background preloader

D-Fiction

D-Fiction

L’écran et le livre : Internet : péril ou chance pour les auteurs ? Ce qui change avec le numérique, c’est le rapport de la page blanche au monde. Elle n’est plus miroir, elle est traversée. 1bis Une histoire de la page à réviser selon les récentes découvertes archéologiques : la page, carte de divination, tablette blanche vierge et durcie insérée dans tel angle des fondations du temple, a précédé l’invention de l’écriture. Logique de consommation des contenus : l’élève, de la primaire à l’université, ou le journaliste, ou la documentaliste, cherche d’abord sur Internet avant d’ouvrir son dictionnaire ou d’aller en bibliothèque. Entrez dans un bureau de maison d’édition, une bibliothèque, une salle des profs : l’écran est sur la page d’accueil réseau. Hommage aux pionniers : quand en 1996, via Compuserve plus ensuite télécharger Netscape 1.0, j’ai pu télécharger les Fleurs du Mal sur Athena.Quand j’ai recopié Illuminations et Saison en Enfer, puis le Spleen de Paris. De la subversion progressive des media. La technique. 11 bis. 14bis. 15 bis. 15ter. 16 bis.

Éditions QazaQ Jean-Claude Goiri est entré chez les Éditions Qazaq avec «Ce qui berce ce qui brousse», un recueil de textes poétiques en prose où le fantastique, l’enchantement, percutent le lecteur à chaque pas, avec une infinie douceur, où ses mots nous emportent « dans ce pays si proche qu’on ne le voit même pas. » Dans « Corps Suspendus », il en va bien autrement. Toujours en prose, la plume s’est ici allé à l’image – le dessin de Joë Fernandez – pour un dialogue d’une toute autre nature. S’y donne un monde plus quotidien mais qui, avant de parvenir au lecteur, traverse une âme, parfois un collectif d’âmes, souvent une solitude et sort de cette immersion chargé d’insolite, voire même d’extraordinaire, en conservant ce qui l’enracine profondément au réel. Et tout cela sort gentiment des rails de la raison, de temps à autre avec de petites violences, lâchetés, excès de toutes natures, toujours bien légitimes pour celui qui lit et ne peut que partager intimement ces existences.

20 blogs pour tout suivre sur le livre numérique Les 20 meilleurs blogs de la bouquinosphère numérique Merci à La Feuille d'avoir fait une grande partie du travail sur son blog, j'en ai rajouté quelques autres et omis les sites d'informations que vous trouverez aisément sur Google! PS: en langue anglaise, à rajouter bien entendu les indispensables Teleread, MobileRead, PublishingPerspectives et DigitalReader! Littérature - Bookexpo America 2011: Le e-book et les tablettes numériques en vogue Art et Culture Littérature - Bookexpo America 2011: Le e-book et les tablettes numériques en vogue Publié le samedi 4 juin 2011 | L'intelligent d'Abidjan Le Javits K. Convention Center, sis à la 11e avenue, sur la 44e rue, à Manhattan (New York), a servi de cadre pour l’organisation de l’édition 2011 du plus grand rendez-vous des professionnels et amateurs du livre. Le Bookexpo America 2011 qui s’est tenu du 23 au 26 mai 2011 a rassemblé environ quatre mille cinq cents (4500) exposants et de nombreux visiteurs. Organisé en partenariat avec l’American Book Publishers (Aap), l’Association of Authors Representatives (Aar) et l’American Booksellers Association (Aba), le Bookexpo America, l’équivalent du Salon du livre de Paris, reste à ce jour le plus grand rendez-vous du livre en Amérique du Nord. Cependant cette nouvelle donne n’est pas sans créer de nouveaux challenges à relever. A.Norene à New York

Pour une anthropologie de la lecture - La Feuille - Blog LeMonde.fr Plus j'explore le sujet de la lecture, plus je me rends compte que nous ne savons pas grand-chose de la lecture et des modes de partage que celle-ci induit, et ce, pas seulement dans le numérique, mais même dans le monde du papier. Nous achetons peu les livres que nous lisons Brian O'Leary, en janvier, citait une étude de Forrester (datant de novembre) s'appuyant sur un sondage qui demandait à une population américaine circonscrite comment ils avaient acquis le livre qu'ils lisaient (désolé, je n'ai pas accès aux détails du sondage, l'étude de Forrester coutant ses 500 dollars). La surprise d'O'Leary était la même que la mienne : 50 % des sondés ont répondu qu'un ami leur avait prêté/donné un livre ! Image : Portraits de lecteurs dans le métro, par Nicolas Nova et ses étudiants. Mais on mesure mal le marché de l'occasion comme celui des échanges informels. On ne connaît pas assez la lecture Image : Différentes formes de lectures depuis leur observation, par Robin de Mourat. Share and Enjoy

