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Manger Bouger

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BEH - Bulletin épidémiologique hebdomadaire Comme chaque année, le calendrier des vaccinations est réactualisé sur le fondement des avis du Haut Conseil de la santé publique, pour prendre en compte notamment l'évolution des données épidémiologiques et le développement des nouveaux vaccins. Le calendrier des vaccinations 2014, élaboré par le ministre chargé de la Santé, comprend une nouvelle recommandation :la vaccination contre les infections invasives à méningocoque de sérogroupe B fait l'objet de recommandations spécifiques pour les personnes à risque élevé de contracter une infection invasive à méningocoque et dans des circonstances bien précises. Cette vaccination n'est pas actuellement recommandée en population générale. Par ailleurs, le calendrier des vaccinations 2014 modifie des recommandations existantes : la vaccination contre les infections à papillomavirus humains est modifiée avec un schéma à 2 doses au lieu de 3 doses pour les jeunes filles de 11 à 14 ans. Consulter le calendrier vaccinal 2014

Le programme nutrition et activité physique L’alimentation, l’activité physique et l’état nutritionnel sont des déterminants majeurs des maladies chroniques telles que les maladies cardiovasculaires, certains cancers, le diabète, l’obésité morbide ou l’ostéoporose. Ce programme s’inscrit dans le cadre du Programme national nutrition santé (PNNS). Ses actions contribuent également à la mise en œuvre du plan Cancer. Plusieurs enjeux prioritaires se dégagent : la formulation de nouveaux repères nutritionnels sur la base des nouvelles recommandations de l’Anses et la préparation de nouveaux guides du PNNS ;la production d’indicateurs permettant de suivre les évolutions de la situation nutritionnelle en France ;la conception, la promotion et l’évaluation de la signalétique nutritionnelle apposées sur les emballages des produits alimentaires ;la promotion de la pratique de l’activité physique, en particulier auprès des collégiens et des femmes peu actives. Objectifs stratégiques :

L'Agence des Usages L'usage du TBI a des répercussions aussi sur les interactions en classe. En effet, le rythme des cours devient plus dynamique, avec un plus grand nombre de tours de parole, par rapport à une situation sans TBI. Il y a plus de questions ouvertes, de demandes de répétition, de vérification (l'enseignant s'assure de ce que veut dire l'élève), d'évaluation, de réponses d'élèves et de discussion générale en classe. Ces changements peuvent être considérés comme un indicateur positif de l'introduction du tableau interactif dans les écoles. Le seul bémol est que le TBI, contrairement à ce que l'on pensait, n'améliore pas les résultats des élèves aux examens. Il est possible, selon les chercheurs, que les bénéfices avérés du TBI sur les interactions en classe ne se traduisent pas par une amélioration de l'écrit (ce qui est mesuré dans les examens).

Bruxelles Santé Bruxelles Santé est une revue trimestrielle destinée aux travailleurs et institutions oeuvrant dans le vaste champ de la promotion de la santé, et plus spécifiquement dans les matières décrétales (décret relatif à l'offre de services ambulatoires dans le domaine de l'action sociale, de la famille et de la santé) et les initiatives soutenues par la Commission Communautaire française. Les objectifs rédactionnels de la publication sont notamment: Une lecture vaut mieux que de nombreuses explications ! Si vous souhaitez vous abonner à la revue "Bruxelles Santé" au format papier (uniquement pour les Bruxellois), vous pouvez le demander ici. La version numérique est accessible à tous en s'abonnant à la newsletter "Bruxelles Santé"

Alimentation et santé publique : un constat inquiétant | Association de Professionnels de Santé pour une Alimentation Responsable Les habitudes alimentaires ont considérablement évolué depuis le milieu du XXème siècle. Comme cela est observé dans le rapport commun de l'OMS et de la FAO de 2002 intitulé « Alimentation, nutrition et prévention des maladies chroniques », une alimentation riche en graisses et en aliments à forte densité énergétique, centrée autour d'aliments d'origine animale, a remplacé l'alimentation traditionnelle principalement basée sur des aliments d'origine végétale. Cela a joué un rôle clé dans l'augmentation de la prévalence des maladies chroniques évitables d'origine nutritionnelle : obésité, diabète, maladies cardio-vasculaires, cancers et ostéoporose principalement.1 Ces maladies ne sont plus limitées aux « pays riches », et constituent désormais un problème de santé publique croissant dans les pays en développement1, où le modèle alimentaire « occidental » se propage et remplace souvent les alimentations traditionnelles. Maladies cardio-vasculaires Références :

La visite virtuelle interactive en images de synthèse: plus efficace qu'une animation linéaire pour transmettre une information? Les informations véhiculées par une visite virtuelle interactive en images de synthèse sont-elles assimilées plus rapidement et pour plus longtemps que par le biais d’images fixes ou même d’une animation linéaire telle qu’un film ou une vidéo? C’est ce que je pense… et voici mes arguments: Une visite virtuelle interactive peut combiner les moyens de transmettre l’information: images fixes;textes;sons et musique;réalité virtuelle (QuickTime VR, VRML, etc.). Quels sont ses avantages sur les images fixes ou sur les animations linéaires (film/vidéo)? Si la réponse ne vous intéresse pas, faites directement l’expérience d’une visite virtuelle et profitez-en pour apprendre comment protéger votre maison contre le vol et l’incendie. Les avantages d’une visite virtuelle interactive sur les images fixes ou les animations linéaires sont multiples: Un exemple concret: le projet « Maison Virtuelle 1.0″ du Service public fédéral Intérieur belge » Le processus d’élaboration du projet Ses points forts

Santé Publique - La revue Comité de rédaction Rédacteur en chef : François Alla.Rédacteurs en chef adjoints : Christine Ferron, Françoise Jabot, Jean Pascal. Membres : François Baudier, Vincent Boissonnat, Georges Borgès Da Silva, Bérengère Davin, Christine Ferron, Laurence Fond-Harmant, Virginie Halley des Fontaines, Françoise Jabot, François Latil, Colette Ménard, Jean Pascal, Anne Sizaret, Hélène Valentini. Rédacteurs associés : Cédric Baumann, Georges Borgès Da Silva, Alain Douiller, Hélène Kane, Joëlle Kivits, Anne Laurent, Geneviève Le Bihan. Secrétaire de rédaction : Isabelle Génovèse. Directeur de la publication Emmanuel Rusch, Président de la SFSP Comité scientifique Serge Briançon, Omar Brixi, Christine Colin, Michel Demarteau, Jean-Louis Denis, Jean-Pierre Deschamps, Jean Martin, Lise Renaud, Anta Tal Dia, Djamel Zoughailech. Comité de rédaction associé Afrique Rédacteur en chef adjoint : Françoise Jabot.Rédactrices associées : Hélène Kane, Geneviève Le Bihan.

Moins de viande, de sel, de sucre… les recommandations de l’agence sanitaire L’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation présente un socle scientifique pour de nouveaux repères nutritionnels. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Pascale Santi Comment y voir plus clair dans nos assiettes ? L’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses) a présenté mardi 24 janvier les principaux résultats de l’actualisation des repères nutritionnels du Programme national nutrition santé (PNNS), qui vise à améliorer l’état de santé de la population en agissant sur l’alimentation. « Que l’alimentation soit ta première médecine », disait Hippocrate. Saisie par la Direction générale de la santé, l’agence devait publier ses avis et rapports relatifs aux repères nutritionnels pour la population adulte. C’est ce socle, basé sur les données scientifiques des dix dernières années, qui va servir de base à l’élaboration des nouvelles recommandations pour le grand public, par le Haut Conseil de la santé publique. Plus de fibres

Jardin des Sciences : Activités scolaires - Université de Strasbourg Le Jardin des sciences de l’Université de Strasbourg s’inscrit dans un rôle de coordination et d’organisation d’activités à caractère scientifique pour les élèves alsaciens, en partenariat avec l’Académie de Strasbourg. Il accueille les élèves au sein de l’Université (Planétarium, Atelier des sciences, Musée de sismologie, Musée de minéralogie, laboratoires…) autour d’expositions, de spectacles et d’événements construits pour illustrer les programmes scolaires. Il intervient également directement dans les établissements scolaires à travers un Planétarium mobile, des cafés scientifiques juniors, et des expositions itinérantes. Le Jardin des sciences vise ainsi à sensibiliser les jeunes aux sciences et aux métiers associés en leur proposant une approche pratique, en les informant des évolutions scientifiques et en suscitant des réflexions sur les enjeux citoyens des sciences.

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