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Responsabilité sociale des entreprises et compétitivité

Responsabilité sociale des entreprises et compétitivité
La responsabilité sociale des entreprises se définit comme la manière dont les entreprises intègrent, sur une base volontaire, des préoccupations sociales, environnementales et éthiques dans leurs activités économiques comme dans leurs interactions avec toutes les parties prenantes, qu’elles soient internes (dirigeants, salariés, actionnaires, etc.) ou externes (fournisseurs, clients, etc.). Ce sujet recueille une audience qui s’étend progressivement à toutes les sphères d’activité. Industriels, responsables associatifs, hommes politiques et experts sont toujours plus nombreux à réclamer une mobilisation collective pour mieux appréhender cette thématique dans ses différentes dimensions. Ils y voient une occasion de repenser le modèle de l’entreprise du XXIe siècle et de susciter de nouvelles dynamiques de croissance durable et inclusive. De nombreux constats et enseignements se dégagent de ce travail. Related:  A LIRE

Institut national d’études démographiques Emploi, école : les réussites et les blocages de l’intégration en France LE MONDE | • Mis à jour le | Par Maryline Baumard Du premier pied posé en France par un immigré à l’installation dans la vie adulte de ses enfants s’écrit une histoire d’intégration. Pour comprendre ce processus, qui transforme en Français un nouveau venu et sa descendance, mais aussi pour en repérer les blocages, une équipe de 22 chercheurs de l’Institut national d’études démographiques (INED) et de l’Institut national de la statistique et des études économiques (Insee) ont scruté les vies de 8 300 immigrés issus de sept vagues d’entrées successives. Ils les ont comparées à celles de 8 200 de leurs descendants et à des Français sans ascendance étrangère. Les 600 pages d’analyses, intitulées « Trajectoires et origines », rendues publiques vendredi 8 janvier, se lisent comme le roman scientifique de la construction de la France contemporaine. Lire aussi « La population française a pris conscience qu’elle vit dans une société multiculturelle »

Services-Tourisme-Transports - L'accès aux services, une question de densité des territoires Imprimer la page Max Barbier, Gilles Toutin, Commissariat général à l’égalité des territoires, David Levy, pôle Analyse territoriale, Insee Résumé En France métropolitaine, un habitant sur deux accède en moins de 4 minutes, par voie routière, aux principaux services de la vie courante. Entre les communes les plus « denses » et les moins « denses », selon une approche fine de la répartition de la population, les temps d’accès vont du simple au triple. Le trajet peut être plus long à cause du relief ou en raison de la grande dispersion de la population. Sommaire Encadrés Publication Un habitant sur deux accède aux services de la vie courante en moins de 4 minutes Les conditions d’accès des habitants aux services de proximité constituent un enjeu des politiques territoriales (encadré 1). Cette étude aborde la question des temps de trajet, critère prépondérant de l’accessibilité des services dans les espaces de faible densité de population. Champ : France métropolitaine. Retour au sommaire Encadrés

Qui sont les allocataires de minima sociaux Tendances Quatre millions de personnes sont allocataires d’un minimum social en France, selon le ministère des Affaires sociales (données fin 2013)1. Si l’on comptabilise les conjoints et les enfants, sept millions de personnes sont ainsi protégées, soit plus de 10 % de la population. Qui sont-elles ? Contrairement aux pays anglos-saxons, notre système de retraite assure en règle générale des revenus suffisants pour éviter la pauvreté. 11 % de la population a entre 65 et 74 ans, mais c’est le cas de 4,5 % des allocataires (données à fin décembre 2011). Les couples (avec ou sans enfants) forment 44 % des allocataires contre 65 % de l’ensemble de la population. La part des immigrés3 parmi les allocataires (22 %) est beaucoup plus importante que dans la population globale (8 %). Le critère qui sélectionne le plus est le diplôme. 1. « Les bénéficiaires de minima sociaux en 2013 », études et résultats n°945, min. des Affaires sociales, décembre 2015.

Rapport travail, emploi, numérique : les nouvelles trajectoires Le mercredi 6 janvier 2016, le Conseil national du numérique a remis son rapport “Travail emploi numérique : les nouvelles trajectoires” à Myriam El Khomri, Ministre du TRavail, de l’Emploi, de la Formation professionnelle et du dialogue social. Pour télécharger les documents, c’est par ici : Saisine Le Conseil national du numérique, commission consultative indépendante a été chargé par le Ministre du Travail, de l’Emploi, et de la Formation professionnelle, d’une saisine sur les questions de travail, d’emploi et de numérique (lien vers la lettre de saisine). L’objectif de cette saisine est d’analyser les impacts de la révolution numérique sur plusieurs sujets : quels nouveaux métiers et quelles nouvelles compétences, et comment conduire la transformation numérique des entreprises ? Pour répondre à ces questions un groupe de travail piloté par Nathalie Andrieux, membre du CNNum, a été créé. Download (PDF, 257KB) 6 ateliers contributifs ont été organisés : consulter les compte-rendus.

FIDAL et Publicis Consultants dévoilent leur étude sur le mécénat d’entreprise et la responsabilité sociétale de l’entreprise (RSE) - FIDAL avocats : le blogFIDAL avocats : le blog FIDAL, premier cabinet d’avocats d’affaires en France et en Europe continentale, et Publicis Consultants, agence de communication, révèlent aujourd’hui les résultats de leur étude « Mécénat d’entreprise : un trait d’union vers la RSE ». Menée par l’équipe « Fondations, Mécénat & Entreprises » de FIDAL et Publicis Consultants, dans un contexte où un grand nombre d’entreprises sont soumises à des obligations de transparence en matière sociale et environnementale, cette étude aborde les liens existants entre stratégie de mécénat et engagements RSE. Une évolution du cadre légal : de la « soft law » à la « hard law » Relevant initialement du volontariat, les démarches RSE sont dorénavant imposées à un nombre croissant d’entreprises, contraintes de publier leurs données sociétales, économiques et environnementales selon le respect de normes internationales, qui inscrivent entre autres le droit humain, l’engagement auprès de la communauté ou l’environnement au cœur de leurs préoccupations.

La Tribune - L’économie collaborative n’est pas sociale et solidaire La Tribune reprend les propos de Hugues Sibille, président du Labo de l’ESS ESS Économie sociale et solidaire | Présentation, lors de son grand entretien sur les liens et différences entre économie sociale et solidaire et économie collaborative. « Sous couvert de bonnes intentions, l’économie collaborative ne fait que mettre en œuvre son idéal mercantile. Or, elle fait de l’ombre à l’économie sociale et solidaire sur le terrain des valeurs. L’économie collaborative n’a pas toutes les vertus qu’on lui prête souvent. Pas les mêmes principes L’ancien vice-président du Crédit coopératif n’a pas tort. Or le moins que l’on puisse dire, c’est que les principales sociétés qui constituent l’économie collaborative ne répondent pas à ces principes, malgré une volonté exacerbée de le faire croire. « L’économie collaborative peut avoir pour but le profit et générer des entreprises capitalistes classiques. Pour lire l’article dans son intégralité cliquez ici.

13 documents sur l’innovation sociale et son impact | créativité 33 13 DOCUMENTS SUR L’INNOVATION SOCIALE ET SON IMPACTAndré Fortin. 20 janvier 2016. La réflexion sur l’innovation sociale s’accélère depuis quelques années. Après une première vague de documents consacrés à sa définition, on s’attarde maintenant davantage sur les méthodologies d’accompagnement et de mise en œuvre ainsi que sur les indicateurs permettant de qualifier une innovation sociale tout en démontrant son impact auprès des organisations, des communautés ou des territoires. Afin d’enrichir votre réflexion, nous vous proposons 13 documents en français présentant des exemples d’innovation sociale et abordant les notions d’indicateurs, de laboratoire et d’impact social. Livre blanc de l’innovation sociale. 2015. Mode d’emploi. Guide de l’innovation sociale 2015. Guide innovation sociale. L’innovation sociale. Favoriser l’émergence et la pérennisation des innovations sociales au Québec. 2011. Guide pour développer vos indicateurs d’innovation sociale. 2014. LABIS. Aimer :

