. Expérience militaire[modifier | modifier le code] Dans son livre Les Crimes de M. 1957.

Pierre Salinger Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Salinger. Pierre Salinger Biographie[modifier | modifier le code] Pierre Salinger fait la guerre dans la marine puis débute en 1955 une longue carrière de 40 ans de journaliste, en commençant au San Francisco Chronicle. Il devient alors sénateur par intérim pendant une courte période. En 1968, il dirigera la campagne à la présidence de Robert Kennedy. Bilingue, Pierre Salinger fut aussi grand reporter à l'hebdomadaire français L'Express entre 1973 et 1978. Son nom a été donné aux États-Unis au syndrome de croire tout ce que l'on peut lire sur internet, le « syndrome Pierre Salinger », car lors du crash du Vol 800 TWA en 1996, il avait annoncé que les services secrets français lui avaient communiqué des documents prouvant que l'US Navy était à l'origine du crash. Il a également travaillé pour la communication du président du Gabon, Omar Bongo [réf. souhaitée]. Bibliographie partielle[modifier | modifier le code]

Mélenchon et Maastricht Extrait de la séance du 9 juin 1992 au Sénat : Quelques jours auparavant, le peuple danois avait rejeté le traité de Maastricht par référendum avec 50,7 % des voix, alors que le Parlement danois l’avait adopté en mai 1992 avec 125 voix pour et 25 contre... « M. le président. La parole est à M. Mélenchon. M. Tableau justifié et apprécié, certes, mais incomplet : que de leçons seraient encore à tirer des vertus des Danois, clamées ici et portées si haut ? J’ai pensé, mes chers collègues, que vous apprécierez que l’on complétât ce tableau en rappelant qu’il y aurait peut-être quelque chose à apprendre des Danois en examinant le régime qu’ils appliquent au vote des étrangers aux élections locales ! M. M. Certains ont prétendu que nous serions incapables de répliquer à l’argument selon lequel toute la procédure engagée devant notre assemblée résulterait d’un contresens, le traité étant devenu inapplicable et caduc. L’essentiel a déjà été dit à ce sujet. N’ayons pas honte de ce traité. M. M.

Pouvoirs opaques de la Trilatérale, par Olivier Boiral Il y a trente ans, en juillet 1973, à l’initiative de M. David Rockefeller, figure de proue du capitalisme américain, naissait la Commission trilatérale. Cénacle de l’élite politique et économique internationale, ce club très fermé et toujours actif de hauts dirigeants a suscité nombre de controverses, surtout à ses débuts (1). La Commission entend alors devenir un organe privé de concertation et d’orientation de la politique internationale des pays de la triade (Etats-Unis, Europe, Japon). La création de cette organisation opaque, où se côtoient à huis clos et à l’abri de toute compromission médiatique des dirigeants de multinationales, des banquiers, des hommes politiques, des experts de la politique internationale, ou encore des universitaires, coïncide à ce moment avec une période d’incertitude et de turbulence dans la politique mondiale. Ces interventions s’articulent autour de quelques idées fondatrices qui ont été largement relayées par le politique.

Halford Mackinder Sir Halford John Mackinder PC (15 February 1861 – 6 March 1947) was an English geographer, academic, the first Principal of University Extension College, Reading (which became the University of Reading) and Director of the London School of Economics, who is regarded as one of the founding fathers of both geopolitics and geostrategy. Early life and education[edit] Mackinder was born in Gainsborough, Lincolnshire, England, the son of a doctor, and educated at Queen Elizabeth's Grammar School, Gainsborough (now Queen Elizabeth's High School), Epsom College and Christ Church, Oxford. He received a degree in biology in 1883 and one in modern history the next year.[2] Career[edit] In 1887, he published "On the Scope and Methods of Geography", a manifesto for the New Geography.[3] A few months later, he was appointed as Reader in Geography at the University of Oxford, where he introduced the teaching of the subject. In 1895, he was one of the founders of the London School of Economics.

