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General Electric : l’internet des objets décolle silencieusement dans l’industrie avec des capteurs à 2$

General Electric : l’internet des objets décolle silencieusement dans l’industrie avec des capteurs à 2$

Edito : l'abus de propriété intellectuelle nuit à la propriété intellectuelle Les conflits se multiplient entre éditeurs de logiciels et entreprises utilisatrices, notamment autour des audits de licences. Mais, en fait, il n'y a rien de neuf sous le soleil : la rapacité justifiée par la propriété intellectuelle veut réduire à néant une autre propriété intellectuelle, celle des clients utilisateurs. Publicité« Au pirate ! Les droits bafoués du client La rémunération de la propriété intellectuelle est là pour compenser les frais de développement des logiciels et les risques pris en investissant sur ces développements. Ce qui est à moi est à moi, ce qui est à toi est à moi Pire encore, si l'entreprise a le malheur de vouloir utiliser ce qu'il a acheté, l'éditeur cherche par tout moyen à s'approprier de nouveaux revenus. PublicitéL'enfer, ce n'est pas (seulement) chez les autres L'enfer, c'est par exemple les fameux audits de licence, source de nombreux conflits. Blocage de l'innovation Or, les fameux accès indirects peuvent reposer sur les objets connectés.

Barrière Infrarouge Rayon Faisceau Capteurs IR Pour Système D'Alarme j h min s jour heure heures Livraison gratuite Voir la description de l'objet Environ : (Saisissez ##1## ou plus) (Saisissez une valeur supérieure à ##1##) Votre enchère maximum : Un autre membre a surenchéri. Un autre membre a surenchéri en plaçant une enchère automatique. Vous êtes le meilleur enchérisseur pour cet objet ! Vous êtes le premier enchérisseur pour cet objet ! Vous êtes le meilleur enchérisseur pour cet objet, mais un autre membre peut encore surenchérir. Cette vente est presque terminée et vous êtes actuellement le meilleur enchérisseur. Vous êtes le meilleur enchérisseur pour cet objet, mais le prix de réserve n'a pas été atteint. Un autre membre a surenchéri. Vous pouvez encore remporter l'objet ! Votre enchère est inférieure à l'enchère maximum d'un autre membre. Votre enchère a été rejetée, car elle est identique à celle d'un autre membre. Essayez d'augmenter votre enchère maximum. Vous êtes le meilleur enchérisseur! Vous êtes le premier enchérisseur. Votre enchère maximum est désormais de

Utilisateurs de logiciels d'entreprise, attention aux audits Selon les experts en licence, les éditeurs sont désormais à l'affût. Ils cherchent de nouvelles sources de revenus. En particulier, ils veulent surveiller de plus près l'usage des logiciels dans les entreprises. Les entreprises sont tenues de payer un droit de licence intégral pour les logiciels utilisés par leurs salariés, pour chaque système, chaque utilisateur, et peut-être davantage. Pour compliquer encore plus les choses, les règles peuvent souvent changer. Et si les entreprises ont parfois du mal à suivre la trace de chaque centime dépensé, les éditeurs, eux peuvent le faire. Par exemple, un éditeur peut remettre en question la conformité d’une entreprise dans un certain domaine et s’en servir comme excuse pour lui proposer un tout nouveau contrat cloud. Des contrats qui manquent de clarté Un rapport publié mardi par Flexera, une entreprise spécialisée dans la gestion des actifs logiciels, met en évidence ces tendances. Des audits pour forcer le passage au cloud

Comment se déroule un audit logiciel avec Oracle : très mal chez Mars Oracle est au moins aussi connu pour sa stratégie commerciale agressive pour les licences logicielles que pour sa technologie de base de données. Et un récent différend avec le géant de l'agroalimentaire Mars Inc. autour d'un audit montre clairement que cette réputation n'est pas infondée. En septembre 2014, Oracle a initié ce qu'il appelle un « examen de licence » du groupe agroalimentaire américain Mars Inc. Prévue dans certains contrats, la procédure est relativement fréquente, mais cette fois-ci, l’audit s’est particulièrement mal passé. Pour satisfaire les demandes de l’éditeur, Marc Inc. a consacré plusieurs mois pour constituer à ses frais un rapport de 233 089 pages. Il n’empêche : si l’affaire est close pour les deux parties, la mine de documents produits se retrouve désormais dans le domaine public, ce qui ne serait pas arrivé si Mars n’avait pas déposé plainte contre Oracle. Un passage en force bloqué après une action en justice Attention aux clauses sibyllines des contrats

