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Fantasy

Fantasy
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Définition[modifier | modifier le code] Le Journal officiel du 23 décembre 2007 a adopté le néologisme « fantasie » comme équivalent du grec fantasia (« imagination ») en la définissant de la manière suivante : « genre situé à la croisée du merveilleux et du fantastique, qui prend ses sources dans l’histoire, les mythes, les contes et la science-fiction »[1]. De son côté, le Grand dictionnaire terminologique de l’Office québécois de la langue française a proposé en 2003 le terme « merveilleux »[2]. En pratique, le mot anglais reste le plus utilisé, aux côtés de termes français recouvrant des domaines voisins mais non identiques, en particulier le merveilleux[3]. Dans son acception actuelle, le terme fantasy serait apparu pour la première fois aux États-Unis avec la revue The Magazine of Fantasy en 1949[4]. Pour l'écrivain et éditeur André-François Ruaud, la fantasy peut être considérée comme un sous-genre du fantastique : De même, J. — J.

Fantastique Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le héros fantastique a presque systématiquement une réaction de refus, de rejet ou de peur face aux événements surnaturels qui surviennent. Le fantastique est très souvent lié à une atmosphère particulière, une sorte de crispation due à la rencontre de l’impossible. La peur est souvent présente, que ce soit chez le héros ou dans une volonté de l’auteur de provoquer l’angoisse chez le lecteur ; néanmoins ce n’est pas une condition sine qua non du fantastique. Registres apparentés[modifier | modifier le code] Le fantastique est souvent considéré comme très proche de la science-fiction. En français, une erreur fréquente consiste à appeler « fantastiques » tous les textes appartenant au genre anglo-saxon de la fantasy, comme ceux de J. Histoire[modifier | modifier le code] Origines[modifier | modifier le code] Roman gothique[modifier | modifier le code] La véritable source du genre fantastique est le roman gothique anglais de la fin du 1785.

Le Seigneur des anneaux Prenant place dans le monde fictionnel de la Terre du Milieu, il suit la quête du hobbit Frodon Sacquet (Frodo Bessac), qui doit détruire l'Anneau unique afin que celui-ci ne tombe pas entre les mains de Sauron, le Seigneur des ténèbres, qui l'a créé. Plusieurs personnages lui viennent en aide, parmi lesquels son jardinier Sam, les hobbits Meriadoc et Peregrin (Merry et Pippin), le mage Gandalf ou encore l'humain Aragorn, héritier d'une longue lignée de rois. À la suite du succès critique et commercial du Hobbit, Tolkien entreprend la rédaction du Seigneur des anneaux en décembre 1937 à la demande de son éditeur, Allen & Unwin[1]. Il lui faut douze ans pour parvenir à achever cette suite, qu'il truffe de références et d'allusions au monde du Silmarillion, projet sur lequel il travaille depuis 1917 et dans lequel Le Hobbit a été attiré « contre l'intention première » de son auteur[2]. Résumé[modifier | modifier le code] Les Deux Tours[modifier | modifier le code] De la même façon, J.R.R.

Lampyridae Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Lampyres femelles Lampyris noctiluca LampyridaeLatreille, 1817 Sous-familles de rang inférieur Amydetinae Olivier, 1907Cyphonocerinae Crowson, 1972Lampyrinae Latreille, 1817Luciolinae Lacordaire, 1857Ototretadilinae Crowson, 1972Ototretinae McDermott, 1964Photurinae Lacordaire, 1857Pterotinae LeConte, 1861 Un Lampyridae au microscope à balayage Lucioles mâles : noter les gros yeux noirs, très sensibles à la lumière Les traits jaunes matérialisent le vol de lucioles, qu'il est de plus en plus rare d'apercevoir dans les zones urbanisées ou d'agriculture intensive Les yeux, sensibles à de faibles intensités lumineuses sont situés sous la tête, proches l'un de l'autre et protégés du soleil Bien que ces espèces fassent partie des coléoptères, la plupart des femelles ne peuvent pas voler, ressemblent à leurs larves, d'où le nom de "ver". Cycle reproductif[modifier | modifier le code] Les œufs et les larves peuvent aussi émettre de la lumière.

Théorie d'Everett Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le paradoxe du chat de Schrödinger dans l’interprétation d’Everett des mondes multiples (many worlds). Ici, chaque événement est une bifurcation. Le chat est à la fois mort et vivant, avant même l'ouverture de la boîte, mais le chat mort et le chat vivant existent dans des bifurcations différentes de l'univers, qui sont tout aussi réelles l'une que l'autre. La théorie d'Everett, appelée aussi théorie des états relatifs, ou encore théorie des mondes multiples, est une interprétation de la mécanique quantique visant à résoudre le problème de la mesure quantique. Contexte[modifier | modifier le code] Hugh Everett, qui l'a développée, estimait invraisemblable qu'une fonction d'onde déterministe donne lieu à des observations qui ne le sont pas, conséquence pourtant d'un postulat de la mécanique quantique, celui de la réduction du paquet d'onde. Objections[modifier | modifier le code] Développements récents[modifier | modifier le code]

