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Comment la Fnac a retrouvé une seconde jeunesse

Comment la Fnac a retrouvé une seconde jeunesse
L'agressivité des géants de l'e-commerce et la numérisation tous azimuts ont failli tuer le distributeur. Mais il a trouvé la parade... Deux fois par semaine, Catherine Husson monte au front. La directrice du magasin Fnac de la rue de Rennes, à Paris, s'enferme dans son bureau et décroche le téléphone pour rappeler des clients mécontents. «Les gens sont d'abord très surpris, explique-t-elle, mais ensuite la conversation s'engage et peut durer trente minutes, le temps de trouver une solution.» COMME DIT LE SLOGAN MAISON, «on ne peut qu'adhérer» ! Alexandre Bompard a considérablement élargi l'offre des magasins : Tous droits réservés - SP Et ça marche. Ce retournement donnera aussi espoir à toutes les entreprises qui doivent s'adapter à la révolution numérique. > Découvrez le bureau d'Alexandre Bompard, le P-DG de la Fnac : (Cliquez sur l'image pour lancer la vidéo) Il faut dire que la Fnac s'est vu administrer un remède de cheval. (Cliquez sur l'image pour visonner la vidéo) Jean Botella Related:  distribution

Commerçant: cinq astuces pour mieux vendre Stéphane Plazza a fait connaître le home staging au grand public: l'art de "toiletter" un bien immobilier, en le rendant agréable et "neutre", pour susciter le coup de coeur chez les potentiels acquéreurs. Sur le même modèle, il existe le shop staging pour aider les commerçants à booster leurs ventes : faire en sorte, à travers de subtils ingrédients, que les passants entrent dans le magasin d'abord, et en ressortent après passage en caisse seulement. Les conseils de Bérengère Bouvet, du cabinet Identités Nomades, basés sur les faux-pas les plus fréquemment commis. 1. Allégez votre vitrine Afficher dans sa vitrine le plus de choses possibles, pour montrer l'étendue de son offre. 2. Travaillez l'espace par thème, en délimitant des familles de produits. 3. Il est tendance, de présenter ses produits en hauteur. 4. Un objet sur lequel il y a de la lumière se vend mieux. 5. Tendance "scandinave", "loft industriel", stickers, tatoo, mots écrits sur les murs.

Les fabricants se mettent à vendre en direct ! Au cours des 12 derniers mois, plus d'un tiers (35%) des Français ont acheté des produits directement auprès d'un fabricant, d'après le baromètre JDA 2015 sur l'industrie. Un constat qui ne semble pas s'inverser : un tiers (33%) a déclaré acheter davantage de produits directement auprès d'un fabricant qu'il y a cinq ans. Et si tout n'est pas rose côté expérience client (absence d'options de livraison ou de retrait adaptés à leurs besoins), ils sont pourtant 48% à déclarer que leur expérience d'achat a été meilleure qu'avec un non-fabricant ! L'enquête a également mis en évidence que parmi les adultes qui avaient acheté des produits directement auprès d'un fabricant au cours des 12 derniers mois, 72% avaient effectué cet achat en magasin et 47% en ligne. " L'énorme boom du commerce omnicanal impacte maintenant également les fabricants. Pourquoi acheter en direct ? La personnalisation Tous les chiffres, sauf indication contraire, sont issus de YouGov Plc.

Non, le e-commerce n'est pas près de dépasser le commerce physique La croissance annuelle de la vente en ligne ne cesse de ralentir depuis 2009 et les magasins génèrent toujours 92% du chiffre d'affaires du commerce de détail. Depuis 2004, jamais la croissance annuelle du e-commerce n'avait été aussi basse qu'en 2015 selon l'étude "La transformation digitale de la distribution" de notre partenaire Xerfi. Conséquence : le chiffre d'affaires généré par les ventes en ligne de biens demeure 15 fois moins important que celui du commerce en magasin. 5%. La vente en magasin représente, elle, 92% du chiffre d'affaires total du commerce de détail en 2014, soit 447 milliards d'euros. En 2015, la croissance annuelle en valeur du e-commerce s'est ainsi élevée à 10%, soit 1 point de moins qu'en 2014. Du côté du commerce physique, il n'y a pas non plus forcément de quoi se réjouir. Le e-commerce, même s'il est en perte de vitesse, reste donc malgré tout bien plus dynamique que les magasins traditionnels. Source

Commerce - La grande distribution se recentre sur les produits alimentaires Imprimer la page Annie Massicot et Luis Cases, division Indicateurs conjoncturels d'activité, Insee Résumé De 1997 à 2008, le chiffre d’affaires du secteur des grandes surfaces alimentaires n’a cessé de progresser. Sous l’effet de la crise, il a reculé en 2009. Sommaire Publication Le chiffre d’affaires se redresse en 2010-2013, mais recule en 2014 Le secteur des grandes surfaces alimentaires (unités légales gérant des supermarchés, des hypermarchés et des magasins multicommerces) a subi comme l’ensemble de l’économie l’effet de la crise de 2008-2009 (figure 1). De 1997 à 2008, son chiffre d’affaires augmente de 47 %, soit un rythme de l’ordre de + 3,6 % en moyenne par an. Haut de page La part des ventes en produits alimentaires se renforce De 1997 à 2005, les ventes en produits alimentaires et non alimentaires (hors carburants) en magasins ont progressé à peu près au même rythme (figure 2). Entre 2005 et 2008, les ventes en produits non alimentaires ont été plus vigoureuses. Sources Définitions

Pourquoi Carrefour & Co s'échinent à inventer de nouveaux produits Les marques de distributeurs (MDD) cherchent à se relancer ! Depuis 2010, ces produits sous logo Carrefour, U ou Leclerc perdent du terrain face aux grands noms : dans les super et hypermarchés, ils sont tombés, en cinq ans, de 30 à 27,7% des ventes. "Leur image auprès du consommateur s'est dégradée, explique Jacques Dupré, chez IRI. Et comme les distributeurs se livrent une guerre des prix terrible sur les marques nationales, l'avantage compétitif des MDD se réduit." Une tuile, car les enseignes appliquent souvent des taux de marge plus élevés sur leurs gammes propres. Retrouvez notre dossier complet "La grande distribution : leurs coups de génie et leurs coups tordus" Etre le seul à proposer un produit reste le meilleur moyen d'éviter une concurrence frontale sur les prix ! >> En vidéo : Il a fallu près de 30 ans pour que les valises à roulettes deviennent performantes. L'étendoir a été conçu par les équipes de Carrefour. © SP Tous droits réservés Claire Bader

- Tendances du marketing relationnel, consommation : le hub Malmenée par la crise, questionnée par des clients exigeants, la présence de vendeurs en magasin pourrait toutefois retrouver une nouvelle vigueur. Dans une version connectée, et avec un rôle qui évolue vers celui de coach ou d’ambassadeur. De nouveaux modes de rémunération pourraient même apparaître. > Retour au sommaire navigation contenu L’humain dans les magasins, une place à reconquérir La crise a détruit des dizaines de milliers d’emplois dans le commerce. Le « clienteling » décrypté par Valérie Piotte, DG de Publicis Shopper Publicis Shopper s’emploie à analyser les nouveaux parcours d’achat des consommateurs connectés, afin de recommander des stratégies de communication sur l’ensemble du parcours d’achat pour transformer chaque consommateur en acheteur fidèle. 7 nouvelles façons de vendre Coach, ambassadeur, vendeur augmenté, conseiller expert… Voici 7 illustrations de la façon dont évolue le rôle des vendeurs.

Points de Vente était là ! Elle fait partie de notre quotidien. Du premier hypermarché Carrefour à Sainte-Geneviève-des-Bois, en 1963, aux prémices du commerce digital, la grande distribution a évolué, au fil du temps, pour le meilleur et pour le pire. Mort du petit commerce traditionnel, rupture du lien entre campagne et populations, emplois dévalorisés : les travers du secteur viennent aujourd’hui assombrir les années fastes de la grande distribution qui a “longtemps représenté, pour les anciennes générations, un vrai progrès social”, rappelle Philippe Olry professeur en éco-gestion. Changement de siècle et de moeurs oblige, les nouvelles générations sont plus enclines à l’acte d’achat personnalisé qu’à la consommation de masse. Age d’or À l’origine de la grande distribution, il y a un épicier. Entre 1974 et 1980, la progression des employés à temps partiel atteint 68 % en six ans et jusqu’à 119 % dans le gros non-alimentaire. Guerres des prixLa conjoncture va, toutefois, ternir le tableau. Dates clés

Le Drive : Un modèle en questions 1. Jusqu'où ira la part de marché ? 2,9 % de marché en décembre 100 % de croissance annuelle 5 millions de ménages utilisateurs (soit 15 %) à fin 2012 2 000 drives (points de retrait compris) à fin 2012 Sources : LSA, Kantar Une seule certitude : foncer. La course à l'armement Qu'on en juge. « En novembre, le drive a conquis 900 000 ménages de plus, indique Frédéric Valette, directeur chez Kantar Worldpanel. Une véritable course à l'armement... 2. 200 000€ d'investissement moyen pour un drive accolé un peu ambitieux 2 M € pour bâtir un drive solo 10 % de drives solo dans le parc global de drives Source : LSA Drive solo, planté à proximité de la concurrence, destiné à grappiller de la part de marché, ou accolé, installé à côté de son propre magasin, pour faire en sorte de ne pas en perdre... Domination des accolés Conséquence somme toute logique : le premier modèle domine largement. Et les autres ? 3. Elles sont au nombre de trois, ni plus ni moins. Nécessité de l'omnicanal Son intérêt, alors ?

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