background preloader

Le Jura Libertaire

Le Jura Libertaire

A-Infos [Squat!net] Troïka Paranoïa par Badi BALTAZAR Les actions programmées étaient principalement dirigées contre la politique d’austérité imposée par la Troïka (Commission Européenne, Fond Monétaire International et Banque Centrale Européenne) et le diktat des marchés financiers et du secteur bancaire. Ces 4 journées de mobilisation avaient pour objectif de bloquer le quartier des affaires de Francfort et d’envoyer un signal fort aux banques et aux dirigeants politiques européens. De retour à Bruxelles, il nous apparait essentiel de dresser ici les premiers constats des actions menées par le collectif Blockupy, non seulement pour élargir et alimenter les débats mais aussi parce que les évènements de ces derniers jours ont été riches en enseignements pour les actions futures. Rapports de force entre gouvernants et manifestants Avant notre départ de Bruxelles le 16 mai, les Indignés qui campaient devant la BCE depuis plus de sept mois ont du quitter les lieux. Répression massive mais passive Droit au rassemblement Troïka Paranoïa

SW1NGC L'En Dehors [Squat!net] [« La fête, la vraie fête »] Des lois spéciales, et du feu ! On nous l’avait promis, la “loi spéciale” a fait parler d’elle. L’emballement médiatique de la semaine dernière autour de cette affaire de soi-disante “incitation à craindre le terrorisme” (l’accusation liée à l’histoire des fumigènes dans le métro) est déjà enterré par le choc de l’adoption éclair de la loi 78 et du règlement anti-masque par la ville de Montréal. Et pour dire, leur application ne s’est pas fait attendre. Depuis samedi dernier, les manifestations quotidiennes qui jusqu’ici n’étaient déclarées illégales qu’après les premiers “méfaits” sont désormais considérées “attroupements illégaux” dès le départ — sous prétexte que le trajet n’a pas été établi avec la police. Ceci n’empêche que le “camion-flûte” qui sert aux flics à annoncer l’injonction de dispersion s’est fait cramer à la messe de dimanche. Avec la nouvelle marge de manœuvre de la police, il ne manque plus qu’un couvre-feu général pour avoir vraiment le style “loi martiale”. “Il va y avoir un mort”

« Indignés de tout » Si vous ne nous laissez pas rêver, nous ne vous laisserons pas dormir. » C'était l'un des slogans qu'arborait une poignée d'indignés de La Rochelle, réunis hier, devant la place de l'hôtel de ville. Ils n'étaient que très peu, une vingtaine tout au plus, à avoir répondu présent à ce rassemblement spontané, dont l'heure et la date ont circulé via les réseaux sociaux (1). On est loin des 10 000 à 30 000 manifestants rassemblés sur la place Puerta del sol à Madrid, en Espagne, à l'origine du mouvement européen des indignés. Une volonté fédératrice Tout juste revenu d'Espagne, Tristan Depelseneer est un artiste rochelais, qui a eu l'occasion de voyager et de se forger une opinion. « À travers mes voyages j'ai pu voir toutes les misères. De tout âge et de toutes origines, le rassemblement d'hier se voulait avant tout fédérateur. Après ce premier rassemblement, les indignés de La Rochelle souhaitent réitérer l'opération dès la semaine prochaine.

Resistance Étymologie du terme anarchie Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le terme anarchie est un dérivé du grec « ἀναρχία » (« anarkhia »)[1]. Composé du préfixe a- privatif an- (en grec αν, « sans », « privé de ») et du mot arkhê, (en grec ἀρχή, « origine », « principe », « pouvoir » ou « commandement »)[2],[3]. L'étymologie du terme désigne donc, d'une manière générale, ce qui est dénué de principe directeur et d'origine. Cela se traduit par « absence de principe[4] », « absence de règle[4] », « absence de chef[5] », « absence d'autorité[6] » ou « absence de gouvernement[3] ». Dans un sens négatif, l'anarchie évoque le chaos et le désordre, l'anomie[7]. Histoire[modifier | modifier le code] Origine du mot anarchie[modifier | modifier le code] Jacques-Louis David, La mort de Socrate (1787) Chez Homère ou Hérodote, le terme anarkhia apparaît d'abord pour désigner une situation dans laquelle un groupe armé, ou une armée, se retrouve sans chef. Introduction du mot en français[modifier | modifier le code]

Le Québec vibre Le Québec tranquille c'est fini. La Belle Province se rebelle avec force, dans la rue et sur les réseaux, contre des articles de loi dignes d'un État policier. Avec Twitter comme point de convergence. Défiant la police, les québécois crient leur colère depuis la loi liberticide de vendredi dernier. Récit. 100. Mais pour les Québécois, très syndiqués, cette mesure, qui vise en premier lieu à museler les étudiants, prive surtout la population dans sa globalité de sa liberté d’expression et de sa liberté d’association. Supposée ramener l’ordre, cette loi est aujourd’hui en passe de devenir l’objet et la motivation principale de la manifestation. Au lendemain de la promulgation de la loi, la 27ème manifestation nocturne (et consécutive) des étudiants était déclarée illégale par le service de police de la ville de Montréal, dix minutes après avoir commencé. Brutalités De nombreux journalistes ont été arrêtés avant d’être finalement relâchés une fois leur identité vérifiée. Loi matraque Devise

Le temps des indignés Unis d'une seule voix, nous nous levons pour obtenir une vraie démocratie, faire savoir aux politiciens, et aux élites financières qu'ils servent, que c'est à nous, le Peuple, de décider de notre avenir. » C'est ce qu'on lisait sur les tracts distribués vendredi 11 novembre par les Indignés venus de Charente-Maritime et des Deux-Sèvres pour participer au rassemblement organisé en début d'après-midi cours des Dames, à La Rochelle. Le mouvement, qui draine quelque 80 personnes dans la ville, des jeunes et des moins jeunes, pourrait se traduire par des rassemblements périodiques, tous les samedis, devant la mairie. Ces citoyens qui n'ont « pas de chef », « ne sont en faveur d'aucun parti politique ou syndicat » et communiquent surtout par Internet, avaient choisi, comme dans beaucoup d'autres villes, le 11/11/11 (11 novembre 2011) pour faire savoir que « les occupations permanentes continuent, le mouvement mondial aussi ».

They lie, We Die Anarchopedia

Related: