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Esprit

Esprit
Représentation des facultés de l'esprit humain. Origine[modifier | modifier le code] Le mot esprit vient du latin « spiritus » (dérivé de spirare = souffler) qui signifie souffle, vent. Il a aussi notamment donné les mots inspirer (lat. inspirare) et expirer (lat. expirare). Le mot esprit pouvait se donner à tout ce qui est fort subtil et très actif, on le retrouve donc dans des expressions de l'ancienne chimie comme esprit de vin (alcool) ou esprit de sel (acide chlorhydrique). L'esprit peut aussi renvoyer au principe de la vie ou à l'âme individuelle. « Les Esprits ou âmes raisonnables » sont « des images de la Divinité, ou de l'Auteur même de la nature ; ce qui fait que les Esprits sont capables d'entrer dans une manière de Société avec Dieu ... »[3]. Dans le langage philosophique contemporain « Esprit » peut être opposé à différentes notions : « La chair a des désirs contraires à ceux de l'esprit, et l'esprit en a de contraires à ceux de la chair »[4]. Le Livre des Esprits Related:  Doc 2

Enneagramme Base 1 : Quête de perfectionnement La Base 1 en quatre concepts clés : « A des principes », Sens de la mission, Auto-discipliné et Perfectionniste. Les individus de Base ennéagramme 1 sont des idéalistes. Ils sont idéalistes dans le sens où ils colorent l’ensemble de leurs actions, de leurs dires, et de leurs perceptions avec un sens implicite de « comment les choses devraient être ». Ce sentiment d’un idéal non atteint imprègne la vision que pose la base 1 sur le monde. On retrouve en base 1 des gens d’action qui ont donc tendance à faire face à leur croyance en l’imperfection inhérente au monde avec la conviction profondément ancrée que quelque chose doit être fait. Si certaines personnes en base 1, comme Martin Luther ou le Mahatma Gandhi, sont des leaders et des réformateurs dans le sens classique du terme, on retrouve chez pratiquement tous les individus de cette base, une tendance marquée au perfectionnisme, un perfectionnisme actif, dans le sens où il ne sert pas seulement à juger, mais à « régler ».

Problème corps-esprit Y a-t-il un esprit dans la machine ? Le problème corps-esprit pose la question des relations entre le corps humain, le cerveau en particulier, et l'esprit. Bien que ce problème existe quasiment depuis l'origine de la philosophie (cf. Platon), il est reconnu depuis le XXe siècle comme une question fondamentale, voire comme la question centrale de la philosophie de l'esprit sous l'expression anglaise de Mind-body problem. On parle aussi de dichotomie corps-esprit. La question de l'interaction entre le corps et l'esprit est l'une des principales questions auxquelles se sont confrontés les philosophes de l'esprit, depuis Descartes. Dualisme[modifier | modifier le code] Thalès est parfois tenu pour un physicaliste intégralement moniste[réf. nécessaire], mais l'opposition entre matière et esprit n'existe pas dans cette pensée. Typologie du dualisme[modifier | modifier le code] Descartes[modifier | modifier le code] Malebranche et l'occasionalisme[modifier | modifier le code]

Enneagramme Base 2 : Quête d'approbation La Base 2 en quatre concepts clés : Généreux, Démonstratif, « qui cherche à faire plaisir » et Possessif. Les individus de Base ennéagramme 2 ont pour caractéristique principale l’importance donnée aux liens qu’ils entretiennent avec d’autres personnes et à la manière dont ils se relient aux autres en étant serviables. Ces personnes ont développé comme un « radar » leur permettant de détecter instantanément ce dont l’autre peut avoir besoin et elles se voient comme « la bonne personne » pour satisfaire ce besoin. De ce fait, même si elles sont au service des autres, les personnes qui font du 2 se trouvent en position haute par rapport à ceux qu’elles servent. Dans la carte du monde de la Base 2, ce sont toujours les autres, et non pas eux-mêmes, qui sont dans le besoin et dépendent d’une aide extérieure. On retrouve en majorité dans les personnes en Base 2, des gens chaleureux. D’autres 2 qui vont mal, deviennent dépendants eux-mêmes. Les Niveaux épanouis Les Niveaux moyens

Âme Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. r Les termes originaux (hébreux : nèphèsh [נפׁש] ; grec : psukhê [ψυχή]) employés dans la Bible montrent qu’une « âme » est une personne, un animal, ou la vie dont jouit une personne ou un animal. Nèphèsh vient vraisemblablement d’une racine qui signifie « respirer ». La notion d’âme joue un grand rôle dans la croyance religieuse. Le concept d’âme, tacitement associé à celui d’immortalité, reste, selon les modernes, imputé à Platon. Approche linguistique[modifier | modifier le code] Morphologie[modifier | modifier le code] La langue cléricale médiévale emprunte au latin, dès le VIIIe siècle de l'ère courante, le nom féminin « anima ». Sémantique[modifier | modifier le code] L'usage commun contemporain oppose les termes « âme » et « esprit ». De nombreuses conceptions religieuses, philosophiques, et psychologiques, ne peuvent se traduire en français que par ce terme unique d'âme. Approches culturelles[modifier | modifier le code]

Ennéagramme Base 4 : Quête d'authenticité La Base 4 en quatre concepts clés : Expressif, Empathique, Sensible et Imprévisible. Les individus de Base ennéagramme 4 conçoivent la notion d’identité comme étant en rapport étroit avec leur univers émotionnel intense. En somme, le fait de s’identifier à leurs émotions leur permet de se sentir connectés profondément à eux-mêmes, de se sentir vivants. Cette relation à eux-même est si exclusive, qu’elle peut les mener à penser qu’ils sont fondamentalement différents des autres. Ce ressenti profond d’être «Différent de» ou «Autre que» imprègne le Moi des personnes en base 4, et les pousse à incarner une attitude et une posture qui soit le reflet parfait de leur être authentique, c’est à dire, de leur ressenti de l’instant. De tous profils proposés par l’ennéagramme, les 4 sont les plus parfaitement conscients du fait que la personnalité est le fruit d’une conception, quelque chose qui a été créé et qui peut donc être re-créé. Il y a une comme un paradoxe derrière tout cet effort.

Définition par le corps Par Nolwenn Picoche. Vous pouvez réagir ici. Mots-clés : nature contre culture, conte philosophique, définition de l’homme. NB : Les textes sont protégés par le code de la propriété intellectuelle. Toute reproduction est interdite sans l’autorisation expresse de l’auteur. L’aspect physique Leur visage, si proche qu’il soit encore de celui de l’orang-outang, est beaucoup plus expressif.[1] L’un des principaux problèmes auquel sont confrontés les protagonistes est l’aspect physique. Le problème est de savoir si nous parlons de l’Homo sapiens uniquement ou du genre Homo, ce qui implique l’Homo neandertalensis ou l’Homo erectus qui diffèrent de l’Homo sapiens. Il existe plusieurs maladies graves qui modifient l’aspect physique des personnes. Le cerveau Il convient donc d’appeler humain, à mon avis, tout être dont le cerveau comporte la totalité des liaisons dénombrées, et animal celui dont le cerveau ne les comporte pas.[2] La conscience de la douleur comme exemple de passion Lire la suite :

Le corps suffit-il à définir notre identité ? | Alexandra Giroux Dans son ouvrage Le corps analyseur, publié en 2001, Jean-Marie Brohm soulevait la question suivante : le corps suffit-il pour définir mon identité ? En effet que reste-t-il de « moi » après les différentes mutations que permet la science actuelle ? Qui suis-je au fond ? Etymologiquement, l’individu est celui qui ne peut être divisé. L’identité ne se définit-elle pas plus par le qualitatif que par le quantitatif ? Ainsi, au-delà d’être une simple agrégation d’atomes, nous sommes avant tout un esprit.

Le corps humain en guise d'interface de transfert de données Le géant japonais de la télécommunication NTT affirme avoir réussi à transmettre des données numériques à travers le corps humain. Une nouvelle approche du « sans fil », plus personnelle, que beaucoup de chercheurs travaillent actuellement en Asie. Certains scientifiques coréens du célèbre ETRI (Electronics and Telecommunications Research Institute) sont aussi sur le point de développer une technologie capable de faire passer des données numériques en utilisant le corps humain comme média. L'objectif est d'atteindre un débit « aussi rapide que les connexions haut débit actuelles, avec des vitesses de 10 Mbits/s » (1,25 Mo/s) explique l'un des chercheurs de l'ETRI. Il se pourrait donc que très bientôt, on puisse transférer des fichiers, musique, vidéo et autres, d'un périphérique en main gauche vers un autre engin dans sa main droite. On pourrait aussi faire la liaison entre son imprimante et son PC, son PDA et son téléphone, tout est envisageable.

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