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La loi sur la lutte contre le gaspillage alimentaire adoptée au Parlement

La loi sur la lutte contre le gaspillage alimentaire adoptée au Parlement
Cette loi, votée à l’unanimité par le Sénat, doit empêcher les grandes surfaces de jeter de la nourriture et de rendre leurs invendus impropres à la consommation. Le Parlement a définitivement adopté, mercredi 3 février, une série de mesures de lutte contre le gaspillage alimentaire. Après l’Assemblée nationale, le Sénat a, à son tour, voté à l’unanimité une proposition de loi incluant notamment des dispositions destinées à empêcher les grandes surfaces de jeter de la nourriture et de rendre leurs invendus impropres à la consommation. La proposition de loi, qui avait été portée à l’Assemblée par le député socialiste Guillaume Garot, inscrit dans la loi la hiérarchie des actions à mettre en place pour récupérer et valoriser les denrées alimentaires et pour éviter leur gaspillage, de la prévention à l’utilisation à des fins énergétiques en passant par la récupération à des fins de consommation ou pour l’alimentation animale. Lire aussi 5 questions sur le gaspillage alimentaire Related:  Consommation Responsable

Alimentation: de bons produits pour tous! « Pour préserver sa santé, mangez au moins 5 fruits et légumes par jour ». On connait tous cette sentence apposée au bas des pubs télé vantant les barres chocolatées et les petits plats mitonnés à mettre au micro-onde… Le problème, c’est que bien se nourrir a un coût. De trop nombreuses études le démontrent: plus on est pauvre, moins bien on mange et plus on a de risques d’avoir des problèmes de santé de type obésité, hypertension artérielle, diabète ou carence de vitamines. La raison? Une solution contre la malbouffe et pour l’insertion professionnelle La malbouffe, c’est le combat de l’association Le panier de la mer depuis 20 ans. Chaque année, l’association récupère environ 300 tonnes de poissons de 100 espèces différentes. Démocratiser le bio « La lutte contre la précarité alimentaire, c’est dans l’ADN de notre asso » prévient Emmanuelle Le Goff, 27 ans, chargée de mission accessibilité à l‘association Court-Circuit Pays de Brest.

Vivre au sein d'une famille zéro déchet : un nouveau luxe pas si contraignant Dans la famille Poirier, il y a la mère, le père, trois enfants, un chat et … très peu de déchets. Installés à proximité de Nantes, Claire, Emmanuel, Matthias, Elsa et Jade génèrent chacun cinq kilos de déchets par an. Soit presque cinquante fois moins que ce que jettent en moyenne la plupart des Français dans leurs poubelles ! [1] Une belle performance. Mais quel est leur secret ? Une Famille "Zéro déchet". from Bastamag on Vimeo. Tout commence il y a six ans. « À cette période, nos revenus ont diminué, retrace Claire. Mieux manger pour moins cher « On a donc réfléchi et décidé de faire autrement. Alors que la famille Poirier se met aux légumes bio et locaux, leur commune lance une taxe incitative pour les ordures ménagères. « On paie en fonction du volume produit, explique Claire. Bocaux et sacs en tissu pour les courses Claire et sa petite troupe descendent à 20 kilos de déchets par personne et par an, alors que la moyenne nationale s’élève à 230 kilos de déchets environ !

La loi sur la lutte contre le gaspillage alimentaire adoptée au Parlement (Crédit : Wikipédia) [Repéré sur : Le Monde.fr] Le Parlement a définitivement adopté, mercredi 3 février, une série de mesures de lutte contre le gaspillage alimentaire. Après l’Assemblée nationale, le Sénat a, à son tour, voté à l’unanimité une proposition de loi incluant notamment des dispositions destinées à empêcher les grandes surfaces de jeter de la nourriture et de rendre leurs invendus impropres à la consommation. La proposition de loi, qui avait été portée à l’Assemblée par le député socialiste Guillaume Garot, inscrit dans la loi la hiérarchie des actions à mettre en place pour récupérer et valoriser les denrées alimentaires et pour éviter leur gaspillage, de la prévention à l’utilisation à des fins énergétiques en passant par la récupération à des fins de consommation ou pour l’alimentation animale. Lire la suite de l'article.

