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Inflation cosmique

Inflation cosmique
Inflation cosmique (en beige), avant 10-32 seconde. L'inflation cosmique est un modèle cosmologique s'insérant dans le paradigme du Big Bang lors duquel une région de l'Univers comprenant l'Univers observable a connu une phase d'expansion très rapide qui lui aurait permis de grossir d'un facteur considérable : au moins 1026 en un temps extrêmement bref, compris entre 10-36 et 10-33 secondes après le Big Bang. Ce modèle cosmologique offre une solution à la fois au problème de l'horizon et au problème de la platitude. Cette phase d'expansion, nommée « inflation » en 1979 par son premier théoricien, le physicien américain Alan Guth[1], se serait produite très tôt dans l'histoire de l'Univers, à l'issue de l'ère de Planck ou peu après, de l'ordre de 10-35 seconde après le Big Bang. Contexte historique[modifier | modifier le code] L'explication du fait que l'Univers pût être homogène et isotrope était par contre inconnue. Principe général de l'inflation[modifier | modifier le code] Related:  Formation de l'Univers

Multivers Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le terme de multivers désigne l'ensemble de tous les univers possibles, parmi lesquels figure notre univers observable. Approche scientifique[modifier | modifier le code] Il existe plusieurs théories de multivers. d'Hugh Everett, où l'univers (ainsi que l'observateur lui-même) fourche à chaque observation d'état quantique sans que les lois fondamentales en soient changées. Si plusieurs physiciens, comme David Deutsch, s'emploient à trouver des moyens de confirmer ou d'infirmer cette existence du multivers[3], la littérature de science-fiction y avait très tôt trouvé un vaste thème à exploiter, souvent combiné avec celui du voyage temporel. Dans les œuvres de fiction[modifier | modifier le code] Littérature Dans un registre moins loufoque, Philip K. Multiversum, roman de science-fiction de Leonardo Patrignani, parle d'un multivers grâce auquel Alex et Jenny, deux adolescents, se trouvent. Cinéma et télévision Voir aussi[modifier | modifier le code]

Protoplanète Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Une protoplanète est un embryon de planète qui se forme dans le disque protoplanétaire[1]. Formation des protoplanètes[modifier | modifier le code] Les protoplanètes se forment à cause des collisions qui se produisent entre les différents corps planétésimaux pouvant aller jusqu'à 1 kilomètre de diamètre qui s’attirent en raison de la gravité. Selon la théorie de la formation des planètes chaque orbite des protoplanètes est légèrement perturbée par l'interaction avec les autres protoplanètes, jusqu'à ce que d'autres collisions se produisent. Exemple[modifier | modifier le code] Voir aussi[modifier | modifier le code] Référence[modifier | modifier le code] ↑ [archive] Portail de l’astronomie

Voir avant le Big Bang ?, par Aurélien BARRAU Peut-on voir avant le Big Bang ? Je présente ici une idée nouvelle que nous venons de publier dans Physical Review D, ici, pour tenter d’ouvrir une fenêtre sur l’avant Big Bang. La théorie de la relativité générale est claire : la question de l’avant Big Bang n’a aucun sens. Néanmoins, la relativité générale n’est sans doute pas la théorie ultime. Pour aller au-delà, il faut des théories de gravitation étendue ou de gravitation quantique. Avec mes étudiants et amis Flora et Killian, nous avons récemment compris un comportement étrange associé à cette phase de contraction. Evidemment, plus on regarde une galaxie qui a émis de la lumière il y a longtemps plus la distance de luminosité qui nous sépare d’elle est importante. Dans un univers en rebond la distance de luminosité peut – dans certains cas et je n’entre pas ici dans les détails – à nouveau décroitre si la galaxie a émis de la lumière il y a très longtemps !

taille des étoiles Censure cosmique Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. En astrophysique, le terme de censure cosmique (cosmic censorship en anglais) désigne une conjecture à propos de la nature des singularités dans l'espace-temps. Selon elle, il n'existe pas de processus physique donnant naissance à une singularité nue, c'est-à-dire une région de l'espace dont le champ gravitationnel prend des valeurs infinies et qu'il n'est de ce fait pas possible de décrire à l'aide de la relativité générale. Le terme de « censure cosmique » est entre autres l'œuvre du mathématicien britannique Roger Penrose. Il a une connotation humoristique, la « censure » visant à « cacher » au reste de l'univers les objets appelés singularités dites « nues ». Introduction et motivations[modifier | modifier le code] La relativité générale décrit les phénomènes gravitationnels dans l'univers. Anecdote[modifier | modifier le code] Expérimentation[modifier | modifier le code] Notes et références[modifier | modifier le code] (en) Robert M.

Planetesimo Da Wikipedia, l'enciclopedia libera. Un planetesimo è un oggetto roccioso primordiale alla base della formazione dei pianeti, asteroidi e del sistema solare. Formazione[modifica | modifica wikitesto] Una teoria largamente accettata, la cosiddetta Ipotesi Planetesimale di Viktor Safronov, afferma che i pianeti si formino grazie a granelli di polvere che collidono e si aggregano per formare corpi sempre maggiori. Planetesimi nel nostro Sistema Solare[modifica | modifica wikitesto] I planetesimi sopravvissuti fino al giorno d'oggi sono molto preziosi per gli scienziati in quanto contengono informazioni che riguardano la nascita del nostro sistema solare. Definizione[modifica | modifica wikitesto] Il termine planetesimo deriva dal concetto matematico infinitesimo, che letteralmente significa la frazione più piccola di un pianeta. Classificazione[modifica | modifica wikitesto] Collegamenti esterni[modifica | modifica wikitesto] Discovering the Essential Universe by Neil F.

Astrophysique: une théorie se passe de la matière noire Buzz de science Posté le 27 novembre 2017 par Pierre Thouverez dans Espace Un article paru dans The Astrophysical Journal propose un nouveau modèle théorique de l'Univers basé sur l'invariance d'échelle du vide. Il se passe de l'existence de la matière et de l'énergie noire pour expliquer l'accélération de l'expansion de l'univers et sa «masse manquante». Pour expliquer l’accélération de l’expansion de l’Univers, les mouvements des étoiles et des galaxies, les chercheurs ont émis l’hypothèse de l’existence d’une matière que l’on ne peut pas voir, la matière noire et d’une force supérieure à l’attraction gravitationnelle, l’énergie noire. Faire appel à l’invariance d’échelle du vide André Maeder, professeur honoraire au département d’Astronomie de la Faculté des sciences de l’UNIGE (Université de Genève – Suisse), propose un modèle théorique où ces deux hypothèses seraient caduques. Plusieurs grands mystères résolus ? Sophie Hoguin

Comparaison des planetes, des étoiles, des soleil, ces aimants géants Théorie de Kaluza-Klein Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. En physique, la théorie de Kaluza-Klein (encore appelée théorie de KK) est historiquement le premier modèle ayant tenté d'unifier les deux interactions fondamentales que sont la gravitation et l'électromagnétisme. En 1919 Theodor Kaluza proposa sa découverte à Einstein qui l'accepta. La théorie a été présentée pour la première fois dans une publication en 1921[1] et fut découverte par le mathématicien allemand Theodor Kaluza qui a étendu la relativité générale au cas d'un espace-temps à 5 dimensions. Les équations d'une telle théorie peuvent être décomposées en des équations d'Einstein correspondant à l'espace-temps usuel à 4 dimensions d'une part, les équations de Maxwell décrivant l'électromagnétisme en 4 dimensions d'autre part et enfin l'équation de Klein-Gordon régissant la dynamique d'un champ scalaire supplémentaire appelé le radion. Principe de base[modifier | modifier le code] Notes et références[modifier | modifier le code] ↑ Th.

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