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Victor Hussenot Maël Rannou : Une des constante de ton travail est l’interrogation du médium bande dessinée. J’ai tendance à imaginer que ce genre d’approche vient d’un parcours particulier. As-tu toujours été tourné vers la bande dessinée ou est-ce que ça a été un intérêt tardif ? Qu’est-ce qui t’a amené, en tant que lecteur et artiste, à vouloir parler interroger sa structure ? Victor Hussenot : Mon intérêt pour la bande dessinée a commencé petit, avec des classiques, comme beaucoup d’auteurs : Tintin, Spirou, puis adolescent toute la vague manga des années 90 (surtout Akira !). Maël Rannou : Ton premier livre publié était La Casa (Warum, 2011), un livre entièrement construit sur la question de la case. Victor Hussenot : Pour La Casa, je voulais justement, être libre, presque qu’il n’y ait pas d’histoire. Maël Rannou : Après La Casa j’ai pu lire Le Gaufrier, sur Grandpapier. Maël Rannou : Ne pas vouloir se faire «emmerder» par les histoires est un terme assez fort. Et… donc, pourquoi la jeunesse ?

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