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À lire la plupart des projets d'écoles ou des projets d'établissements, à consulter les instructions ministérielles, à entendre les parents et les enseignants, on découvre que l'"autonomie" est au centre de tous les discours. On veut former des élèves autonomes, des enfants autonomes, former à l' "autonomie requise pour l'exercice d'une citoyenneté responsable", etc. Or, à regarder de près les pratiques scolaires et les comportements des élèves, on découvre que, en réalité, ce n'est pas l'autonomie qui est développée mais bien plutôt quelque chose comme la débrouillardise. Certes, l'Ecole n'est pas, à elle seule, responsable de cette confusion entre l'autonomie et la débrouillardise : il existe une multitude de pratiques sociales qui invitent à aller dans ce sens. La définition d'un champ de compétences d'abord : tout le monde peut se former à l'autonomie mais n'importe qui n'est pas capable de promouvoir cette autonomie dans tous les domaines. Philippe MEIRIEU

L'autonomie de l'élève en EPS Résumé du cours Cours portant sur l'autonomie de l'élève en EPS. Sa construction doit faire l'objet d'un réel apprentissage, dans un contexte élaboré et basé sur la volonté des élèves et de l'enseignant. Il est important de rendre l'élève acteur de ses apprentissages et de lui faire confiance (responsabilités, initiatives), pour cela, l'attrait vers les APPN semble être judicieux, tant les élèves lors de la confrontation au risque développe un comportement autonome pour assurer leurs intégrités. Sommaire du cours I) Définitions et citationsII) Références institutionnellesIII) Réflexions d'auteursIV) Tableau récapitulatif Extraits du cours [...] À propos de l'auteur Nicolas F.Etudiant Niveau Grand public Etude suivie droit des... Ecole, université Descriptif du cours Date de publication Date de mise à jour Langue français Format Word Type cours Nombre de pages 5 pages grand public Téléchargé 32 fois Validé par le comité de lecture Current View sur 6 Enter the password to open this PDF file:

Autonomie des établissements scolaires : des moyens à la recherche d’un objectif ? 1Ces dix dernières années ont été marquées par la mise en œuvre de politiques de décentralisation et de dérégulation dans les sociétés européennes. Ces changements dans l’organisation des pouvoirs se retrouvent aussi dans le domaine éducatif. Dans de nombreux pays, les collectivités locales et les établissements scolaires sont devenus responsables des fonctions éducatives qui étaient traditionnellement à la charge du gouvernement central (voir par exemple OCDE, 2004). On appelle souvent décentralisation fonctionnelle cette forme de décentralisation dans laquelle des fonctions spécifiques d’instances du gouvernement central sont transférées aux niveaux inférieurs (Van Wieringen, 1996 ; Zoontjes, 1999). La décentralisation fonctionnelle implique que certaines décisions en matière d’éducation incombent aux gouvernements locaux ou aux établissements tandis que le gouvernement central reste responsable des autres décisions. Tableau 1 (suite)

Autonomie Philippe Meirieu La question de l'autonomie a le mérite de ne pas nous laisser indifférents. Elle suscite même chez les professeurs de vives polémiques : - Les uns invoquent l'autonomie "naturelle" des enfants, leur capacité spontanée à se prendre en charge, leur don d'initiative et leur sens des responsabilités... Cette foi justifie à leurs yeux la mise en place d'un enseignement moins directif : ils laissent chacun organiser leur travail et prennent le risque de la confiance... - Les autres, au contraire, se plaignent du fait que les élèves sont incapables du moindre travail autonome, qu'ils se dispersent, chahutent, en profitent pour ne rien faire dès qu'ils n'ont plus la bride sur le cou. Ceux-là justifient ainsi le recours à des méthodes autoritaires, l'exclusion définitive du travail de groupe - insurveillable ! Ce n'est pas un hasard si ce mouvement de balancier est si fréquent et, à la réflexion, il n'est pas si curieux. Car, c'est bien là le noeud : l'autonomie n'est pas un don.

Pédagogies de l'autonomie (de l'élève) Empowerment Au plan individuel, Eisen (1994) définit l'empowerment comme la façon par laquelle l'individu accroît ses habiletés favorisant l'estime de soi, la confiance en soi, l'initiative et le contrôle. Certains parlent de processus social de reconnaissance, de promotion et d'habilitation des personnes dans leur capacité à satisfaire leurs besoins, à régler leurs problèmes et à mobiliser les ressources nécessaires de façon à se sentir en contrôle de leur propre vie (Gibson, 1991 p. 359). Les notions de sentiment de compétence personnelle (Zimmerman, 1990), de prise de conscience (Kieffer, 1984) et de motivation à l'action sociale (Rappoport, 1987, Anderson, 1991) y sont de plus associées ACP (approche centrée sur la Personne) quelques principes de fonctionnement d’une approche centrée sur la Personne, ainsi qu’a pu la développer Carl Rogers, relayée en France par André de Peretti : · Les émotions sont constitutives de la Personne · La motivation est conçue comme autonome. Trois facteurs:

‎pasisahlberg.com/wp-content/uploads/2012/12/Le-Livre-review-2012.pdf Autonomie - Définition Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Étymologie[modifier | modifier le code] Du grec autos : soi-même et nomos : loi, règle.Droit que les Romains avaient laissé à certaines villes grecques, de se gouverner par leurs propres lois.Par extension : indépendance.hétéronomie : Fait de ne pas être autonome, d'obéir à des lois extérieures.anomie : Absence d'organisation sociale résultant de la disparition des normes communément acceptées. Entreprise[modifier | modifier le code] Voir : Elliott Jaques Philosophie[modifier | modifier le code] En philosophie morale, l’autonomie (du grec αὐτονομία, autonomia) est la faculté d'agir par soi-même en se donnant ses propres règles de conduite, sa propre loi. Cependant, une proposition d'autonomie peut se construire à partir de l'éducation (éducation à l'autonomie, écocitoyenneté). Dans la suite des champs disciplinaires, cette idée se comprendrait mieux dans la relation entre autonomie et hétéronomie et avec l'anomie. avant l’action pendant l’action

Développer des pratiques pédagogiques renforçant l’autonomie des élèves Télécharger la fiche imprimable (2 pages) au format PDF Cette question se pose dans le cadre d’une institution scolaire marquée historiquement par une division progressive du travail : le temps du cours où le professeur enseigne et le temps de l’étude où l’élève apprend. Si, au début du XXe siècle, ces deux temps étaient pris en charge par l’institution (répétiteurs, études) dans le cadre de l’enseignement secondaire fréquenté essentiellement par les enfants des milieux favorisés, la massification à l’œuvre depuis les années 60, l’augmentation du nombre de disciplines enseignées s’est traduite par un processus d’externalisation du travail personnel demandé aux élèves sous la forme des “devoirs à la maison”[1]. L’accompagnement et l’aide de ces devoirs ont donc été majoritairement sous-traités à l’extérieur par les familles, les cours particuliers ou les dispositifs d’aide aux devoirs mis en place par les communes et les structures associatives. Pour aller plus loin : [5] J.

CDH - Renforcer l'autonomie des établissements scolaires, des directions d'écoles et des enseignants La qualité d’un système scolaire dépend de la qualité et de la motivation des équipes pédagogiques qui, sur le terrain, doivent être outillées, valorisées, considérées dans les spécificités de leur mission et de leur contexte de travail. Pour le cdH, l’important est d’assurer un cadre de régulation clair et stabilisé pour les acteurs du monde scolaire : de fixer des objectifs et d’en évaluer l’atteinte, en laissant aux équipes pédagogiques le soin d’établir les techniques qu’ils souhaitent utiliser pour y parvenir. Les objectifs doivent dès lors être précisés clairement et évalués de manière systématique via notamment la fréquence plus grande des évaluations et la mise sur pied d’un bac généralisé. Retour

Présentation du socle commun - L'autonomie et l'initiative A. - L'autonomie L'autonomie de la personne humaine est le complément indispensable des droits de l'homme : le socle commun établit la possibilité d'échanger, d'agir et de choisir en connaissance de cause, en développant la capacité de juger par soi-même. L'autonomie est aussi une condition de la réussite scolaire, d'une bonne orientation et de l'adaptation aux évolutions de sa vie personnelle, professionnelle et sociale. Il est également essentiel que l'école développe la capacité des élèves à apprendre tout au long de la vie. Connaissances La maîtrise des autres éléments du socle commun est indissociable de l'acquisition de cette compétence, mais chaque élève doit aussi : connaître les processus d'apprentissage, ses propres points forts et faiblesses ;connaître l'environnement économique : l'entreprise ;les métiers de secteurs et de niveaux de qualification variés ainsi que les parcours de formation correspondants et les possibilités de s'y intégrer. Capacités Attitudes

Construire l'autonomie des élèves en maternelle - [Circonscription de Gex Sud] "La construction de l’autonomie est une des principales missions de la maternelle et de l’école primaire. Rendre les élèves autonomes, ce n’est pas les laisser se débrouiller seuls, c’est leur permettre de pouvoir résoudre des situations-problèmes, de choisir, d’essayer et de prendre des initiatives. Construire son autonomie en tant qu’élève, c’est pouvoir, entre autres, donner du sens à ses apprentissages, en percevoir les finalités et les enjeux. Mais l’acquisition de l’autonomie est aussi un moyen au service des apprentissages pour organiser un travail individualisé ou différencié, pour organiser un travail de groupe efficace, pour libérer l’enseignant et lui permettre la prise en charge d’élèves ou de groupes identifiés. Les pratiques favorisant cet apprentissage sont véritablement efficaces lorsqu’elles sont construites et réfléchies au-delà d’une année scolaire sur l’ensemble du parcours de l’élève. Elaborer une grille d’observation

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