«Partout, au restaurant ou dans votre magasin, demandez des produits sans huile de palme» En Indonésie, tout le monde connaît Aurélien Brulé. Ou plutôt son surnom, Chanee (gibbon, en thaï). Ce français de 36 ans, devenu indonésien en 2012 (et dont Libération a déjà dressé le portrait), a fondé en 1997 l’association Kalaweit pour protéger ces primates. Son programme de réhabilitation est désormais le plus important au monde. La radio qu’il a créée ou encore son émission sur la première chaîne d’information du pays sensibilisent la population au sort des gibbons, victimes de la déforestation massive. En cause : l’industrie de l’huile de palme. Dans une vidéo choc postée le 21 octobre sur Internet et vue plus d’un million de fois toutes plates-formes confondues, il interpellait le Président indonésien au sujet des incendies criminels qui ont ravagé le pays et assombri le ciel du Sud-Est asiatique d’un nuage de fumée toxique pendant trois mois. Sauver les gibbons, certains trouveront cela anecdotique. Comment se portent les gibbons, aujourd’hui ? Oui. Oui, sans ambiguïté. Oui.

France becomes 1st country to ban supermarket food waste The French senate unanimously passed a law on Wednesday that stops grocery stores from throwing away and intentionally spoiling food that approaches best-buy dates. Instead, they'll have to give all of this food to charities and food banks, which will provide the hungry with millions of more meals. Just a 15% increase in donated food will mean 10 million more meals per year. A recent spike in France's unemployed and homeless populations has caused more families to forage for food. To stop people from going through store dumpsters, some managers have resorted to pouring bleach over everything or using locks to make the food impossible to get. The law will put an end to this cruel behavior by imposing contracts on super markets that, if violated, will lead to hefty fines and even prison sentences. Each year, 1.3 billion tons of food is wasted. The new law will drastically reduce these costs for France. To learn more about food waste around the world, check out this piece.

Ils ont court-circuité la grande distribution : pari gagné pour 13 fermiers nordistes (Crédit : Philippe Huguen/AFP) "Au début, on accueillait 250 clients par jour. Aujourd’hui, c’est de 300 à 400 personnes par jour en début de semaine, et jusqu’à 800 les vendredis et samedis. Les gens apprécient le contact avec les producteurs, aiment demander des conseils." Emmanuelle Lambin, productrice de fruits, est fière du travail accompli avec Talents de fermes. Faire sauter les intermédiaires Talents de fermes, c’est un pari qu’ont fait treize producteurs du Nord en ouvrant leur surface de vente le 19 août 2014 pour faire sauter les intermédiaires et proposer des produits frais et de saison. "Les tarifs que nous fixons sont en moyenne de 20 % à 30 % plus élevés que ceux que nous imposent les grandes enseignes à l’achat, détaille Emmanuelle Lambin. Pour le consommateur, malgré la disparition des intermédiaires, le prix est donc souvent identique à celui du supermarché avec en plus la garantie de trouver un produit local de qualité. 2 millions d'euros de chiffre d'affaires

Jusqu’au 3 mars : participez à la consultation citoyenne de l’ANIA sur l’alimentation Le Parlement a définitivement adopté ce mercredi 3 février une série de mesures contre le gaspillage alimentaire. En effet, le Sénat a voté à l’unanimité une proposition de loi en ce sens, après l’Assemblée nationale. Celle-ci hiérarchise les actions à mettre en place pour récupérer, valoriser les denrées alimentaires et éviter leur gaspillage : de la prévention à l’utilisation à des fins énergétiques en passant par la récupération à des fins de consommation ou pour l’alimentation animale. Elle rend aussi obligatoire le recours à une convention pour les dons réalisés entre un distributeur de denrées alimentaires et une association caritative. En outre, une sanction est prévue pour éviter la destruction volontaire de denrées alimentaires encore consommables par les commerces de détail. @vous_c