Bob Woodward Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Woodward. Bob Woodward (2002) Œuvre[modifier | modifier le code] Sélection d'ouvrages écrits par Bob Woodward Bob Woodward et Carl Bernstein, Watergate : Les Fous Du President [« All the President's Men »], Paris, Éditions Robert Laffont,‎ 1974, 388 p.Bob Woodward et Carl Bernstein, Les Derniers Jours De Nixon, Paris, Éditions Robert Laffont,‎ 1976Bob Woodward, CIA : Guerres secrètes 1981-1987, Paris, Éditions Stock,‎ 1987Bob Woodward, Gorge profonde, La véritable histoire de l'homme du Watergate, Paris, Éditions Denoël,‎ octobre 2005, 255 p. Notes et références[modifier | modifier le code] Articles connexes[modifier | modifier le code] Histoire cachée France-USA L'Europe assassinée esprit-europeen.fr : revue indépendante de débat et d'intérêt général européen. Perspectives DÉSINTOX Sommaire L'histoire cachée des relations franco-américaines par Pierre Hillard (source : observatoiredeleurope.com) Voici l'histoire d'une Fondation très puissante et largement méconnue: la French American Foundation (FAF) dont le but de resserer les liens franco-américains dans tous les domaines. (RECTIFICATIF: Contrairement à ce qui a été écrit ci-dessous, Nicolas Dupont-Aignan n'est pas "membre" de la Fondation franco-américaine, mais son nom figure dans la liste des Young Leaders.) Lors de sa visite aux Etats-Unis, Nicolas Sarkozy prononça un discours, le 12 septembre 2006, à la French American Foundation (FAF, la « Fondation franco-américaine »). La FAF doit son origine aux actions de trois éminents américains[2] : James G. En effet, la branche américaine a bénéficié d'appuis inestimables. La FAF française n'a pas à rougir de sa jumelle new-yorkaise.

Mario Monti présent à la réunion de la Trilatérale ce week end! - Vigi-Infos: "Résister,c'est Créer"! Extrait Bob Woodward — Bob Woodward > Author > Journalist > Washington Post Editor > Obama's Wars L'Union européenne évoque Boston pour justifier une importante opération antiterroriste La menace croissante internationalement pour les droits démocratiques a été soulignée par le fait qu'à peine deux jours après les attentats à la bombe de Boston, ceux-ci étaient cités dans un communiqué de presse de la Commission de l'Union européenne (UE) pour justifier une vaste opération antiterroriste réalisée au niveau du continent. Les 17 et 18 avril, des unités antiterroristes de nombreux Etats-membres de l'UE qui sont organisés dans le réseau ATLAS [Army Tactical Level Advanced Simulation] ont effectué ce qui a été décrit comme « la plus complexe préparation et simulation de la capacité de riposte à des crises, jamais pratiquée jusque-là au niveau européen. » L'opération implique des attaques terroristes simulées et simultanées se déroulant dans neuf différents pays membres de l'UE - l'Autriche, la Belgique, l'Irlande, l'Italie, la Lettonie, la Slovaquie, l'Espagne, la Suède et la Roumanie. Le réseau ATLAS a été créé en 2001.

Il est aussi l'un des artisans de l'Opération Cyclone, par laquelle Washington soutient les moudjahidins afghans dès juillet 1979.
Brzeziński écrit une note au président après que celui-ci a décidé d'aider les moudjahidins, pour indiquer que l'aide provoquerait à son avis l'invasion de l'Afghanistan par l'URSS, ce qui s'est effectivement produit en décembre.
Deux décennies plus tard, se félicitant que les Soviétiques se soient épuisés dans le « piège afghan », il répondra à l'accusation d'avoir provoqué l'intervention soviétique: "Nous n'avons pas poussé les Russes à intervenir, mais nous avons sciemment augmenté la probabilité qu'ils le fassent" by cyrilcab Apr 30

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