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Voiture à hydrogène : l'espoir venu d'une enzyme et d'un virus

Voiture à hydrogène : l'espoir venu d'une enzyme et d'un virus
Pour alimenter les piles à combustible de nos futurs véhicules (ici, un modèle BMW), il faudra produire de l’hydrogène en quantité. Les biocatalyseurs imaginés par une équipe de l’université de l’Indiana (États-Unis) pourraient aider à rendre cette production plus simple, meilleur marché et plus verte. © Communications UQTR, Flickr, CC by-nc-nd 2.0 Voiture à hydrogène : l'espoir venu d'une enzyme et d'un virus - 2 Photos Une enzyme modifiée et protégée par la capside d’un virus bactérien, c’est le biomatériau que des chercheurs américains de l’université de l’Indiana (États-Unis) ont imaginé pour optimiser la production d’hydrogène par électrolyse de l’eau. Selon l’étude qu’ils viennent de publier dans la revue Nature Chemistry, cette nouvelle forme de catalyseur serait 150 fois plus efficace que la forme classique. L’une des solutions alternatives envisagées, depuis quelques années déjà, est le recours à des enzymes nommées hydrogénases. À voir aussi sur Internet Sur le même sujet Related:  Hydrogene2

smart escooter, une autre vision de la mobilité urbaine zéro émission Ce n'est que pure logique. Smart est le leader de la mobilité urbaine puisque son modèle est le plus court du marché, et quoi de plus sensé que d'étendre ce leadership avec un engin encore plus urbain : un scooter ? Complément naturel de la Fortwo, voici donc l'escooter. Sa motorisation électrique lui permet d'éviter d'affronter de face les leaders japonais, tout en s'intégrant parfaitement à l'époque en étant zéro émission. Pour autant, le constructeur a retenu une définition haut de gamme. L'équipement aussi est haut de gamme, avec un freinage ABS, un guidon chauffant, et même un airbag. Le chargeur est évidemment intégré, et l'escooter est conçu pour fonctionner avec un smartphone à la place d'une clé. Dernières actualités de l'écologie automobile : 2015-12-30 — Le scooter Suzuki à hydrogène pour très bientôt — On a failli attendre. 2015-12-29 — La Kia Soul EV, championne en Allemagne — Une électrique seule qui bat Alfa Romeo. Recherchez sur ce site : Recherche personnalisée

Le scooter Suzuki à hydrogène pour très bientôt 2015-12-30 — On a failli attendre. C'est en 2010, que Suzuki avait présenté son premier scooter électrique avec une pile à combustible à hydrogène. Il était censé venir en Europe en 2011, mais le projet resta à l'étude. La presse japonaise le fait ressortir en indiquant qu'un scooter Suzuki à hydrogène serait homologué au Japon le mois prochain, avec la mise en service d'une série pilote dans la foulée. On suppose que l'arrivée de la Toyota Mirai est pour beaucoup dans cette accélération soudaine. Suzuki ne voulait pas se lancer seul sur la route de l'hydrogène, mais derrière Toyota, et avec Honda qui n'est pas loin non plus, tout change. Rubrique(s) et mot(s)-clé : deux-roues ; Suzuki Dernières actualités de l'écologie automobile : 2015-12-30 — Le scooter Suzuki à hydrogène pour très bientôt — On a failli attendre. 2015-12-29 — La Kia Soul EV, championne en Allemagne — Une électrique seule qui bat Alfa Romeo. 2015-12-29 — Hybrides rechargeables, derniers jours du gros bonus — Vite !

Riversimple Rasa – Une voiture à hydrogène ultra-économe Au Pays de Galles, la société Riversimple vient de révéler la Rasa, une petite voiture bi-place à hydrogène ultra-économe en énergie. C’est un peu la version à hydrogène de la XL1. A l’instar de la bi-place du constructeur allemand, la Riversimple Rasa n’a qu’un seul objectif : consommer le moins d’énergie possible en jouant sur différents facteurs comme le poids, la motorisation ou l’aérodynamique. Seulement 580 kilos Développée au Pays-de-Galles, la Riversimple Rasa repose sur un châssis en carbone composite auquel s’ajoutent des panneaux de carrosserie en fibre de verre. Côté motorisation, la Riversimple Rasa est animée par quatre moteurs électriques. En termes d’autonomie, le constructeur gallois pouvoir parcourir jusqu’à 500 kilomètres avec seulement 1.5 kilo d’hydrogène, soit l’équivalent de la Toyota Mirai, à cela près que la berline à hydrogène de Toyota a besoin de 5 kilos d’hydrogène pour parcourir la même distance. Première présérie de 20 exemplaires