Lutter contre le gaspillage alimentaire - Sénat Première lecture au Sénat (13 janvier et 3 février 2016) Mercredi 3 février 2016, le Sénat poursuit l'examen de la proposition de loi relative à la lutte contre le gaspillage alimentaire, adoptée en première lecture par l'Assemblée nationale. Mercredi 13 janvier 2016, au terme de l’espace réservé au groupe socialiste et républicain, d’une durée de 4 heures, l’examen de la proposition de loi a été interrompu pendant la discussion générale. Examen en commission au Sénat (16 décembre 2015) Mercredi 16 décembre, la commission de l'aménagement du territoire a examiné le rapport de Chantal JOUANNO et le texte de la commission sur la proposition de loi, adoptée par l'Assemblée nationale, relative à la lutte contre le gaspillage alimentaire. Nomination d'un rapporteur (16 décembre 2015) Première lecture à l’Assemblée nationale (9 décembre 2015) Mercredi 9 décembre, l'Assemblée nationale a adopté en première lecture la proposition de loi relative à la lutte contre le gaspillage alimentaire.

Bars et restos misent sur les circuits courts Proposer une cuisine “faite maison” à base de produits bios, provenant d’agriculteurs de la région : c’est le pari lancé, et réussi, par le bar-resto le “Court-circuit” créé en 2010 par des amis, et qui est“en expansion continue”. La structure, qui est même à l’origine d’un bar à bières artisanales à Villeurbanne, le “Bieristan”, repose sur deux principes : l’autogestion coopérative et l’approvisionnement en circuits courts. En cinq ans, cette Scop est passée de quatre à dix salariés, tous âgés entre 24 et 34 ans. Mais ça fluctue, ça bouge, c’est vivant. Félix Beauvais, jeune ingénieur, est l’un d’eux. Aujourd’hui, il s’active dans la cuisine de ce resto situé dans le quartier populaire de la Guillotière à Lyon. “Ce sont des êtres humains, pas des mails” “Je kiffe de connaître mes producteurs. Avant eux, à seulement quelques rues, il y avait déjà le café-resto “De l’autre côté du pont”, Scop qui mise sur les mêmes principes. “Dans une logique de circuits courts aussi pour les concerts”

Thierry Marx, le cuisinier solidaire Cuisinier étoilé, Thierry Marx est loin de toute étiquette et de tout élitisme. Son talent, il a choisi de le mettre au service de l’environnement, de l’économie sociale et solidaire et de la cuisine saine. Il l'explique à notre partenaire, le magazine Up, depuis le Mandarin Oriental, son restaurant de la rue Saint-Honoré, à Paris. UP : Quels sont vos astuces pour cuisiner tout en étant respectueux de l’environnement ? Mange-t-on mieux en privilégiant le circuit court ? Thierry Marx : Oui. Quel impact la gastronomie a-t-elle sur l’environnement au sens large ? T.M. : La gastronomie fonctionne avec un acronyme très simple, RER : Rigueur, Engagement, Régularité. Comment apprendre aux jeunes à manger sain ? T.M. : On parle souvent des « jeunes ». Qu’est-ce qui vous a amené à vous associer au traiteur Té ? L’Organisation des Nations-Unies pour l’alimentation a communiqué le chiffre d’un milliard de tonnes de nourriture gaspillée chaque année. Bio 1959 – Naissance à Ménilmontant (Paris 19ème)