Cycle des Princes d'Ambre Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le cycle des Princes d'Ambre est une saga d'heroic fantasy écrite par Roger Zelazny composée de deux séries de cinq romans dont le premier est sorti en 1970. Après sa mort, elle a été poursuivie par deux trilogies à la demande des héritiers de Roger Zelazny[1]. Ouvrages[modifier | modifier le code] Série écrite par Roger Zelazny[modifier | modifier le code] La première série, connue sous le nom de cycle de Corwin, relate les aventures du prince Corwin d'Ambre, qui est aussi le narrateur de l'histoire. La deuxième série, connue sous le nom de cycle de Merlin, relate les aventures de Merlin, magicien émérite et informaticien, seigneur du Chaos appartenant également à la maison d'Ambre par son père le prince Corwin d'Ambre. Roger Zelazny a écrit plusieurs nouvelles autour du cycle de Merlin : Prélude aux Neuf Princes d'Ambre[modifier | modifier le code] Les trois tomes qui composent la première trilogie Prélude aux Neuf Princes d'Ambre sont :

Univers parallèle Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. On nomme univers parallèle, ou monde parallèle, un univers séparé du nôtre possédant ses propres dimensions d'espace et de temps. Il peut s'agir d'un univers engendré par des phénomènes physiques hypothétiques, ou dans les œuvres de fiction par une modification arbitraire d'un événement. Selon les œuvres de fiction, ces univers sont décrits pour eux-mêmes ou en les faisant interagir avec notre univers, le principal pour nous. En physique[modifier | modifier le code] Les réalités d'Everett[modifier | modifier le code] Hugh Everett a proposé une interprétation de la fonction d'onde en mécanique quantique : pour lui, cette fonction décrit la réalité, et toute la réalité. Malgré sa complexité et les doutes sur sa réfutabilité, cette interprétation est utilisée en physique au même titre que celle de la décohérence et celle de Copenhague, et présente ainsi les lois quantiques comme exactes et complètes, plutôt que simplement statistiques.

Herman Melville Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Melville. Herman Melville Œuvres principales Pratiquement oublié de tous à sa mort, Melville est redécouvert dans les années 1920 à travers son œuvre maîtresse Moby-Dick. Biographie[modifier | modifier le code] Les années de formation[modifier | modifier le code] Au cours d'un voyage à New York en décembre 1831, Allan Melvill, qui tente de monter une nouvelle affaire dont il serait le patron, contracte une pneumonie. Melville en 1846-1847. À la fin de 1840, déçu dans ses espoirs à l'ouest, Melville se rend à Nantucket, berceau américain de la chasse à la baleine, où il signe, le 26 décembre, son inscription sur le rôle de l’Acushnet, trois-mâts baleinier de 358 tonnes (il reçoit une avance de 84 dollars sur son salaire) et embarque à New Bedford le 31 décembre. Carrière littéraire[modifier | modifier le code] La suite de sa carrière littéraire est une longue suite de désillusions.

Les Bannis et les Proscrits Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les Bannis et les Proscrits est une suite romanesque de fantasy médiévale écrite par James Clemens (1998-2002) et publiée en français par Bragelonne. L'histoire traite des aventures d'une jeune fille de ferme, Elena, qui hérite d'un pouvoir magique qui fut perdu pendant longtemps. L'ultime but de sa quête est de retrouver et détruire le Seigneur Noir. Livres[modifier | modifier le code] Tome 1 : Le Feu de la Sor'cière Il y a cinq siècles, par une nuit fatidique, trois mages ont fait une dernière résistance désespérée au Seigneur Noir, sacrifiant tout pour garder un espoir de préserver la bonté sur la terre d'Alaséa. Elena parvient à s'échapper avec son frère Joach en enflammant involontairement le domaine, et tuant sa mère et son père, de sa magie naissante. Tome 2 : Les Foudres de la Sor'cière Au début de ce tome, Elena et sa troupe partent du village des Montagnards de Kral, dans les Dents, où ils se sont réfugiés.

Sylphe (créature) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Sylphe. Les sylphes (« sylphides » au féminin) sont des esprits de l'air fictifs[1]. Elles sont décrites comme des élémentaires de l'air par Paracelse. Dans le monde anglo-saxon, les sylphes évoquent le poème épique d'Alexander Pope, The Rape of the Lock (en) (La Boucle de cheveux enlevée), où ils constituent des sortes d'anges gardiens chargés de protéger les jeunes filles. Les sylphes doivent leur nom au mot latin sylphus, « génie ». Les sylphes et sylphides sont un symbole de beauté, de subtilité et d'aspiration spirituelle. Nicolas-Pierre-Henri de Montfaucon de Villars, dit l'abbé de Villars, dans un roman célèbre, le Comte de Gabalis ou Entretiens sur les sciences occultes (1670) simplifie Paracelse dans sa théorie des « esprits élémentaires » : Les sylphes ont pour compagnes et filles, les sylphides. Les Sylphes sont des élémentaires du vent manipulées par Serpico dans le manga Berserk de Kentaro Miura.

Joseph Conrad Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Joseph Conrad Joseph Conrad en 1904. Œuvres principales Joseph Conrad, de son vrai nom Teodor Józef Konrad Korzeniowski herb. Biographie[modifier | modifier le code] Joseph Conrad est né à Berdytchiv dans l'Empire russe (aujourd'hui en Ukraine), au sein d'une famille de la noblesse polonaise (Szlachta). Celui-ci est alors confié à son oncle maternel, Tadeusz Bobrowski, qui demeurait à Cracovie, et à qui il devait rester très attaché, entretenant avec lui une correspondance suivie jusqu'à la mort de ce dernier en 1894. Carrière maritime[modifier | modifier le code] Carrière littéraire[modifier | modifier le code] Blason du clan Nałȩcz Une écriture[modifier | modifier le code] Il a été classé parfois comme auteur de « romans de mer », mais c'est aussi restrictif que cela le serait pour Herman Melville sous prétexte que celui-ci est surtout connu pour Moby Dick. Évocation Littéraire[modifier | modifier le code] Œuvres[modifier | modifier le code]

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