Des cartouches d'hydrogène pour faire rouler scooters et voitures Sandrine Bajos | 09 Nov. 2015, 11h38 | MAJ : 09 Nov. 2015, 11h42 De l'hydrogène pour remplacer l'essence Baptisé Stor-H, cette solution remplace le carburant par une pile à hydrogène contenue dans une cartouche. La mise en fonctionnement du véhicule enclenche une réaction chimique qui décompose l'hydrogène contenu dans la cartouche en électricité et en eau. « Plus besoin d'essence ou de diesel pour faire rouler sa voiture ou son scooter et en plus, c'est zéro émission de CO2 », se félicite Jean-Baptiste Dementhon, vice-président d'Aaqius, en charge de la technologie. Révolutionner le secteur de l'automobile « En alliant une technologie de rupture de stockage d'hydrogène et d'un nouveau mode de consommation de l'énergie, adapté aux nouveaux usages et enjeux environnementaux, nous inventons un nouveau modèle économique de l'énergie», poursuit-il. Disponibles en supermarchés, stations d'essence, et même livrables à domicile > Venez débattre et poser vos questions sur nos forums !

Bientôt des voitures à hydrogène pour tous ? / Fabrice Catérini Le physicien Philippe Sautet, de l'ENS de Lyon L'avancée scientifique, fruit d'une collaboration entre des chimistes du laboratoire de chimie de l’ENS de Lyon (CNRS/ENS de Lyon/université Claude-Bernard Lyon 1), de l’université de Leiden (Pays-Bas), de l’université technique de Munich et de l’université de la Ruhr à Bochum (Allemagne), vient d'être publiée dans la célèbre revue Science. Il s'agit d'une étape déterminante dans la démocratisation des véhicules à hydrogène, des pots catalytiques plus efficaces et des usines moins polluantes. Vers la fin des voitures polluantes ? Une petite révolution, menée par le chercheur Philippe Sautet de l'ENS de Lyon : “Nous avons mis en place une approche qui permet de déterminer la structure optimale d'un catalyseur afin de le rendre plus efficace. Aujourd'hui, les voitures à hydrogène sont rares, alors qu'elles n'émettent pas de gaz à effet de serre. Une manne de 50 milliards d’euros

Déplacements alternatifs. Alpha, le premier vélo électrique à hydrogène « Il s'agit d'une première mondiale », s'est félicité Pierre Forté, 38 ans, président directeur général de Pragma Industries, la société conceptrice basée à Bidart, championne en matière de génération électrique à base de piles à hydrogène. La principale innovation d'Alpha, qui dissimule sa pile dans un cadre un peu plus épais que la moyenne, est sa capacité de se recharger en moins de cinq minutes auprès d'une station de production d'hydrogène dédiée. « Alors qu'un vélo électrique se recharge en trois ou quatre heures », a insisté M. Forté devant journalistes et élus. Une « empreinte environnementale minimale », avance Pragma Industries Autre nouveauté: son autonomie peut atteindre 100 kilomètres, contre quelques dizaines de kilomètres pour les vélos à assistance électrique classiques. « Le tout avec une empreinte environnementale minimale, car ces vélos sont constitués de composants toujours plus recyclables », a souligné M. Selon M. Coût de production : 2300 euros

Une feuille artificielle productrice d’hydrogène bat un record d’efficacité Des chercheurs australiens de l’université de Monash, à Melbourne, ont battu le record d’efficacité de la production d’hydrogène à partir d’eau grâce à la lumière du soleil. Leur feuille artificielle réalise une véritable photosynthèse qui permet, à l’aide de l’énergie solaire, de séparer les atomes composant la molécule d’eau pour générer de l’hydrogène. L’amélioration progressive de cette technologie annonce des progrès dans la production d’un gaz hydrogène abordable, qui pourrait à l’avenir servir de carburant et même de moyen de stockage de l’électricité. Produire de l’hydrogène en s’inspirant des feuilles des arbres Le principe de la feuille artificielle a été découvert par des chercheurs du MIT, menés par Daniel Nocera. Il s’agit d’un exemple de biomimétisme, c’est-à-dire le fait que les scientifiques puisent leur inspiration dans la nature pour imaginer de nouvelles techniques et de nouveaux dispositifs. Un nouveau record d’efficacité : vers une généralisation de la technique ?

François Hollande séduit par le vélo à hydrogène - Les Echos Accueil Econome et écolo, l'« Alter 2 », développé par Atawey et Pragma Industries, cible dans un premier temps les entreprises de la mobilité. Il sera présenté à la COP21.(...) Cet article est réservé aux abonnés, pour en profiter abonnez-vous. Et aussi sur les Echos Les articles à la une Budget fiscalité Jean-Marc Ayrault : « Il faut diminuer la CSG... INTERVIEW Pour Jean-Marc Ayrault, député PS de Loire-Atlantique et ancien Premier ministre, cela serait préférable à une baisse de l’impôt sur le revenu.... Social Léger recul du chômage en juillet Pôle emploi a annoncé mercredi une baisse de 1.900 du nombre de chômeurs de catégorie A en juillet. Politique Chômage : Hollande fait de "l'année 2016" son juge de paix [28/07] Devant des journalistes de la presse présidentielle, lundi soir, le chef de l’Etat a explicité sa promesse et conditionné sa candidature à la... à lire également sur les echos Recommandé par Les articles les plus lus Mistral russes : Le Drian pourrait proposer l'un des deux...