Nourrir correctement l'humanité entière, c'est possible ! L'agriculture de demain devra être capable de procurer une alimentation diversifiée, saine et de grande qualité gustative, à une population sans cesse croissante, d'approvisionner les autres secteurs de l'économie en matières premières (amidon, bois, fibres, peaux, molécules médicinales, etc.), de s'adapter aux conséquences du réchauffement climatique global, de réduire ses émissions de gaz à effet de serre, de séquestrer du carbone dans les sols, de bâtir des paysages harmonieux et de fournir divers services environnementaux, sans occasionner de pollutions majeures et en préservant les potentialités productives (la « fertilité ») des agro-écosystèmes sur le long terme. L'inspiration de l'agro-écologie D'un point de vue strictement technique, il est d'ores et déjà possible de promouvoir des systèmes de production agricole susceptibles d'assurer simultanément ces objectifs, sans coût majeur en énergie fossile ni recours exagéré aux engrais de synthèse et produits phytosanitaires.

Färm, la coopérative alimentaire qui réconcilie Bruxelles et les supermarchés Bruxellois, Bruxelloises, renouez avec les supermarchés grâce à färm, la coopérative locale pour une alimentation durable, saine et de qualité. Comparable aux Biocoop français, färm compte déjà trois magasins dans la région, et ne va pas s’arrêter là. Le 9 janvier dernier, färm a ouvert les portes du dernier-né de ses supermarchés à Auderghem : 500m² et 4.000 références de produits bio, locaux et de saison, en circuits courts. Selon Baptiste Bataille, « la coopérative se situe entre le magasin bio et la grande surface. Le magasin bio pour la connaissance du produit et les valeurs humaines et la grande surface, pour l’efficacité et la rentabilité ». Lui et son associé, Alexis Descampe, ont tous deux étudié l’environnement avant de se lancer dans cette aventure : « La recherche et l’université c’est bien, mais nous souhaitions autre chose. Des paniers bio ‘The Peas’ au supermarché en coopérative ‘färm’ : Un fonctionnement collaboratif Les consommateurs aussi ont leur mot à dire.

76% des français sont favorables aux aliments bio dans les cantines D’après un sondage réalisé entre les 4 et 7 janvier par l’IFOP, 76% des personnes interrogées se déclarent favorables au vote d’une loi imposant l’introduction d’aliments issus de l’agriculture biologique, locaux et de saison dans la restauration collective publique. A l’occasion de l’examen et du vote d’une loi relative à l’introduction d’aliments issus de l’agriculture biologique en restauration collective publique présentée par la députée Brigitte Allain qui aura lieu le 14 janvier prochain, Agir pour l’Environnement a récolté plus de 50.000 signataires qui ont adressé un courriel à leur député afin de les inciter à adopter cette proposition de loi. Huit ans après le Grenelle de l’environnement, la part de terre agricole à la bio ne dépasse pas les 4 % et la part du bio en restauration collective ne représente que 2,7 % des achats alimentaires. Si vous aussi, vous souhaitez agir et inciter vos députés à voter cette loi, rendez-vous sur le site d’Agir pour l’Environnement.

Le 26 janvier, Mes Courses pour la Planète présente l’étude : « La Vie Happy,... Le changement climatique, défi unanime et majeur de ce siècle, fait grand cas des causes anthropiques des émissions de gaz à effet de serre : disparition de la biodiversité, destruction des écosystèmes, dérèglement climatique, crises écologique, économique, sociale, citoyenne… Face à cette sémantique catastrophique, le discours culpabilisateur et moralisateur peine à mobiliser tant individuellement que collectivement. Démontrer qu’il est possible de respecter les limites de la planète tout en construisant un futur qui améliore le bien-être de chacun, c’est le ton de l’étude « La Vie Happy, changer les comportements pour changer le monde » menée par Mes courses pour la Planète, avec IKEA, l’ADEME et l’Ilec-Prodimarques. Elle défend le pouvoir de l’optimisme en changeant d’approche et de discours pour donner à chacun l’élan de contribuer à la solution plutôt qu’à l’inertie (et donc au problème). >> Télécharger l'intégralité de l'étude en version numérique ici !

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