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Les 4 articles du dossier

Les 4 articles du dossier
Près d’un salarié sur trois porte un vêtement professionnel. Blouse du pharmacien, « bleu » du mécanicien et, de plus en plus, vêtement d’image dans la distribution et le monde des services. Sephora, Ikea, Darty, Starbucks, Apple… Toutes les enseignes possèdent désormais une tenue pour leurs salariés. Un sujet peu abordé dans la sphère marketing et pourtant l’exercice est difficile : la garde-robe doit convenir à la marque, aux clients et aux salariés. Ce qui en fait aussi un outil RH. > Retour au sommaire navigation contenu Les vêtements d’image ont le vent en poupe Le vêtement d’image est devenu un outil à part entière dans une stratégie d’entreprise. « Le salarié veut pouvoir déjeuner sans être regardé comme un objet publicitaire ! 5 catégories de vêtements professionnels Les vêtements professionnels ne sont pas tous uniformes ! Tous les métiers ont un dress code 2 salariés sur 3 sont, en théorie, libres de choisir leur garde-robe professionnelle. Related:  MARKETING

Soldes : dernier jour de préparation avant le grand rush Ce mardi 5 janvier n'est pas de tout repos, et pourtant, c'est demain que le rythme sera le plus endiablé dans les magasins. Car demain, le coup d'envoi des soldes d'hiver 2016 sera donné. Dans le centre commercial Euralille de Lille (Nord), c'est déjà l’effervescence dans les boutiques. "Les soldes, c'est beaucoup de travail, donc on s'y prépare un peu moralement, physiquement aussi", confie à France 2 Karine D'Hondt, responsable d'un magasin de chaussures. "On court tout le temps. Décembre et janvier sont les mois les plus intenses de l'année pour les commerçants. Certains clients font déjà des repérages. Le JT

2016, année du commerce digital unifié : du... Le mobile à l’heure du commerce L’ensemble des acteurs s’accordent sur une tendance observée tout au long de l’année 2015, le mobile est devenu le canal préféré des acheteurs. Aujourd’hui, nous sommes en mesure de suivre la croissance digitale en analysant le comportement d’achat de plus de 400 millions d’acheteurs dans le monde chaque trimestre (Shopping Index.). Cette étude montre que la croissance digitale en 2015 fût tirée par le trafic en ligne, notamment généré par le mobile. Au-delà de cette augmentation des visites, c’est aussi une augmentation significative des ventes sur mobile qui apparait. Le consommateur plus difficile à capter dans son parcours digital Les consommateurs ont rapidement adopté les nouveaux canaux et zappent naturellement de l’un à l’autre. Web, mobile, réseaux sociaux, point de vente… à quand une expérience d’achat unifiée ?

Le géomarketing boosté par le géofencing Le géomarketing et son évolution Proposer une offre adaptée au client, le marketing traditionnel le fait depuis longtemps déjà mais il lui manquait la dimension spatiale.. Aujourd’hui, associée à des critères économiques, sociologiques, démographiques et écologiques, le géomarketing permet de mieux comprendre la clientèle et de ses habitudes d’achat. et donc de pouvoir anticiper son acte d'achat. Pour accéder à ces informations on trouve des éditeurs de logiciels SIG (Système d’informations géographiques) tels ESRI ; le SIG est transversal sur tous les secteurs d’activités économiques mais aussi utilisé par les le secteur public.

Auchan, Carrefour, Leclerc... Comment le drive a explosé en France - 22 juin 2015 Une exception française et une remarquable réussite. Même Wal-Mart, le géant américain et numéro un mondial de la distribution s’en est inspiré. En quinze ans, le "drive" - shopping sur internet, récupération des courses au coffre de la voiture - s’est installé dans l’Hexagone plus efficacement encore que le hard discount. Il est le premier canal de vente qui mêle véritablement le net et le magasin physique. Alors que le commerce se rengorge aujourd’hui de "multicanal", "omni-canal" et autre "cross-canal" pour vendre mieux, les distributeurs ont inventé le concept dès 2000. Phase 1 : la prudence En 2000, l’ouverture à Leers dans le Nord, du premier drive imaginé par les équipes d’Auchan en 2000, passe pratiquement inaperçu. Phase 2 : l'accélération Le premier Leclerc drive ouvre à Alençon en 2006. Phase 3: la maturité Face au raz-de-marée et l’adoption rapide par les consommateurs du drive, Carrefour se lance dans la course entre 2011 et 2012 : il ouvre alors près de 200 drives.