Comment les Français consomment le livre numérique La consommation de livres numériques 10% des internautes ont téléchargé des livres numériques11% ont consulté des livres via applications pour smartphones ou tablettes14% des lecteurs de livre téléchargent des livres numériques Les intentions de consommation 20% envisagent de télécharger des ebooks dans les 3 prochains mois, dont 6% certainement19% envisagent de consulter des livres sur smartphone ou tablette, dont 5% certainement Les sites où sont téléchargés (ou consultés) les livres numériques : 39% ont téléchargé depuis les sites internet de librairies en ligne34% ont utilisé les applications pour téléphone30% ont utilisé les sites des éditeurs ou des auteurs29% ont téléchargé sur les site qui proposent des fichiers piratés28% ont utilisé un site de lecture en streaming25% sont passés par un site internet de bibliothèque8% sont passés par d’autres voies Comme on peut le voir, les réponses n’étaient pas exclusives. Les types de contenus les plus consultés Auteurs contemporains ou anciens ?

Stallman : 'Je redoute les menottes numériques de l'ebook' [2/2] ActuaLitté Suite de notre entretien exclusif avec Richard Stallman : droit d'auteur, livre numérique, liberté, contrôle étatique... les sujets sont aussi larges que variés... R.S : Je ne suis pas contre le fait de vendre les copies. Je ne suis pas contre le négoce, je ne suis pas communiste. Je suis simplement pour la liberté de l'utilisateur. Mais quelle liberté ? Elle doit dépendre de l'oeuvre dont on parle. L'utilisateur mérite le contrôle complet des oeuvres pratiques qu'il utilise, en utilisant l'oeuvre comme il veut, en ayant la possibilité d'étudier l'oeuvre et de la modifier dans la forme la plus commode pour ce faire (pour un programme cette forme est le code source), de faire et redistribuer des copies exactes de l'oeuvre, de faire et redistribuer des copies de ses versions modifiées de l'oeuvre. Les autres catégories peuvent être aussi libres, mais ce n’est pas moralement obligatoire comme pour les oeuvres de la première. Tous les acteurs du livre numérique ne sont pas des Amazon...

PDG d'Amazon : "Le livre papier, c’est la technologie d’hier" - Economie Un homme affable de 47 ans au regard intense et à la voix douce quand vous le rencontrez, avec une fortune personnelle évaluée à 18 milliards de dollars (20% d’Amazon), Jeff Bezos est en tous cas l’architecte d’une des plus belles "success stories" de l’internet. En 15 ans, sa librairie en ligne est devenue un gigantesque supermarché planétaire, qui vend de tout, partout. Insensible à la crise, son chiffre d’affaires a encore bondi de 40% en 2010 (à 34 milliards de dollars). Depuis 2007, le succès de son lecteur électronique Kindle a aussi fait de ce patron discret la "bête noire" des milieux de l’édition : celui qui terrasse les libraires et impose sa loi aux éditeurs. Aux Etats-Unis, plus de la moitié des ventes d’Amazon sont des "ebooks". Mêmes si certaines catégories de livres - beaux livres, livres d’art, de décoration ou de cuisine - seront moins touchées, dans 5 ans, la grosse majorité des livres vendus sur la planète seront numériques. Le livre papier va mourir?

Le piratage ? Ce n’est plus mon problème. J e vais être honnête. Le piratage, je ne préfère désormais plus m’en préoccuper. Les débats n’avancent pas, les confrontations me fatiguent, les participants restent campés sur leurs idées et arguments, les gens se comprennent de moins en moins. Pour information, je me suis auto-piraté avec American Gonzo . Disons que ce n’était pas du piratage à proprement parler : j’ai simplement décidé de diffuser gratuitement le roman « pour voir ». Les lecteurs pouvaient diffuser le roman à leur guise, le pack complet (tous formats, toutes langues) se trouvant même sur quelques sites de téléchargement direct. Vous pouvez donc constater que je ne suis pas fermé sur ces sujets particuliers — voire problématiques. Des grands idéaux comme des slogans publicitaires. Seulement, j’ai un peu de mal avec les plateformes comme feu The Pirate Bay et associés qui, avec des discours idéologiques grandiloquents, se sont fait un pognon monstre sur le dos de tout le monde. Un « mal » plus profond

Related: