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Contrôle des espaces océaniques [image]

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Climat : 5 cartes pour comprendre les enjeux géopolitiques Par Claire Gatinois, correspondante à Sao Paulo Cartographie : Flavie Holzinger et Véronique Malécot Affaibli par la déforestation, le “poumon de la Terre” a de plus en plus de mal à jouer son rôle de grand régulateur climatique. Immense, fascinante et inquiétante, la forêt amazonienne est en danger. Depuis des années et pour encore longtemps probablement. Au cours des quarante dernières années, 763 000 km² de forêt ont été détruits. Autre bouleversement : l’efficacité de l’immense puits de carbone que constitue l’Amazonie a chuté de moitié en un peu plus de deux décennies, conduisant les arbres à absorber moins de CO2. Monoculture du soja Ce panorama alarmant doit toutefois être relativisé. « Le parti voulait être différent des autres », explique-t-elle.

Mesurer les Zones Économiques Exclusives Bibliographie | citer cet article Avec 10,2 millions de km², la Zone Économique Exclusive de la France est la deuxième du monde par sa superficie après celle des États-Unis. Derrière ce chiffre se cachent de nombreuses difficultés à mesurer et à comparer ces territoires sans terre, ces étendues d'eau appropriées par des États. Une ZEE est un espace maritime ou océanique situé entre les eaux sous souverainté (majoritairement constituées de la mer territoriale) et la haute mer, sur laquelle un État riverain (parfois plusieurs) dispose de l'exclusivité d'exploitation des ressources. On comprend que leur délimitation soit porteuse d'enjeux géopolitiques entre des États qui convoitent les ressources maritimes, d'autant que celles-ci se raréfient. Quelques décennies après leur création, les zones économiques exclusives sont parfois considérées, peut-être de façon excessive, comme l'un des domaines de la puissance d'un État, pourtant leur mesure ne va pas de soi. 1. 2. 3. Pour compléter

La Somalie, piraterie et affairisme Depuis 2008, l’Union européenne est présente au large des côtes somaliennes à travers l’opération « Atalante » (EUNAVFOR), aux côtés des Etats-Unis et de l’OTAN et de pays présents à titre individuel (Chine, Russie, Inde, Iran, Japon…). Soit une trentaine de navires de guerre couvrant une surface supérieure à celle de la mer Méditerranée. Malgré ce déploiement, les attaques des pirates n’ont jamais été aussi nombreuses qu’en 2010, et les premières semaines de l’année 2011, bien que marquées par quelques interceptions et libérations réussies, ne semblent pas montrer d’inflexion (il y aurait aujourd’hui 1 181 membres d’équipage retenus en otages le long des côtes somaliennes). Les attaques s’effectuent de plus en plus loin du littoral (là où la surveillance maritime s’estompe), jusqu’à 1 500 kilomètres des côtes africaines, soit entre les Seychelles et Maldives vers l’est, et jusqu’au canal du Mozambique au sud. Une « approche globale » pour dépasser la piraterie Il y a en effet urgence.

Comment les Etats se partagent l’océan et ses ressources Transport, frontières, pêche, sous-sol… A qui appartient la mer ? La question est aussi simple que les réponses sont complexes. Comment est régi le droit de la mer ? Le droit de naviguer et commercer librement à travers le monde a été théorisé en 1609 par le Hollandais Hugo Grotius. Elle n’entrera en vigueur qu’en 1994. Que dit la convention de Montego Bay ? Elle découpe la mer en tranches en fonction de son éloignement de la côte. Au-delà, c’est la «haute mer», territoire appartenant à la fois à personne et à tout le monde. Quelle est la particularité de la mer de Chine méridionale ? Philippines, Chine, Indonésie, Vietnam, Brunei, Malaisie et Taïwan se frottent depuis toujours dans cette mer semi-fermée riche en poissons et en hydrocarbures, où transite un tiers du trafic commercial mondial. Que réclame la Chine ? A lire aussi Chine Méridionale : bras de fer pour un bras de mer Quelle est la réaction internationale ? La Chine n’utilise que des moyens civils pour occuper la zone.

Mers et océans : vecteurs essentiels de la mondialisation Tle Cours Géographie Kartabl Océans : les cartes qui font peur Une équipe de chercheurs a publié des cartes montrant l’impact des activités humaines sur les écosystèmes marins : elles montrent des océans bien mal en point. On le savait déjà : les océans sont en très mauvaise posture du fait de la pollution humaine. Des cartes montrant l‘impact de l’activité humaine sur les écosystèmes marins ont été publiées par une équipe de chercheurs. Un site Internet, l’Ocean Health Index (Index sur la santé des océans), répertorie l’ensemble des données concernant l’état des océans(1). La pêche intensive, destructrice des océans On voit sur cette première carte l’état des ressources de poissons sauvages en haute mer. Les ressources de poissons pêchés en haute mer ©Ocean Health Index On sait en effet que la pêche intensive est l’une des causes de la destruction des écosystèmes marins, provoquant des dégâts non seulement sur les stocks de poissons pêchés mais aussi sur les milieux dans lesquels vivent les animaux marins. Les ressources non-animales en danger

De la mer en partage au partage de la mer, par Nicolas Escach (Le Monde diplomatique, juillet 2016) Faut-il un aménagement du territoire liquide ? Découper la mer en zones spécialisées, comme on aménage les terres ? Portée par une directive européenne qui entrera en application en septembre, cette idée part d’un constat : certains espaces juxtaposent des activités parfois incompatibles (transport, pêche, gazoducs, aires protégées, exploitation éolienne ou pétrolière). Illustration en mer Baltique d’une planification dictée par des considérations économiques. Le grand bleu se lézarde. Les activités humaines ont progressivement franchi une nouvelle frontière au cours de la seconde moitié du XXe siècle : croissance des échanges maritimes (1960), exploitation accrue des hydrocarbures en mer (1970), généralisation de l’usage du conteneur et développement de l’aquaculture marine (1980), premiers champs éoliens (1990), énergies marines renouvelables (2000). Taille de l’article complet : 2 257 mots.

La mer, au cœur des enjeux du XXI° siècle La conquête des mers n’est pas un événement récent de l’histoire de l’Humanité. Depuis toujours les hommes se sont aventurés en mer et ont cherché à maîtriser les océans afin d’échanger, contrôler, découvrir et s’ouvrir au reste du monde. La mer figure plus que jamais au cœur des enjeux de notre siècle. L’essor du monde et sa structuration se sont établis par la mer, à tel point qu’aujourd’hui la majorité de la population mondiale vit près du littoral. La richesse des mers Les ressources halieutiques, issues de la pêche et de l’aquaculture, sont exploitées en proportion de l’augmentation des besoins alimentaires d’une population mondiale en constante expansion. Mais les océans sont aussi dotés d’une riche biodiversité. Dans le domaine de l’énergie, l’accroissement de la population mondiale et de ses besoins nécessite de développer l’exploitation des hydrocarbures. Les énergies marines renouvelables offrent également de grandes perspectives. La liberté des mers Un monde fragile à protéger

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