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Publication du livre "Piratons la démocratie"

Publication du livre "Piratons la démocratie"
A propos A lire avant de participer : Ce projet est celui de la publication d'un livre, sous licence libre et écrit en toute transparence depuis février dernier. Piratons la démocratie se veut une piste de réflexion vers un système démocratique mondial, une réflexion à moyen terme sur la façon dont les citoyens peuvent réellement peser sur la vie politique actuelle et surtout à venir. Le livre avance, petit à petit, en public sur le Google Doc créé à cet effet et qui me permet de recueillir en temps réel les participations des Internautes soucieux de leurs libertés numériques. Pour en favoriser la diffusion, Piratons la démocratie sera disponible chez In Libro Veritas sous licence libre (CC0, domaine public autorisant toute utilisation du livre) à un prix plancher de 3,20€ en format papier et gratuit au format numérique (ebook et PDF). Image d'illustration par Paul Downey sur Flickr A quoi va servir le financement ?

Entre révolutions et un eG8: les dirigeants sont-ils en train de faire main basse sur Internet ? Avec plus de 1,8 milliard d'internautes en décembre 2009, selon les statistiques de Internet World Stats, l'importance et l'extraordinaire parcours du réseau des réseaux n'est plus à démontrer. Internet, pour beaucoup ça se résume en Google et Facebook, pour d'autres en un outil existentiel au boulot ou à la maison. Mais depuis peu, Internet prend d'autres ampleurs où des spectres politiques investissent les lieux. Certes, ceci n'est pas nouveau mais quand cela devient un élément fédérateur de deux révolutions, les différents acteurs mondiaux refont leurs calculs. Tout le monde l'a compris, Internet est vraiment l'endroit "to be in" du moment. Et ça dépasse même la simple "présence" de Twitter ou Facebook, les discours des chefs d'Etat vont de plus en plus vers un appel d'une "réglementation" d'Internet. "Réglementer" Internet par des lois qui autorisent des mesures de filtrages ou de surveillance par une autorité est sûrement une entrave à la définition même d'Internet.

Hacker, ce fantasme cathodique Ce vendredi soir, France4 diffuse Pirat@ge, bouffée d'air frais dans l'inconscient télévisuel collectif qui était jusqu'alors pollué par des portraits caricaturaux. Antoine Mairé fait une synthèse de ce qu'était le hacker vu à la TV. Il aura fallu attendre ce vendredi soir. Une heure et quart de documentaire pour voir combler une attente, celle de voir la pratique du hacking traitée avec nuance. - “Les cyber-criminels”, Envoyé spécial, France 2, mai 2009 - “Les guerriers du web”, Première, septembre 2009 (Canada) - “Les nouveaux pirates de l’informatique”, Spécial Investigation, Canal+, septembre 2010 - “Assange ou démon ?” Comme les titres le laissent penser, il s’agit surtout de s’intéresser aux hackers qui profitent des failles de systèmes informatiques à des fins pernicieuses. Il n’a pas de visage Le hacker est flouté. “Il a fallu sacrifier des séquences à cause d’un rendu trop allusif. Il est adolescent Il n’est pas adolescent Il n’est pas particulièrement doué Il pirate pour s’amuser

PARTI DU VOTE BLANC : Voter sans prendre parti Un panorama des réseaux sociaux politiques Après avoir investi Facebook, Twitter et autres plateformes vidéo, les partis politiques sont nombreux à avoir créé leur propre réseau social, avec des résultats mitigés. Un peu plus d’un avant les présidentielles, quels rôles les médias sociaux peuvent-ils jouer dans la bataille du web pour l’Elysée ? Un an sur la toile et puis s’en va : les « Créateurs de possible », réseau social de l’UMP lancé en le 7 janvier 2010 devrait fermer officiellement mi-janvier. Le site devait faciliter les échanges entre sympathisants UMP et internautes, proposer ou relayer des actions sur le terrain, inviter les inscrits à se rassembler autour d’une « initiative » concrète à mener à bien. Les autres réseaux sociaux de partis politiques sont, eux, beaucoup plus orientés « militants », ce qui rend difficile la comparaison avec les « Créateurs de possible ». Les partis politiques ont créé leur réseau social en voulant surfer sur l’obamania qui a gagné la France début 2009.