Des associations s’inquiètent d’une baisse des subventions De nombreuses associations des quartiers prioritaires sont inquiètes pour leur avenir. En cause, la baisse des subventions ou le désengagement des collectivités locales. Certaines vont même jusqu’à affirmer qu’elles ne pourront pas rouvrir leurs portes à la rentrée 2015. Une pétition, lancée vendredi 10 juillet, par la coordination nationale du collectif « Pas Sans Nous », qui se positionne comme un syndicat des quartiers prioritaires, a reçu près de 400 signatures. « Pas Sans Nous » recense plus de 200 associations. Budget amputé de 10 000 euros Exemple : l’association Zonzon 93, qui fait de la prévention de la délinquance, a vu son budget amputé de 10 000 euros par l’intercommunalité. « Sur un total de 12 500 euros, ça fait mal », lance Laetitia Nonone, la présidente de cette association basée à Villepinte (Seine-Saint-Denis). Une position que partagent Nicky Tremblay et Mohamed Mechmache, coprésidents du collectif « Pas Sans Nous ». Valentine Arama

Innovations sociétales : un concentré de 365 idées ! Réunir 365 solutions éco-responsables pour donner envie de s’en inspirer, c’est le défi d’Efficycle, qui publie sa sélection 2015. Generali soutient cette nouvelle édition. Fidèle à sa volonté de valoriser et de diffuser largement les pratiques responsables, Generali est partenaire d’Efficycle qui publie son hors-série annuel : « 2015 en 365 initiatives pour réinventer notre Monde ». L’originalité de ce best-of ? Des idées concrètes, positives et déclinables dans la vraie vie. Entreprises, associations et institutionnels peuvent s’en emparer. Prêts à être contaminés par cet élan ? Pour aller plus loin> Des exemples d’initiatives soutenues par Generali

Les dix tendances qui vont révolutionner les études supérieures Apprentissage croisé, fortuit... Les chercheurs de l’Open University ont repéré dix innovations pédagogiques pour les prochaines années, dont certaines sont déjà à l’œuvre. Quelles grandes tendances vont révolutionner la façon d’enseigner et d’apprendre au cours des prochaines années ? Ce document montre qu’« une vraie révolution » est en cours, juge Olivier Faron, administrateur général du Conservatoire national des arts et métiers (CNAM) : les sciences de l’éducation s’enrichissent de nouveaux champs disciplinaires, « à commencer par l’informatique, les sciences de l’ingénieur ou la théorie des jeux », dit-il. « Cette veille technologique n’a malheureusement pas d’équivalent en France, on en aurait besoin dans d’autres domaines comme l’impact de l’intelligence artificielle sur l’enseignement », souligne François Taddei, directeur du Centre de recherches interdisciplinaires et spécialiste de l’innovation en éducation. Apprentissage croisé : un impact fort Des outils restent à affiner

Jeremy Rifkin, philosophe : “Sans empathie, nous sommes foutus” Face à la menace d'un désastre écologique, notre civilisation doit revoir son modèle. Pour le penseur, les conditions sont réunies pour un sursaut international. Encore faut-il que “Ies gens comprennent qu'une autre histoire est possible”… D'habitude, les sociologues n'aiment pas jouer les prophètes. Pourtant, à force d'ausculter le présent, certains développent des intuitions sur ce que pourrait être le monde demain. Comment en êtes-vous arrivé à penser l'empathie comme un moteur de civilisation ? Vous prônez un changement de regard sur la nature humaine ? “Les consciences changent quand se produisent, conjointement, une révolution de la production d'énergie et une révolution des communications. L'histoire du monde serait donc, en partie, l'histoire du développement de l'empathie ? Par exemple ? Et au XXe siècle ? La « génération du millénaire », les 15-25 ans d'aujourd'hui, est l'avant-garde de ce combat ? Combien de temps avons-nous pour lancer cette « révolution » des consciences ?

21e rapport sur l'état du mal-logement en France 2016 3 Français sur 4 jugent leur pays comme inégalitaire, le logement leur apparaissant comme la troisième source d'inégalités la plus grave et la deuxième la plus répandue. (sondage TNS Sofres - octobre 2015) La Fondation Abbé Pierre analyse le logement comme un facteur majeur dans l'approfondissement des inégalités, au coeur du processus de décrochage des couches populaires. Cliquez ici pour accéder directement au téléchargement du 21e rapport La France malade du mal-logement À bien des égards, la précarité énergétique, l’insalubrité, l’indignité des logements ou l’absence de domicile personnel ont des conséquences très graves sur l’état de santé de centaines de milliers de personnes (maladies respiratoires, allergies, troubles alimentaires, troubles du sommeil, dépression, stress...). Dans ce rapport, où la Fondation Abbé Pierre rend compte des liens entre santé et logement, il ne fait aucun doute que le mal-logement est une question de santé publique.

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