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30 ans de chômage de masse en France... Pourquoi ?

30 ans de chômage de masse en France... Pourquoi ?
LE SCAN ÉCO/VIDÉO - Même en période de croissance soutenue, le taux de chômage en France n'est jamais retombé sous les 7% depuis 1983. Quelles sont les raisons de ce mal français ? Explications. Comment croire que la France parviendra à retrouver le plein emploi quand cela fait trente ans que le chômage de masse s'est installé? LE SCAN ÉCO / INFOGRAPHIES - Qui sont les chômeurs en France? • Un taux de chômage moyen de 9% ces trente dernières années En moyenne en France, le taux de chômage de ces trois dernières décennies atteint 9%. LE SCAN ÉCO - Comment les crises financières dopent les scores de l'extrême-droiteLE SCAN ÉCO / INTERVIEWS CROISÉES - Le chômage est-il devenu une fatalité en France? • 2015, année noire pour la France En 2015, le taux de chômage français a retrouvé ses tristes records de 1994 -un an avant, la majorité socialiste signait une défaite marquante-, puis de 1996 et 1997, année de la dissolution ratée de l'Assemblée nationale par Jacques Chirac. Related:  Chômage & politique de l'emploi

Mobile - Tableaux de l' conomie fran aise - dition 2012 Sommaire Présentation En 2010, la population active de la France métropolitaine est estimée à 28,3 millions de personnes de 15 ans ou plus selon l'enquête Emploi, soit un taux d'activité de 56,7 %. Plus de 25,7 millions d'actifs ont un emploi et 2,7 millions de personnes sont au chômage. Le reste de la population âgée de 15 ans ou plus est dit inactif au sens du Bureau international du travail (BIT). Cela signifie que ces personnes ne travaillent pas, ne recherchent pas activement un emploi ou ne sont pas disponibles rapidement pour en occuper un. Comme on l'observe chaque année depuis 1976, la population active s'est accrue en 2010 (+ 112 000 personnes). En moyenne en 2010, le taux d'activité des 15-64 ans se stabilise à 70,5 %, les trois quarts des hommes et les deux tiers des femmes en âge de travailler étant en activité. Tableaux et graphiques Haut de page Pour en savoir plus « France, portrait social », Insee Références, édition 2011.

Plus de 75% des Français travaillent désormais dans le secteur tertiaire LE SCAN ÉCO - L'Insee offre un tableau complet des 28,6 millions de Français actifs. On y apprend que plus des trois quart travaillent dans le secteur tertiaire, que presque 90% des actifs sont salariés, et que les trois-quarts sont en CDI... Dans les «Tableaux de l'économie française 2016» publiés ce mardi, l'Insee consacre une partie de sa vaste étude sur l'emploi en France, et sa répartition par activité. On y apprend notamment que la France est devenue plus que jamais un pays de service. • 25,8 millions de Français occupent un emploi en France Sur les 50,8 millions de Français de plus de 15 ans (en 2014), 28,6 millions sont «actifs» au sens du Bureau international du travail. • 75,2% des Français «occupés» travaillent dans le secteur tertiaire Sur les 25,8 millions de Français «occupés», plus des trois-quarts travaillent dans le secteur tertiaire, tandis que l'industrie ne représente plus que 13,9% des emplois, la construction, 6,6%, et l'agriculture, 2,8%.

Qui sont les chômeurs de longue durée ? 16 octobre 2015 - Passer par la case chômage est une chose, y rester longtemps a des conséquences beaucoup plus graves sur le niveau d’indemnisation, les relations sociales et l’état psychologique des personnes qui se trouvent ainsi éloignées de leur univers professionnel. En août 2015, 2,4 millions de demandeurs d’emploi étaient inscrits à Pôle emploi depuis plus d’un an, contre 1,3 million au début des années 2000. Soit un million de chômeurs de longue durée de plus sur la période. Parmi ces 2,4 millions, près de la moitié est sans emploi depuis au minimum un an et au maximum deux ans, près d’un quart entre deux et moins de trois ans et un tiers depuis plus de trois ans. La part des chômeurs de très longue durée (3 ans et plus) est celle qui a le plus augmenté entre 2000 et 2015 (de 28 à 33 %). On sous-évalue souvent la question de la durée du chômage. Qui sont les chômeurs de longue durée ? Pour en savoir plus : Photo / By Lulu97417 via Wikimedia Commons