Edito : l'abus de propriété intellectuelle nuit à la propriété intellectuelle Les conflits se multiplient entre éditeurs de logiciels et entreprises utilisatrices, notamment autour des audits de licences. Mais, en fait, il n'y a rien de neuf sous le soleil : la rapacité justifiée par la propriété intellectuelle veut réduire à néant une autre propriété intellectuelle, celle des clients utilisateurs. Publicité« Au pirate ! Les droits bafoués du client La rémunération de la propriété intellectuelle est là pour compenser les frais de développement des logiciels et les risques pris en investissant sur ces développements. Ce qui est à moi est à moi, ce qui est à toi est à moi Pire encore, si l'entreprise a le malheur de vouloir utiliser ce qu'il a acheté, l'éditeur cherche par tout moyen à s'approprier de nouveaux revenus. PublicitéL'enfer, ce n'est pas (seulement) chez les autres L'enfer, c'est par exemple les fameux audits de licence, source de nombreux conflits. Blocage de l'innovation Or, les fameux accès indirects peuvent reposer sur les objets connectés.

BYOD et freewares : quid des licences ? Dès que l’on souhaite accueillir les terminaux personnels des collaborateurs dans l'entreprise, il faut absolument se pencher sur la question des licences logicielles pour éviter de cuisantes déconvenues. Dès qu’un logiciel est présent, les risques liés aux licences sont forcément tapis dans l’ombre. Si l’on souhaite accueillir les terminaux personnels des collaborateurs avec un projet BYOD (Bring Your Own Device), il faut donc se pencher sur la question pour éviter de cuisantes déconvenues. Il en va de même avec les petits logiciels gratuits que les employés peuvent installer sur les équipements fournis par l’entreprise, qu’ils en soient ou non administrateurs. Ces deux exemples, aussi concrets que courants, offrent quelques clefs pour mieux maîtriser un phénomène dont la complexité et l’ampleur ne cessent de croître. Bring your own licence illégale Si l’on ne parvient pas à endiguer un phénomène, autant en tirer profit. La gratuité peut coûter cher L’effort fait les forts

Panorama des objets connectés liés à la sécurité domotique De nombreux objets connectés pour la sécurité domotique sont arrivés sur le marché. Pour vous présenter ces technologies voici un panorama de tous les différents dispositifs que l’on peut trouver sur le marché. Pour avoir une idée de ce phénomène grandissant voici une présentation de quelques objets connectés liés à la sécurité domotique. Certains de ces produits ont été présenté au CES (Consumer Electric Show) de Las Vegas qui s’est tenu du 7 au 10 janvier 2014. C’est un salon qui regroupe de nombreuses entreprises, stat-up du monde de la haut technologie. Cela permet de présenter les nouvelles innovations, les nouveautés qui sortiront cette année. Une petite présentation s’impose… Les serrures connectées Okidokeys est une serrure connectée créée par la startup française OpenWays. La société américaine SkyBell Technologies propose SkyBell, un sonnette Wi-Fi. Doorbot Doorbot est une serrure reliée à Internet. Kwikset Kevo est un concept différent des autres serrure connectée. Lockitron

Le kit de survie du veilleur dans la jungle des Internets Chaque jour, des millions d’internautes tweetent, likent, commentent, partagent, générant un flux continu considérable de conversations ! Trier et donner du sens à cette masse d’informations est un défi quotidien et, pour ce faire, nous avons nos bottes secrètes. Vous voulez vous aussi devenir un( e) pro de la veille ? Twazzup est un moteur de recherche qui permet le suivi en temps réel des flux thématiques Twitter. TweetDeck est l’un des principaux tableaux de bord Twitter sur le marché. Trends24.in permet de suivre heure par heure les tendances Twitter à travers le monde. On aime aussi EMM NewsBrief, un outil de veille développé par la Commission européenne, qui nous fournit une analyse précise des sujets tendances sur les médias traditionnels… mais aussi sur les réseaux sociaux ! Socialshare vous permet de suivre les articles les plus partagés sur Facebook, Twitter et LinkedIn. Vous cherchez un Google Trends pour réseaux sociaux ?