A qui profite la nouvelle guerre des hypers Les distributeurs ont décidé de regrouper leurs centrales d'achats pour obtenir encore plus des industriels. La course au prix bas est relancée. Des mois de pourparlers, une bonne dizaine de rendez-vous par dossier, des menaces et des contrats déchirés. Auchan et Système U ont été les premiers à s'unir : dès septembre 2014, le groupement de Serge Papin annonçait avoir confié à son concurrent nordiste un mandat de négociation avec une centaine de gros industriels. Pourquoi de telles manœuvres entre frères ennemis ? Les multinationales sont plus que jamais sous pression Durant les négociations, achevées fin février, des chiffres ont circulé, faisant rêver les uns et trembler les autres : grâce à leurs rapprochements, les distributeurs pouvaient espérer soutirer plusieurs centaines de millions d'euros aux industriels. Les PME n'échappent pas à la guerre des prix Promis juré, seuls les géants internationaux ont affaire à ces mégacentrales ! Les agriculteurs seront des victimes collatérales

Le magasin du futur que les distributeurs nous préparent en secret Certes, la technologie va envahir l'hyper du futur, c'est inévitable. Paiement via le mobile, "cross canal", "Web to store", les enseignes n'ont que ces mots à la bouche, et essaient de croiser les ventes physiques et sur Internet. Ainsi, le magasin sans stock fait déjà son apparition. Celui testé par Decathlon à Englos (Nord) propose des articles à l'exposition, mais pas à emporter : les clients paient et reçoivent leurs emplettes chez eux le lendemain. Trois fois moins de place, trois fois plus de choix ! Le commerce en grande surface est-il mort pour autant ? Non, mais les clients le veulent plus chaleureux. > Retrouvez en images le supermarché de demain. Benoît Berthelot

Le CROSS CANAL, c’est une révolution ! Que ce soit sur son ordinateur, sa tablette ou son smartphone, un consommateur prépare aujourd’hui 8 fois sur 10 son achat en ligne avant de se rendre en magasin. A priori, on pourrait penser que les grandes enseignes de distribution qui possèdent, pour la quasi-totalité d’entre elles, quel que soit leur secteur d’activité (habillement, alimentation, etc.), un réseau de distribution physique et un réseau de distribution virtuel (un site Internet marchand sur lequel il est possible d’acheter tout ou partie de ce qui est disponible en magasin), sont bien préparées à ce nouveau comportement mais seuls 17% des consommateurs trouvent à l’heure actuelle qu’elles rendent, dans les faits, agréable le passage d’un canal à un autre (1). Pour répondre aux nouvelles attentes des consommateurs, elles doivent par conséquent changer en profondeur leur stratégie de distribution et penser désormais CROSS CANAL ! Qu’est-ce qu’un consommateur cross-canal ? Xavier Schneider (Illustration par Eric Taccone) Notes

Les Millennials, un casse-tête pour les marques « Indécente », « pathétique », « complètement à côté de la plaque »... En avril dernier, l'américain Pepsi voulait devenir viral sur internet pour inciter les Millennials à consommer ses sodas. L'objectif a été en partie rempli : sa vidéo de 2 minutes 30 a bien tourné en boucle sur les réseaux sociaux. Mais le buzz fut un « bad buzz », dévastateur pour son image de marque. Le producteur de boissons pensait pourtant avoir coché toutes les cases pour faire rêver les 18-30 ans, sa cible prioritaire. Diffusée alors que de nombreuses manifestations contre le racisme ou pour les droits des femmes se tenaient aux Etats-Unis, la publicité a totalement ringardisé Pepsi. « Les protestataires ont déjà tenté de donner des boissons à la police, ça n'a rien changé », a tweeté le journal anglais The Independent, avec une vidéo de violences policières. « Qui a validé l'idée d'utiliser les problèmes raciaux pour vendre du faux Coca ? L'erreur fatale de Pepsi ? L'erreur fatale de Pepsi ?

Vincyplast s’ouvre au BtoC C'est une nouvelle étape de son développement. La Vauclusienne Vincyplast, fabricante et distributrice de la marque Pedrito entre en offensive dès ce printemps sur le marché du BtoC. Positionnée pour les particuliers sur le segment des sauces pour salades, elle a ainsi choisi de développer une nouvelle gamme, dont le concept, voulu ludique, est fortement inspiré de celui d'une célèbre marque de café en capsules. Le contenant principal, un cube en carton, s'ouvre sur neuf mini-bouteilles. Un nouveau levier de croissance s'ouvre donc à celle qui a déjà réalisé en 2017 une progression de l'ordre de 40 %.

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