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Partager la classe inversée

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Du 25 au 29 janvier se déroulera la semaine de la classe inversée, une occasion de montrer, de partager des expériences qui se propagent, tout près du concret et loin des idées reçues. Rencontre avec Christophe Le Guelvouit, un des porteurs du projet, qui voit dans sa découverte de la classe inversée une porte qui s’est ouverte sur une permanente réflexion pédagogique. L’histoire de cette découverte est une histoire de coïncidences entre ses interrogations d’enseignant de mathématiques pour accroître l’intérêt de ses cours et un court reportage entendu à la volée sur France Inter au sujet de la classe inversée. Le hasard de la concordance se transforme en opportunité, attise la curiosité du professeur qui illico fait des recherches sur Internet pour en savoir plus. Il voit là une alternative aux cours magistraux pour ses classes de 3e composées de 29 et 30 élèves dont l’intérêt et l’attention sont variables. Réflexion permanente © S. Cours et travail à la maison Ni gadget ni mode Related:  La classe inverséepédago

Pourquoi inverser sa classe ? - Inversons la Classe Pour ceux qui ne la pratiquent pas, la classe inversée pose des difficultés par rapport à un modèle traditionnel. Pour ceux qui la pratiquent en revanche, ces critiques ne sont soit pas justifiées, soit pas insurmontables. Il est bien sûr à noter que les pratiques de classe inversée sont variables. 1. les élèves ne vont pas regarder les vidéos Les enseignants qui pratiquent la classe inversée ne prétendent pas que cette méthode résout forcément tous les problèmes. 2. la classe inversée s’appuie sur/augmente les inégalités La classe inversée apparaît justement comme un moyen intéressant de lutter contre les inégalités scolaires, en différenciant mieux l’apprentissage. La très grande partie des élèves a accès à internet à domicile. Les enseignants qui mettent en pratique la classe inversée sont cependant motivés par la perspective d’aider chacun de leurs élèves de manière plus individuelle. 3. le manque d’interactivité 5. la classe inversée accroît le temps consacré aux devoirs 1. 2. 3. 4.

[Montessori] La pédagogue qui voulait révolutionner le système éducatif français Basta ! : Quelles compétences ont été développées par les enfants de votre classe de Maternelles, à Gennevilliers, entre 2011 et 2014 ? Céline Alvarez [1] : Dès la première année, tous les enfants, suivis par le CNRS, ont progressé plus vite que la norme, sauf un qui était l’enfant le plus absent. Ils sont entrés très facilement dans la lecture, ont fait des mathématiques, des divisions, des soustractions. Un développement social s’est aussi mis en place. Ces résultats ne sont pas là parce que je suis une enseignante merveilleuse ou parce que les enfants sont extraordinaires ou à haut potentiels. En vidéo : du côté des enfants Comment a démarré cette expérience d’enseignement ? Je n’ai jamais souhaité être enseignante. J’ai souhaité mener ce travail de recherche au sein de l’éducation nationale. Sur quels grands principes repose votre enseignement ? C’est le deuxième grand principe : l’enfant est dans une période sensorielle. Par exemple, le problème de illettrisme est un non sujet.

FANI : outil de notions info-documentaires pour une pédagogie de type « classe inversée » L’idée de départ proposée par Mlle Dodin de l’académie de Reims et M. Grabowski de l’académie de Nice étaient de faire correspondre une demande des professeurs-documentalistes concernant les perspectives pédagogiques du dispositif « flip classroom » ou « classe inversée » avec la nécessité de bien définir les notions info-documentaires concernées par les capsules ainsi créées. Le choix a donc été fait de reprendre deux travaux réalisés par les bassins de formation dont nous sommes issus. Deux groupes se sont créés à Reims et à Nice pour convenir des notions à retenir, à supprimer, à développer voire à compartimenter par niveau si nécessaire quand la notion imposait une progression tout au long du cursus info-documentaire de l’élève. Dans un deuxième temps, chaque intervenant s’est positionné sur un niveau, le plus souvent correspondant à une liaison inter-cycles (école-collège, collège-lycée, lycée-université). Par la suite, il a été nécessaire de réfléchir sur la présentation de l’outil.

Classes inversées aux Editions Canopé Canopé publie un modus operandi indispensable : « CLASSES INVERSEES Enseigner et apprendre à l’endroit ! » de Marcel Lebrun et Julie Lecoq. On y a jeté un œil, on vous fait un ptit résumé ici-même et on vous conseille fortement de le glisser dans votre sac à main, sac à dos, baluchon bref le truc que vous avez tout le temps sur vous pour consultation inopinée et partage compulsif avec les collègues. On y apprend plein de trucs qu’on a envie de mettre en pratique tout de suite maintenant. Mais oui !! Je suis prof, la classe inversée ça va me servir à quoi encore ce truc ? Par exemple : craner en salle des profs, répondre aux remarques désobligeantes de votre beau-frère sur les enseignants lors du prochain repas de famille (ça marche aussi avec votre belle-mère), voir les yeux de vos élèves briller et plus encore... Pourquoi ? Bon on va pas se mentir, y a quelques trucs qui changent pas mal avec cette histoire d’internet, de réseaux, d’appareils mobiles et connectés. C’est-à-dire ? Bon. Soit.

L’importance du questionnement dans l’apprentissage À l’ère des technologies de l’information, il est facile de trouver les réponses aux questions factuelles. Vous voulez savoir qui a signé la Déclaration d’indépendance américaine : « Google it »! Si une simple recherche Internet donne sans trop d’efforts accès à la plupart des informations qui échappent à votre mémoire, l’ordinateur n’est toutefois pas aussi habile pour poser des questions. Shutterstock / LuckyImages Ce texte est une adaptation libre du texte « How to Bring ‘More Beautiful’ Questions Back to School » de Katrina Schwartz publié dans le blogue MindShift du média californien KQED. La curiosité fait inévitablement partie de l’expérience humaine. Une habileté naturelle Entre l’âge de 2 et 5 ans, les enfants posent en moyenne 40 000 questions (près de 300 questions par jour vers l’âge de 4 ans), explique Berger. Lorsque les enfants apprennent une chose à propos de laquelle ils étaient curieux, ils sont satisfaits et éprouvent du plaisir; leur cerveau produit de la dopamine.

Je connais les différents modes d'organisation des documents : Distinguer Fiction, Documentaire et Revue [Cycle 3] E.M.I. Classe Inversée (3) - Nouveautés Littérature Jeunesse Sais-tu que tous les livres ne se lisent pas de la même façon ? Chaque type de livre est organisé de manière différente. On distingue en général les livres de fiction qui contiennent des histoires inventées, les documentaires qui évoquent les connaissances sur un sujet et les revues ou magazines. Regarde cette vidéo de Nolween Vigouroux pour bien comprendre la différence... Je te propose maintenant un petit jeu de pendu ! Dans la plupart des bibliothèques il y a un espace différent pour chacune de ces catégories : - Fiction : Roman, Nouvelles, Poésie, Théâtre - Documentaire - Revue - Usuels : dictionnaire et encyclopédie Ces livres ne se parcourent pas de la même façon et chacun a son propre mode d'organisation que nous découvrirons ensemble très vite !

L'énigme (explications) Au fur et à mesure des questions (et réponses correctes!), le personnage de la classe évolue sur la grille de jeu (Google Drive). Pour avancer d’une case, il faut poser et répondre correctement à une question de même couleur que le rond. Pour éliminer un monstre, il faut poser et répondre correctement à une question de même couleur que celui-ci. Les monstres éliminés donnent des bonus nécessaires à la progression. Le but du jeu est de collecter des gemmes: Ces gemmes permettent de déverrouiller des documents indices (exemple d’un document indice en histoire) (sur la page www.bdidier.fr/lenigme). Ces indices ont tous en lien avec un document mystère (un en Histoire et un en Géo) distribué en début de jeu et collé sur une copie double.

Système de notation Dans mon fonctionnement quotidien, je n’utilise pas de notes pour évaluer mes élèves. Dans le cahier du jour, je mets des appréciations classiques (tb, b…). Mais lorsque je veux évaluer de manière bien précise, j’utilise un système de notation avec des couleurs. L’utilisation de couleurs, un peu comme en maternelle, est pratique et visuelle : en un coup d’oeil, l’élève voit où il en est. Je les utilise pratiquement pour tout (plans de travail, évaluations, poésies…). A ceux qui se demandent pourquoi ne pas utiliser plutôt des smileys, là c’est une réflexion purement personnelle. Mon code : La version en échelle : Et sur une idée de Qat, qui s’est elle-même inspirée du travail de Maitresse Elise, j’opte à la rentrée 2014 pour une représentation en échelle.

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