Le logiciel libre, moteur économique de la France Réalisée à l'occasion du Paris Open Source Summit, une étude du cabinet Pierre Audoin Conseil pointe la contribution économique du Logiciel Libre. PublicitéA l'occasion du Paris Open-Source Summit, les 18 et 19 novembre 2015, le cabinet Pierre Audoin Conseil (PAC) a publié une étude sur le poids économique du Logiciel Libre. Et les nouvelles sont bonnes dans ce secteur particulier de l'industrie aujourd'hui.Les entreprises opérant dans le secteur du logiciel libre génèrent en France un total de 4,5 milliards d'euros de chiffre d'affaires. Ce chiffre est en croissance de 33% par rapport à l'étude similaire de 2012. Selon PAC, la croissance du créneau devrait se maintenir aux environs de 9% par an pour atteindre 6 milliards en 2020. Des employeurs et des contributeurs confirmés Du point de vue de l'emploi, environ 50 000 personnes travaillant dans les logiciels et service opèrent dans le domaine du Logiciel Libre. Article rédigé par Laurent Mavallet, Journaliste Partager cet article

Utilisateurs de logiciels d'entreprise, attention aux audits Selon les experts en licence, les éditeurs sont désormais à l'affût. Ils cherchent de nouvelles sources de revenus. En particulier, ils veulent surveiller de plus près l'usage des logiciels dans les entreprises. Les entreprises sont tenues de payer un droit de licence intégral pour les logiciels utilisés par leurs salariés, pour chaque système, chaque utilisateur, et peut-être davantage. Pour compliquer encore plus les choses, les règles peuvent souvent changer. Par exemple, un éditeur peut remettre en question la conformité d’une entreprise dans un certain domaine et s’en servir comme excuse pour lui proposer un tout nouveau contrat cloud. Des contrats qui manquent de clarté À bien des égards, le périmètre d’usage des licences manque souvent de clarté : parfois les droits dépendent du nombre d'utilisateurs, parfois du nombre de CPU, parfois du nombre de transactions, et parfois ils sont établis en fonction de tous ces usages en même temps. Des audits pour forcer le passage au cloud

API Java : Oracle réclame 9,3 milliards de dollars à Google Bataille juridique entre deux géants. Accusant Google d’avoir utilisé des API Java dans son OS Android, Oracle lui réclame 9,3 milliards de dollars. Entre Google et Oracle, la tension est au plus fort, le second réclamant au premier un total de 9,3 milliards de dollars – vous avez bien lu – dans le cadre d’une bataille juridique sur des copyrights logiciels. Google et Oracle sont en procès depuis plusieurs années. Auteur : Juliette Paoli API Java : Oracle réclame 9,3 milliards de dollars à Google 4 (80%) 1 vote Surveiller sa consommation d’eau avec la eedomus et le Zwave Je devais faire cet article depuis 2 mois, mais le sur-presseur qui gère ma citerne d’eau enterrée à rendu l’âme… du coup après en avoir installé un nouveau, voila l’article Mon article consiste à vous montrer combien nous économisons d’eau avec la citerne, mais j’aurais pu très bien installer le compteur d’eau sur notre arrivée pour savoir combien nous dépensons ! Le système permet ici seulement d’avoir un aperçu visuel de la consommation, vous ne pourrez pas faire de règle sur les données collectées, mais espérons que l’équipe eeDomus pourra créer un module compteur à part entière pour simplifier ce type d’utilisation. Voici la description du compteur Gioanola que j’ai pris : Présentation Compteur d’eau type jet unique agréé CEE. Caractéristiques Techniques Température de fonctionnement : 0 à +125°C Type d’émetteur : contact sec (ampoule reed) Tension max contact : 30V / 0.2A Longueur du câble : 2m Diamètre de raccord : 3/4″ Impulsion / Litre : 1 impuls / 1 L Mes premières impressions :

MENS1523739N Thème concernant l'épreuve E3 analyse économique, managériale et juridique des services informatiques du brevet de technicien supérieur services informatiques aux organisations NOR : MENS1523739Nnote de service n° 2015-171 du 9-10-2015MENESR - DGESIP A1-2 Texte adressé aux rectrices et recteurs d'académie, chancelières et chanceliers des universités ; aux vice-rectrices et vice-recteurs ; aux inspectrices et inspecteurs d'académie-directrices et directeurs académiques des services de l'éducation nationale ; au directeur du Centre national d'enseignement à distance ; au directeur du service interacadémique des examens et concours ; aux chefs d'établissements Le thème choisi pour les sessions 2017 et 2018 est : « Protection, exploitation des logiciels ». Pour la ministre de l'éducation nationale, de l'enseignement supérieur et de la recherche et par délégation, La directrice générale de l'enseignement supérieur et de l'insertion professionnelle, Simone Bonnafous

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