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Les neuf erreurs qui poussent les employés compétents à démissionner 

Les neuf erreurs qui poussent les employés compétents à démissionner 
On entend bien souvent les managers se plaindre de voir leurs meilleurs employés partir, et ils ont de quoi être mécontents au vu du coût et des conséquences de ces départs pour l'entreprise. Généralement, les mêmes managers trouvent mille et une raisons à cela et passent complètement à côté du problème: les employés ne s'en vont pas à cause du poste ou de l'entreprise, mais de leurs supérieurs! Il suffirait pourtant que ces derniers fassent quelques efforts supplémentaires et changent de point de vue. Pour cela, il est indispensable de savoir quelles sont les neuf pires pratiques managériales qui poussent les salariés à partir. 1. Ils donnent trop de travail à leurs subordonnés Rien de tel pour épuiser son personnel que de le surcharger de travail. Si vous comptez augmenter la charge de travail de vos salariés les plus capables, vous devez également leur donner quelques contreparties. 2. 3. Plus de 50% des départs sont dus à une mauvaise relation avec un supérieur. 4. 5. 6. 7. 8. 9. Related:  Bien être et Conditions de Travail

Mettre en place le #télétravail, suivez le guide! - I love SIRH Un guide méthodologique à télécharger pour mettre en place le télétravail Ce guide méthodologique produit par le réseau ANACT ARACT (Agence Nationale et Associations Régionales pour l’Amélioration des Conditions de Travail), en octobre 2016, permet aux entreprises : de découvrir ce qu'il faut savoir sur le télétravail, et, comment mettre en place en celui-ci. Quelques faits On y apprend notamment les faits suivants : 60 à 70 % des salariés sont intéressés par le télétravail. Des conseils pour la conduite du projet Retrouvez notamment dans ce guide : Les différentes formes et approches du télétravail.

Communication Non Violente : les fondamentaux | BLOCULUS La situation ci-dessus vous semble familière ? Vous êtes-vous déjà surpris à fuir une discussion par crainte de vous emporter ? Vous arrachez-vous les cheveux en ce moment même pour trouver le moyen d’exprimer à quelqu’un ce que vous ressentez sans exploser ? C’est au travers de la lecture de « Cessez d’être gentil, soyez vrai » de Thomas D’Ansembourg que j’ai découvert la Communication Non Violente. Véritable outil de développement personnel, elle permet de (re)découvrir avec humilité la communication et de ne plus se laisser dominer par nos émotions mais les appréhender avec à-propos et sérénité. Voici donc, du bout de mes feutres, une présentation qui me tient à cœur de ce processus de communication. Voici trois méthodes pour réussir à échouer dans sa communication, notamment lorsqu’une conversation devient difficile. Attaquer Première méthode : laisser son caractère sanguin et impulsif prendre le dessus et passer à l’attaque. Fuir Encaisser Résultat « C’est pas moi, c’est les autres »

L’intelligence émotionnelle existe-t-elle? Au-delà de ce titre volontairement racoleur et faussement polémique, il y a deux aspects de l’intelligence émotionnelle qui me posent problème. Le premier, son appellation, peut paraître anecdotique, mais a un impact parfois trompeur. Le second, plus dérangeant à mes yeux, c’est l’absence de traitement des origines de l’émotion, au profit du traitement de ses conséquences, qui me paraît intellectuellement insatisfaisant d’une part et psychologiquement insuffisant d’autre part. Nous vivons une époque formidable dans laquelle le ripolinage linguistique permet de redonner de jolies couleurs à tout un tas de choses sans avoir à en modifier le contenu. Disons-le, le choix de terme “intelligence émotionnelle” a un côté très sexy sur le plan marketing, Pour deux raisons : Il sépare les émotionnellement supérieurs des émotionnellement demeurés, tout juste dignes d’un bocal à con. Inscrire le débat dans la dimension de l’intelligence me paraît totalement hors de propos. Lectures complémentaires:

La sélection des plus beaux bureaux à Nantes Se sentir au bureau comme à la maison. Aujourd’hui, le secret de la productivité au travail n’en est plus vraiment un. Découvrons aujourd’hui les bureaux les plus créatifs et cools de Nantes. Et ils ont un point commun : l’Agence Decodheure ! Souvenez-vous, nous vous avions présenté les locaux de We are Social, et Nobilito designés par les deux créatifs nantais de Decodheure ! Une déco ultra design, des fauteuils moëlleux, des endroits de détente, donnant envie de faire des heures sup’ … Cette fois, nous revenons sur leur travail pour une première sélection des bureaux les plus agréables et confortables de Nantes. Sandie Perraud et Pierre Édouard Milochau, les deux acolytes de l’agence d’architecture d’intérieur, Decodheure basent leur travail sur la notion de Design Thinking. iAdvize Intuiti Quand nous avions lancé l’appel #quialesplusbeauxbureaux sur notre compte Twitter, Intuiti nous avait immédiatement répondu pour nous dévoiler ses nouveaux locaux. BeApp Lengow Decodheure Vinciane Ruscon

Travailler en mode collaboratif : 200 fiches pratiques et méthodologiques MultiBaO est une nouvelle multi-boite à outils consacrée à l’organisation en collectif et à la gestion de projets. Ses initiateurs, un collectif non formel composé de membres de plusieurs associations et universités propose – sous licences Creative Commons – des ressources pour les animateurs de réseaux/groupes sous la forme de fiches outils et méthodes. Chacun est invité à contribuer à l’amélioration et à l’écriture de nouvelles fiches. Des fiches pour participer et collaborer 200 fiches autour des démarches participatives et collaboratives sont déjà téléchargeables via un dossier Dropbox : Accélérateur de projet, atelier de créativité, cartographie participative, veille collaborative… L’ensemble des thèmes et des ateliers est exhaustif. Les contributions sont également disponibles sur le site MultiBaO au fur et à mesure des publications par le collectif ou les contributeurs extérieurs. Fiches synthétiques sur la collaboration En une phraseA quoi ça sert ? Pour en savoir plus

Baromètre national sur la qualité de vie au travail dans l'ESS Publié par L’équipe Fonda le 11 septembre 2016 Participez à la 2e édition du baromètre national proposé par la mutuelle CHORUM sur la qualité de vie au travail dans l’économie sociale et solidaire. Destinée aux salariés et employeurs du secteur, cette enquête sera en ligne du 3 au 21 octobre. Dans le contexte actuel, où l’ESS est confrontée à de nombreuses évolutions sociales et économiques, la qualité de vie au travail constitue un enjeu fort. Du 3 au 21 octobre, CHORUM lance la 2e édition de son baromètre national, en partenariat avec le Ministère en charge de la vie associative et le Secrétariat d’Etat en charge de l’économie sociale et solidaire, et mise en place par l’institut de sondage CSA. L’enquête intègrera cette année des thématiques en lien avec les nouveaux enjeux de la qualité de vie au travail dans le secteur : impact du numérique, accès à la formation, modalités d’organisation du travail (télétravail, forfait jours…). Pour qui ? Pour quoi ? Comment participer ?

Vitamines mentales: 50 micro plaisirs à collectionner au travail Les vitamines mentales, ces mini capsules de plaisir et de joie qui réchauffent nos journées, sont présentes autant dans nos vies professionnelles que personnelles, même si elles paraissent encore plus imperceptibles et insaisissables, voire inexistantes, dans les premières. Pourtant elles sont là et ne demandent qu’à être captées, produites, cultivées, récoltées, collectionner pour nous redonner un peu d’énergie et de vitalité. J’étais ces jours-ci en train de préparer une conférence sur les vitamines mentales pour une centaine de cadres d’une société et en farfouillant dans mes archives sur le sujet, je suis retombée sur une liste d’exemples de petits bonheurs au travail commencée il y a longtemps. … car comme disait Christophe André dans ses 3 minutes à méditer “Que nous restera-t-il si nous ne savourons pas les moments agréables?” Le philosophe Alexandre Jollien propose une alternative simple : la joie, sous la forme d’un abandon au réel tel qu’il se propose. Aller plus loin