Aux origines de la cyberculture: LSD et HTML Révolution de l'information, débats sur le libre et le payant, origines dans les contre-cultures américaines des années 60. La cyberculture a 30 ans, Geek Politics fait le point. Juillet 1947. La revue américaine Foreign Affairs publie un rapport, rédigé par un certain M. X, qui modèlera la seconde moitié du vingtième siècle : « Les sources de la conduite soviétique ». Il est clair que le principal élément de toute politique des États-Unis à l’égard de la Russie soviétique doit être de contenir avec patience, fermeté et vigilance ses tendances à l’expansion. Mal comprise, de l’aveu même de Kennan, cette idée de containment influença la Doctrine Truman et devint l’une des pierres angulaires de la politique des États-Unis envers l’URSS tout au long de la Guerre Froide. Investir dans l’éducation au XXIe siècle 8 Avril 2011. Propagande, apocalypse, cyberguerre : la vision est volontiers anxiogène. Le grand bouleversement Ovni éditorial, bible hippie La génération numérique

Sociocratie REGARDS SUR LE NUMERIQUE: Blog - Clay Shirky : « Personne n'est titulaire du code source de la démocratie » RSLNmag est édité par Microsoft et se consacre à l’analyse et au décryptage du monde numérique.. RSLN : D’abord, une question d’actualité. J’imagine que vous suivez les événements actuels en Tunisie. Dans Here Comes Everybody: The Power of Organizing Without Organizations (2008), vous avez montré comment les nouvelles technologies permettaient aux citoyens lambdas de se saisir des outils permettant une « coopération » à une large échelle, une compétence dont Etats et institutions étaient jusqu’à présent les seuls dépositaires. Avez-vous l’impression que nous sommes dans cette configuration ? Clay Shirky : D’abord, une précision, de taille. A partir de ces éléments, mais en se plaçant également dans une perspective de long terme, ce que l’on voit, en ce moment, à l’œuvre en Tunisie, c’est bien une tentative de mettre en place une coordination explicitement politique de tous les mouvements de contestation : les manifestants tunisiens tentent de forcer l’Etat à s’intéresser à leurs revendications, à traiter avec eux. RSLN : Précisément, qui sont-ils, ces nouveaux faiseurs d’opinion ?

6 questions sur WikiLeaks, le Napster du journalisme WikiLeaks est-il vraiment transparent? Fallait-il publier les mémos diplomatiques? Nous apprennent-ils quelque chose? Le processus est-il réversible? Assiste-t-on à une évolution structurelle de la société? OWNI essaie de répondre à ces interrogations. Près d’une semaine après le début de leur mise en ligne, les mémos diplomatiques révélés par WikiLeaks continuent d’agiter le landerneau politico-médiatique. Transparence = totalitarisme, vraiment? NON. La transparence, ça veut dire qu’il n’y a plus d’intimité, plus de discrétion [...] Quel rapport? Tous ces télégrammes ont été publiés après que les cinq rédactions partenaires (le Guardian, le New York Times, Der Spiegel, Le Monde et El Pais) les aient parcourus, étudiés, contextualisés, vérifiés. Fallait-il publier ces documents? OUI. Mais il y a une seconde question. C’est aux gouvernements, pas à la presse, de garder les secrets tant qu’ils le peuvent, et de s’ajuster vis-à-vis de la réalité quand ceux-ci sont découverts. OUI. NON. NON.

The Political Power of Social Media On January 17, 2001, during the impeachment trial of Philippine President Joseph Estrada, loyalists in the Philippine Congress voted to set aside key evidence against him. Less than two hours after the decision was announced, thousands of Filipinos, angry that their corrupt president might be let off the hook, converged on Epifanio de los Santos Avenue, a major crossroads in Manila. The protest was arranged, in part, by forwarded text messages reading, "Go 2 EDSA. The public's ability to coordinate such a massive and rapid response -- close to seven million text messages were sent that week -- so alarmed the country's legislators that they reversed course and allowed the evidence to be presented. Since the rise of the Internet in the early 1990s, the world's networked population has grown from the low millions to the low billions. To continue reading, please log in. Don't have an account? Register Register now to get three articles each month. Register for free to continue reading.

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