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La bibliothèque de Noukette

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Samedi 10 août 6 10 /08 /Août 00:05 Je m'appelle Doria, j'ai 28 ans, et aujourd'hui je reviens vivre chez mon père. Pas de gaité de coeur je dois dire, si cet idiot de Fred ne m'avait pas trompée, je n'en serais pas là... et puis, mes finances sont au plus bas. Maintenant, il faut que j'avance, que je pense à moi et à cette fichue carrière de comédienne qui ne décolle pas, pas faute d'avoir répété à mon agent que je valais bien que ces pubs débiles qu'elle ne cesse de me proposer... Vivre chez Max c'est quelque chose. Mon père est un sacré bonhomme, le genre de mec sur qui les femmes se retournent toujours, peu importe qu'il ne soit plus tout jeune.

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Voyage à motocyclette - En marge Che Guevara est très certainement digne d’admiration ; j’avoue pourtant ne jamais avoir succombé à son charme révolutionnaire et ne connaître de sa vie, ses actes, son œuvre que le strict minimum. Il faut dire qu’à l’âge où certains se plongent à corps perdu dans l’histoire des révolutions en Amérique latine et se prennent d’une passion irrésistible pour cet ange barbu mort sacrifié pour le bien du peuple, mon romantisme à moi, adolescent, c’étaient plutôt les affres de Kerouac et ses voyages fantasmatiques. Des voyages sans autre but que voyager, voir du pays et apprendre à (se) connaître. J’étais loin de m’imaginer que le Che avait aussi eu sa « période Kerouac » et qu’avant de participer à la guérilla dans les jungles boliviennes et cubaines, il avait traversé une partie du continent sud-americain avec un copain et quasiment rien dans les poches. C’est ce qu’il raconte dans ce Voyage à motocyclette, traduction publiée par les éditions Mille et une nuits de son journal de voyage.

Livres / Romans « Au revoir là-haut » revisite la période d’après-guerre, le retour à la vie civile de démobilisés qui éprouvent beaucoup de mal à réintégrer leur place au sein d’une société française en pleine reconstruction, qui se plie en quatre pour honorer ses morts, sans pour autant s’occuper des survivants. "Morieux fronce les sourcils. Il n’aime pas les morts suspectes. A la guerre, on veut des morts franches, héroïques et définitives, c’est pour cette raison que les blessés, on les supporte, mais qu’au fond, on ne les aime pas." Vieux qui lisait des romans d'amour (Le) par Luis Sepúlveda Roman écologique évoquant la vie des Indiens Shuars dans la forêt amazonienne de l'Équateur, entre l'Équateur et le Pérou. Ce premier roman de l'auteur est dédié à Chico Mendez, dont Sepúlveda a partagé la lutte. Paru en 1992, Un viejo que leia novelas de amor (son titre original) est aussitôt un succès commercial. Traduit en 35 langues, il est à l'origine de la renommée mondiale de l'auteur. Sa traduction française sauva de la faillite les éditions Métailié.

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