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Découverte de l’économie - Cité de l'Économie et de la Monnaie

Découverte de l’économie - Cité de l'Économie et de la Monnaie

L'économie collaborative va détruire les emplois ? Pas grave ! Il ne faut pas se voiler la face : bien sûr que l’économie va détruire massivement des emplois. Mais est-ce une catastrophe ? Oui, si l’on ne prend pas de recul sur ce que signifie « emploi », « travail », et le lien avec les revenus. Non, si l’on ose prendre au sérieux les solutions radicales qui se présentent. Il y a quelques mois, le site des Echos publiait un intéressant article sous la plume de Dominique Turcq. « Le modèle « collaboratif » va détruire des emplois » affirme ce dernier. Parmi les arguments invoqués, le fait que le crowdsourcing est en train de se substituer à de nombreux métiers, par exemple la photographie : Des emplois rémunérés seront remplacés par des travaux d’amateur disponibles gratuitement ou par des emplois faiblement rémunérés. Le même phénomène est bien entendu réplicable dans bien d’autres secteurs. L’ère de la seconde économie Pour Brian Arthur, c’est là le signe qu’une seconde économie s’est formée aux côtés de l’économie physique. Utopique ? Illsutration

Explicit cookie consent GREEK pensions have been a source of acrimony since the first bail-out five years ago. Germans in particular, who were being asked to retire later, resented having to help what they regarded as feckless Greeks, many of whom were drawing pensions in their 50s. Yet since then there have been two major reforms, pushing the statutory retirement age up from 60 for women and 65 for men to 67, while pension benefits have been cut. One reason was the dire starting-point. In part this reflected an especially generous set of benefits, which provided the highest “replacement rate” (of earnings before retirement) for public pensions among the OECD club of 30 or so mainly rich countries before the euro crisis, in 2008. Indeed, those working in strenuous occupations for 25 years and contributing overall for 35 years could retire as early as 55. Reforms in July 2010 and November 2012 did much to put the pension system on a sustainable footing for the long-term.

Libéraliser ou réglementer Adopté par l’Assemblée nationale – sans vote, par utilisation de l’article 49-3 – le projet de loi « Macron » pour la croissance, l’activité et l’égalité des chances économiques a été voté par le Sénat le 12 mai dernier. Pas moins de 133 heures de débat en séance ont été nécessaires à cette adoption (après 111 heures à l’Assemblée) pendant lesquelles les mesures initialement annoncées concernant les professions réglementées ont été remaniées vers une plus forte libéralisation. Les débats vifs autour de ce projet s’inscrivent dans une longue controverse française sur les professions réglementées depuis plus d’un demi-siècle [1]. Une telle modernisation est aussi réclamée par les instances européennes. En 2006, la directive Bolkenstein réaffirme la libre prestation de service au sein des États membres de l’Union, inscrite dès 1957 dans le Traité de Rome, mais non réalisée jusqu’alors. Réformer pour amplifier la concurrence Régimes de concurrence parfaite et imparfaite

Financial Stability Board L'erreur de Thomas Piketty, Le Cercle Le succès international et mérité du livre de Thomas Piketty ne pouvait que susciter les critiques des inconditionnels de la pensée libérale. C’est chose faite. Le Financial Times a repris les données collectées par l’économiste français, y a relevé des inexactitudes et a mis en doute ses conclusions, à savoir que le capitalisme générait, et se nourrissait, des inégalités de fortune. L’erreur de Thomas Piketty ne se situe pas là. Si les économistes ont été incapables de prévoir la grande crise de 2007-2008, et ont encensé la gestion des pays (États-Unis, Angleterre, Irlande, Espagne) où la crise allait éclater, c’est précisément parce qu’ils ne tenaient aucun compte des précieuses données qui ont fait l’objet des recherches de Thomas Piketty, à savoir l’accumulation des actifs, la richesse, et des passifs, l’endettement. Or "l’ancienne science économique" ne s’intéresse et ne modélise que les flux à travers l’équilibre "emploi-ressources".

Un nouvel ordre mondial Le travailleur travaillé... par le doute Retournez votre iPhone et vous y trouverez les huit petits mots du business plan qui a assuré la fortune d’Apple: « Conçu par Apple en Californie. Assemblé en Chine. » Avec une capitalisation boursière de 500 milliards de dollars, Apple est devenue la société la plus valorisée au monde. Sous ses diverses variantes, cette stratégie assure certes le succès de grandes entreprises mondiales, telles qu’Apple, mais aussi de moyennes entreprises et même de « micro-multinationales ». Un nombre croissant d'entreprises tirent le plus grand profit des deux grandes forces motrices de notre époque : la technologie et la mondialisation. La technologie a accéléré le processus de mondialisation, en réduisant de façon spectaculaire les coûts de communication et de transaction, et en faisant de plus en plus ressembler le monde à un grand marché unique pour la main-d’œuvre, les capitaux et les autres facteurs de production. Le capital à la peine Techcrunch disrupt

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