MOOC le Travail Flexible 1. Présentation du site. En vertu de l'article 6 de la loi n° 2004-575 du 21 juin 2004 pour la confiance dans l'économie numérique, il est précisé aux utilisateurs du site l'identité des différents intervenants dans le cadre de sa réalisation et de son suivi : Propriétaire : Unow – SAS – 75 rue TurbigoCréateur : Mathieu MachadoResponsable publication : Léa Sidersky – contact@unow.fr Le responsable publication est une personne physique ou une personne morale.Webmaster : Léa Sidersky – contact@unow.frHébergeur : OVH – 2 rue Kellermann - 59100 Roubaix - France. Crédits : les mentions légales ont été générées et offertes par Subdelirium SubDelirium 2. L’utilisation du site implique l’acceptation pleine et entière des conditions générales d’utilisation ci-après décrites. Ce site est normalement accessible à tout moment aux utilisateurs. Le site est mis à jour régulièrement par Léa Sidersky. 3. 4.

Travail : le coût du présentéisme plus élevé que celui... de l'absentéisme INFOGRAPHIE - Avec la crise, les employés sont plus enclins à venir travailler en toutes circonstances. Or un salarié présent à son poste mais fatigué ou malade est peu productif, ce qui a un coût considérable pour l'entreprise. Le surinvestissement au travail est néfaste à la santé des employés et la productivité des entreprises. Pour lutter contre ce phénomène, le Japon a décidé de forcer les travailleurs à prendre un minimum de 5 jours de vacances par an. De fait, Matthieu Poirot, fondateur du cabinet Midori Consulting, explique «qu'avec la crise, les salariés sont de plus en plus enclins à venir travailler, même malades ou fatigués. Une comparaison entre pays permet d'établir un lien inversement proportionnel entre taux de productivité et temps passé au travail. Les travailleurs français se situent dans la moyenne. «Les entreprises qui n'investissent pas sur la qualité au travail le paient en termes de chiffre d'affaires», alerte ainsi Matthieu Poirot.

Partir plus tôt du travail © Jupiter Votre journée touche à sa fin et votre stress monte. Votre conjoint vous attend pour le dîner, les enfants aussi. Ou bien c’est le jour de votre séance de sport. Sophie Péters Éduquez votre hiérarchie. Expliquez vos raisons en toute transparence. Appuyez-vous sur le collectif. Sondez vos collègues et étudiez une organisation qui permettrait à chacun de mieux équilibrer ses temps de vie. A lire aussi Attention au présentéisme Le surinvestissement professionnel est une forme de souffrance au travail, taboue en France. Éliminez les projections imaginaires. Comment connaîtrait-il vos besoins si vous ne les exprimez pas ? Sinon, vous risquez d’en vouloir à votre hiérarchie, sans qu’elle réalise que vous entrez en résistance et que vous vous démotivez. Le piège à éviter : tomber dans la supposition de ce que l’autre (votre chef) attend de vous. Soyez pleinement sujet. Le choix ne sera en aucun cas une réalité fixe et pérenne, du côté professionnel comme du côté personnel. Mai 2014

"J'ai un job à la con" : neuf salariés racontent leur boulot vide de sens - 18 avril 2016 Claire*, 24 ans, contractuelle de la fonction publiqueClaire passe ses journées sur Facebook. Un dimanche soir, devant sa boîte mail vide, elle a fondu en larmes. « J’envoie des questionnaires à des étudiants. "Que pensez-vous de votre faculté ?", "De vos cours ?" Quand je travaille, je sors parfois des statistiques sur de tout petits échantillons. Il peut m'arriver de faire des semaines à zéro heure de travail effectif. Mon responsable m’a surpris plusieurs fois mais il ne dit jamais rien. J’en ai parlé à mon n+1. Psychologiquement, je suis à bout. Mon père ne comprend pas. * Pour préserver l'anonymat, tous les prénoms ont été changés.

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