Des chercheurs inventent un nouveau procédé pour produire de l'hydrogène › Energie Produire de l'hydrogène à bas coût et en grande quantité pourrait permettre de développer des alternatives énergétiques aux carburants à base de pétrole. Crédits : EERE En utilisant des couches très fines d'oxyde de fer, soit un matériau extrêmement bon marché, des chercheurs israéliens ont réussi à produire de l'hydrogène. Un résultat important, car il laisse entrevoir la possibilité de développer à coût modéré des carburants à base d'hydrogène. L'aptitude à produire de l'hydrogène en grande quantité et pour un coût modéré est un enjeu énergétique crucial, car cela pourrait permettre ni plus ni moins de disposer d'un carburant renouvelable, dont le seul déchet serait de l'eau. Or, des chercheurs israéliens ont réussi à produire de l'hydrogène par photoélectrolyse, en utilisant en guide d'électrodes, des couches extrêmement fines d'oxyde de fer, un matériau extrêmement bon marché (et pour cause, l'oxyde de fer n'est autre que la rouille).

Les scooters du futur seront peut-être propulsés par des cartouches d'hydrogène Aaqius n’est pas une entreprise très connue en France mais elle fait tout de même beaucoup parler d’elle depuis la fin de l’année dernière, et ce pour une raison assez évidente : elle a mis au point un scooter électrique roulant à l’hydrogène. Pas mal, mais le meilleur reste à venir car le carburant de l’engin est délivré sous la forme de cartouches solides, à l’état de poudre. L’hydrogène a de nombreux avantages, c’est indéniable, mais il a surtout un atout : il rejette uniquement de l’eau au cours de sa combustion et il ne constitue donc pas un danger pour l’environnement, ni même pour les êtres vivants. Aaqius a inventé un scooter capable de rouler à l’hydrogène. Tout n’est cependant pas parfait et le vrai problème, finalement, c’est qu’il est extrêmement difficile à stocker. Un scooter roulant à l’hydrogène, pourquoi pas ? Aaqius souhaite changer cet état de fait et l’entreprise a donc mis au point une nouvelle technologie assez insolite : Stor-H. Mais comment ça fonctionne ?

Nissan présente sa pile à combustible au bioéthanol - Automoto Par Tran HA|Ecrit pour TF1|aujourd'hui à 14:51, mis à jour aujourd'hui à 15:39 Nissan a annoncé travailler sur le développement d’une nouvelle pile à combustible fonctionnant au bioéthanol : une première au sein de l’industrie automobile pour cette Nissan e-Bio, qui utilise une technologie dite "solide-oxyde". La marque japonaise mène des réflexions sur l’avenir de l’automobile, avec une nouvelle pile à combustible dénommée « Nissan e-Bio » qui fait appel à une technologie dénommée SOFC (Solid-Oxyde Fuel Cell). Une pile à combustible au bioéthanol A partir du bioéthanol stocké dans le réservoir de la voiture, la pile à combustible Nissan e-Bio génère de l’hydrogène par réaction chimique. L’électricité est ensuite produite par électrolyse entre cet hydrogène et l’oxygène de l’air, afin d’alimenter le moteur électrique qui anime la voiture. Contrairement à une pile à combustible à hydrogène, ici l’utilisateur n’a pas besoin de stocker ni de manipuler de l’hydrogène.

L’hydrogène, cet hallucinogène Par Michel Gay hydrogène-fdecomite (CC BY 2.0) Depuis plusieurs décennies des études et des articles nous font régulièrement miroiter que l’hydrogène (H2) pourrait être un moyen de stocker l’énergie, notamment, le surplus d’électricité produit par des énergies intermittentes comme les éoliennes et les panneaux photovoltaïques. Il serait alors injecté dans le réseau actuel de gaz naturel ou retransformé en électricité dans une pile à combustible (PAC), par exemple. Il pourrait aussi remplacer l’essence et le diesel dans nos véhicules. Certains évoquent même une future « civilisation de l’hydrogène ». L’hydrogène (H2) est une énergie qui apparaît merveilleuse. En effet, on peut extraire l’H2 de l’eau. Y aurait t-il un complot mondial anti-hydrogène manigancé par des lobbies sournois pour défendre la suprématie du pétrole, du gaz et du charbon, voire du nucléaire ? Bien que l’hydrogène soit l’élément le plus abondant sur la planète, il n’existe pas de puits ni de source d’H2. Conclusion

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