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Rapport sur le livre numérique

Rapport sur le livre numérique

L’avenir du livre… est dans les données Mike Shatzkin (@MikeShatzkin), de retour de la Foire du livre américain (Book Expo America), a publié sur son blog quelques réflexions en désordre sur ce qu'il y a entendu et ce que cela lui a inspiré. Deux d'entre elles m'ont semblé suffisamment inspirantes pour vous en faire part. De l'importance des métadonnées Les métadonnées qui décrivent les livres sont toujours aussi mal organisées, estime Mike Shatzkin. Or, comme l'expliquait Jonathan Nowell (@JontyNowell), président de Nielsen Book Data, 40 à 80 % des ventes d'un titre dépendent de la qualité des métadonnées. Image : les ventes moyennes selon le niveau de complétude de métadonnées sur 100 000 titres évaluées par Nielsen, montre que les titres qui comportent les métadonnées les plus complètes sont ceux qui en moyenne se vendent le mieux. Des bases de données pour gérer les droits Mike Shatzkin pointe une autre faiblesse des éditeurs qui me semble essentielle : celle des bases de données de gestion de droits. La mode du court ?...

Le blog de actualitesdulivrenumerique Le marché du livre électronique est-il en panne On le sait, le marché français du livre électronique peine à décoller. En 2011, la vente de livres numériques n'a représenté que 0,5 % des ventes totales de livres en France (soit un total de 12,5 millions d'euros). Hormis en Corée du Sud, Etats-Unis et Grande-Bretagne, le taux de pénétration dans la plupart des pays demeure faible : en dessous de 1 %. Pourquoi ça ne décolle pas partout ? La raison principale avancée est toujours le prix bien sûr ! C'est autour de celui-ci que bien des utilisateurs s'exaspèrent... Il faut d'abord compter sur l'état du marché des supports. Si la France se distingue par le prix le plus élevé d'une nouveauté au format numérique (15 euros en moyenne, contre 9,3 euros aux Etats-Unis), le prix moyen n'explique pas le bon résultat de la Grande-Bretagne (13 euros pour un taux de pénétration de 7 %) ni le mauvais résultat de l'Allemagne (10,9 euros pour un taux de pénétration de 0,9 %). Le ralentissement du boom du livre numérique Les illusions du marché structuré

Liseuse Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Un auteur tenant les éditions papier et numérique de son roman Une liseuse[1] est un appareil mobile conçu principalement pour lire des livres numériques. Appellations[modifier | modifier le code] L'appareil est aussi appelé lecteur électronique, livre électronique ou tablette de lecture[2]. Le « livre numérique »[3] caractérise le livre au format numérique, alors que le « livre électronique » caractérise le support électronique de lecture[4]. Une liseuse fonctionne grâce à la technique du papier électronique, lequel utilise la lumière ambiante pour afficher le texte. Historique[8][modifier | modifier le code] En 1992-1993, F. Côté américain, on voit l’apparition du Rocket eBook (en) en 1999 élaboré par la société NuvoMedia, en partenariat avec l’éditeur Barnes & Noble, et du SoftBook Reader (en) développé en 1998 par la société Softbook Press en collaboration avec Random House et Simon & Schuster. Caractéristiques[modifier | modifier le code]

Hypermédia Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Grâce à ce procédé, toutes les formes d'informations sont reliées et permettent une navigation non-linéaire et interactive dans un ensemble de données textuelles, iconographiques et sonores. Dans les applications basées sur le Web, l'information est présentée selon une approche hypermédia, mais de plus, il est possible d'effectuer des traitements à travers l'interface Web. Dès lors, il n'est pas surprenant de constater que beaucoup de travaux de recherches sur les hypermédias ont été réalisés ou sont en cours de développement. Ces dernières années ont vu émerger ce que les médias de l'information n'ont pas hésité à nommer « la révolution des nouvelles technologies ». Cette évolution touche également le domaine éducatif, pour preuve l'apparition des TICE (Technologies de l'Information, et de la Communication appliquées à l'Enseignement). Le terme « hypermédia » a été cité pour la première fois par Ted Nelson en 1965. Hyperlien

Lire à l’heure des écrans, par Kevin Kelly Lire d'une manière entièrement nouvelle "Reading in a Whole New Way", Kevin Kelly. Traduction Hubert Guillaud avec l'aide d'Alain Pierrot et Julien Austruy (Participez à l'amélioration de la traduction, pour ceux qui le souhaitent). L'Amérique a été fondée sur la parole écrite. Ses racines trouvent leur source dans des documents tels que la Constitution, la Déclaration d'Indépendance et, indirectement, la Bible. Mais la lecture et l'écriture, comme toutes les technologies, sont dynamiques. Après l'arrivée de l'imprimerie par Gutenberg vers 1440, la production massive de livres a changé la façon dont les gens lisaient et écrivaient. Aujourd'hui, quelque 4,5 milliards d'écrans numériques illuminent nos vies. Les premiers écrans qui ont renversé cette culture, il y a plusieurs décennies de cela - les gros, gras et chauds tubes cathodiques - ont réduit le temps consacré à la lecture à un point tel, que la lecture et l'écriture semblaient révolues. Mais cela n'est pas de la lecture de livre.

Le livre : son passé, son avenir Entretien également disponible aux formats audio (mp3) et texte (pdf). Les mutations de l’objet livre La Vie des idées : Je voudrais évoquer avec vous la manière dont l’objet livre se métamorphose aujourd’hui sous l’influence des technologies liées à Internet (les e-books, le print on demand, etc.). Pouvez-vous revenir sur quelques-unes des mutations que le livre a connues depuis l’invention du codex ? Roger Chartier : Le premier problème, c’est : qu’est-ce qu’un livre ? Tous les problèmes de la réflexion tiennent à cette relation complexe entre le livre comme objet matériel et le livre comme œuvre intellectuelle ou esthétique, parce que, jusqu’à aujourd’hui, la relation s’est toujours établie entre ces deux catégories, entre ces deux définitions – d’un côté, des œuvres qui ont une logique, une cohérence, une complétude et, de l’autre, les formes matérielles de leur inscription, qui pouvait être, dans l’Antiquité et jusqu’au premier siècle de notre ère, le rouleau. Roger Chartier : Oui.

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