Indicateur - Nouvelle hausse du chômage au troisième trimestre 2012 Le taux de chômage baisse de 0,3 point par rapport au premier trimestre 2016 En moyenne sur le deuxième trimestre 2016, le taux de chômage au sens du BIT est de 9,9 % de la population active en France, après 10,2 % au premier trimestre 2016. En France métropolitaine, le nombre de chômeurs diminue de 74 000, à 2,8 millions de personnes ; le taux de chômage diminue ainsi de 0,3 point par rapport au premier trimestre 2016, à 9,6 % de la population active. La baisse concerne toutes les tranches d'âge, particulièrement les jeunes. Parmi les chômeurs, 1,2 million déclarent rechercher un emploi depuis au moins un an. Taux de chômage au sens du BIT Estimation à +/- 0,3 point près du niveau du taux de chômage et de son évolution d'un trimestre à l'autre Champ : population des ménages, personnes de 15 ans ou plus Source : Insee, enquête Emploi Personnes dans le halo autour du chômage Champ : France métropolitaine, population des ménages, personnes de 15 ans ou plus Le taux d'emploi en CDI est stable

Le chômage baisse, mais... Le ministère de l'emploi a publié le 26 octobre dernier les chiffres du chômage pour le mois de septembre. Ces chiffres ont été beaucoup commentés parce qu'ils font apparaître un recul de 23 800 personnes du nombre des inscrits en catégorie A à Pôle emploi (les personnes qui n'ont pas travaillé du tout dans le mois et correspondent donc à la définition officielle des chômeurs). Soit la plus importante baisse mensuelle enregistrée depuis 2007, avant la crise. Est-ce le début de la fameuse et si attendue "inversion de la courbe du chômage" ? Ce n'est pas exclu dans un contexte économique a priori très favorable avec un pétrole à moins de 50 dollars, un euro faible par rapport au dollar et une politique monétaire très expansive de la Banque centrale européenne. En attendant cette bonne nouvelle incite à se pencher de façon plus précise sur la dynamique du chômage au cours des derniers mois. Nombres d’inscrits à Pôle emploi en milliers

Le Chômage et Définitions - Chapitre Economie Bac STG Ce document est un résumé du cours sur le Chômage en Economie au Bac STMG. Cette fiche de révision composée de définitions sur le chômage va vous servir pour mémoriser plus facilement tous les points du cours. Pour télécharger cette fiche de révisions d'économie gratuitement, il vous suffit de cliquer sur le bouton rouge "Voir ce document" présent en bas de la page. - Marché du travail = marché qui assure la rencontre entre l'offre et la demande.- Offre de travail = ensemble des individus qui recherchent une activité professionnelle et qui ainsi, offrent leur disponibilité et leur savoir faire à un employeur contre le versement d'une rémunération.- Demande de travail = les employeurs recherchent de la main d'oeuvre.- Salariat = relation institutionnelle entre un employeur et un salarié définie par le contrat de travail. - Déterminant de l'offre et de la demande : ¤Offre de la demande est constituée par la population active.¤ La demande de travail dépend : - du coût de travail

Le salaire minimum, source de chômage ? - Regards croisés sur l'économie Le 19 mai 2015, la ville américaine de Los Angeles a voté en faveur d’une hausse du salaire minimum, faisant passer ce dernier de 9 dollars à 15 dollars de l’heure d’ici 2020.Très vite, les détracteurs de cette mesure ont dénoncé les effets néfastes que celle-ci pourrait avoir sur l’emploi : licenciements, fermeture des établissements ne pouvant supporter cette hausse du coût du travail, relocalisation de certains autres vers des Etats où la législation sur le salaire minimum est plus souple. Tout cela conduirait à une hausse du nombre de chômeurs. Une relation ambiguë d’un point de vue théorique... La littérature économique ne fournit pas de réponse univoque sur la relation entre salaire minimum et emploi. Toutefois, d’autres modèles, comme ceux du monopsone ou ceux d’appariement, admettent la possibilité d’un impact positif du salaire du minimum sur l’emploi. On retrouve cet effet positif dans les modèles d’appariement où l’effort des travailleurs est endogène. Références

Zoom sur le travail saisonnier Recruter ponctuellement pour faire face à une surcharge de travail : c'est ce que font chaque année, quasiment aux mêmes périodes, les employeurs des CHR en zone touristique. Selon un rapport publié par France Stratégie en juillet dernier, la France compte sur l'été un peu plus de 2 millions de travailleurs saisonniers (2 016 700 000 au total, en prenant en compte les contrats de vendanges et ceux de la fonction publique territoriale). ► Qu'est-ce qu'un emploi saisonnier ? Cela concerne la réalisation de travaux appelés à se répéter chaque année à des dates à peu près fixes, en fonction du rythme des saisons et de la fréquentation touristique. ► Quels sont les profils recherchés ? Il y a des opportunités pour tout type de profil. ► Comment se faire recruter ? Pôle emploi, maisons locales des saisonniers, forums emploi, sites internet… les outils sont multiples. ► Quels avantages ? Voyager, se former, multiplier les expériences professionnelles. ► Et les inconvénients ?

La moitié des chômeurs touchent moins de 500 euros par mois Actualités Un tiers des chômeurs ne touche aucune indemnité. La moitié d'entre-eux ne reçoivent pas plus 500 euros par mois et les trois quarts moins du Smic. Seuls 6 % perçoivent plus de 1 500 euros. Seuls 17 600 touchent plus de 4000 euros par mois, soit 0,4 % de l'ensemble. Le moins que l’on puisse dire est que régime français d'indemnisation des demandeurs d’emploi est loin d'être trop généreux1 et de « désinciter » à la reprise d'un travail. Selon les chiffres de l'Unedic, les chômeurs reçoivent en moyenne 1 100 euros net par mois d'indemnité2, montant du niveau du Smic et l’équivalent de 71 % du salaire net de référence. Pour comprendre combien perçoivent réellement les chômeurs, il faut élargir le champ de la mesure. 1.

Le chômage en France Le BIT est le Bureau international du travail, l'instance baséeà Genève qui dirige l'Organisation internationale du travail (OIT),une agence regroupant les pays de l'ONU et cherchant à promouvoir la justice sociale et le travail décent. Le BIT a élaboré des méthodes statistiques pour pouvoir comparer les données sociales d'un pays à l'autre qui ont été affinées par Eurostat, l’agence statistique européenne.Pour calculer le nombre de chômeurs, ils préconisent ainsi de ne retenir que les demandeurs d'emploi de 15 ans ou plus... ... n'ayant pas travaillé au cours de la semaine... étant disponible pour travailler dans les deux semaines... et ayant entrepris des démarches actives de recherche d'emploi dans le mois précédent (ou ayant trouvé un emploi qui commence dans les 3 mois). C'est sur cette statistique (collectée chaque trimestre par l'Insee auprès d'un "panel" d'environ 45 000 ménages) que sont basés les taux de chômage publiés tous les trimestres par l'Insee.

Chômage : ça monte ou ça baisse ? Sauvé par l’Insee. Après la publication, ce matin, du taux de chômage au sens du Bureau international du travail (BIT), faisant état d’une baisse de 0,1 point à la fin de l’année dernière, le gouvernement a pu − enfin − se féliciter d’une «inversion de la courbe» promise depuis un an par François Hollande. «Le chômage en France a baissé au 4e trimestre 2013, conformément à l’ambition du président de la République de voir le chômage commencer à reculer en fin d’année. C’est la première fois depuis la mi-2011», s’est rengorgé le ministre du Travail, Michel Sapin, dans un communiqué. Selon l’institut, la France métropolitaine a ainsi connu au 4e trimestre un taux de chômage de 9,8%, contre 9,9% trois mois plus tôt. Problème : ces chiffres ne collent pas avec ceux de Pôle emploi, qui font état d’une hausse du nombre de chômeurs en fin d’année dernière (+ 15 000 demandeurs d’emploi en catégorie A au 4e trimestre 2013). A lire aussi un décryptage expliquant les différences de méthode

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