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C & F Éditions : Libres Savoirs : Les biens communs de la connaissance - produire collectivement, partager et diffuser...

C & F Éditions : Libres Savoirs : Les biens communs de la connaissance - produire collectivement, partager et diffuser...
Libres Savoirs : Les biens communs de la connaissance - produire collectivement, partager et diffuser les connaissances au XXIe siècle Un regard mondial sur les biens communs de la connaissance. À la rencontre de ces réseaux qui n'envisagent pas de progrès sans partage des savoirs. La connaissance est un moteur de l'économie et de l'organisation sociale. Les biens communs de la connaissance constituent ainsi une utopie pragmatique qui propose des voies nouvelles pour aborder les défis du XXIe siècle. Pour Libres Savoirs, l'association Vecam a coordonné trente auteurs, venant de tous les continents, afin d'offrir un regard mondial sur les biens communs de la connaissance. Sommaire Les biens communs, une utopie pragmatique, par Valérie Peugeot. Autour du manifeste pour la récupération des biens communs, par Frédéric Sultan 1. Les communs de la recherche scientifique : Nourrir l'Humanité : les semences et les savoirs paysans 2 articles par : Guy Kastler, Adelita San Vicente Tello & Areli Carreon

Fiche Libres savoirs, les biens communs de la connaissance Auteur(s) du livre: Ouvrage collectif coordonné par VecamÉditeur: C&F Éditions978-2-915825-06-0Publié en 2011Première rédaction de cet article le 5 novembre 2011 Qu'est-ce qu'il y a de commun entre la paysanne mexicaine qui réclame de pouvoir faire pousser des semences de maïs de son choix, le parisien qui télécharge de manière nonhadopienne un film qu'il ne peut pas acheter légalement, la chercheuse états-unienne qui veut publier ses découvertes sans enrichir un parasite qui vendra très cher le journal scientifique, le programmeur brésilien qui développe du logiciel libre, et l'industriel indien qui veut fabriquer des médicaments moins chers ? Tous veulent pouvoir utiliser librement le savoir issu des communs. Les communs, ce sont tous les biens, matériels ou intellectuels, qui n'ont pas été capturés par des intérêts privés et qui sont gérés ensemble. Cet ouvrage collectif fait le tour de la question pour les communs immatériels, ceux dont l'usage par l'un ne prive de rien les autres.

Eclairage pour le 21e siècle : Biens communs, de la nature à la connaissance Lundi 14 octobre 2013 à 19h, nous vous convions à la septième édition du cycle Eclairage pour le 21e siècle organisé en partenariat avec Chroniques de la Rentrée littéraire, InternetActu.net et la Bibliothèque publique d’information. Cette soirée qui se tiendra dans le cadre de Villes en Biens Communs reviendra sur le concept des Biens Communs. Dans un monde secoué par les crises écologiques et économiques, l’État et le marché sont souvent opposés, l’un tenant le rôle de victime et l’autre de coupable. Qu’il s’agisse de l’exploitation ou de la préservation de ressources naturelles (échanges de graines, gestion de l’eau) ou de l’élaboration de savoirs immatériels (code génétique, logiciel, morceau de musique, défense du domaine public…), les biens communs recouvrent un large spectre. Cette rencontre aura lieu le lundi 14 octobre dès 19h dans la petite salle (niveau -1) du Centre Pompidou à Paris. Elle sera animée par Hubert Guillaud, rédacteur en chef d’InternetActu.net.

Le Prosommateur et la culture du Travail Le Prosommateur et la culture du travail « L’essence des clubs de troc c’est la culture du travail (…) la finalité du troc ce n’est pas acheter et vendre mais produire » José Sandler (coordinateur du Globito Azul, Viedma- entretien TAOA du 23 Janvier 2011) « Dans un club de troc, il faut travailler » Beatriz Riveiro (coordinatrice du nodo Estrella, Buenos Aires – entretien TAOA du 05 Décembre 2010) « Le RGT est un réseau d’échanges de biens et services par et pour des gens qui croient que l’argent ne doit pas être la condition déterminant la vraie valeur d’une personne. Les ferias des clubs de troc ne sont pas un marché comme les autres où se rencontrent vendeurs et acheteurs. Comment cela se traduit-il dans la réalité ? L’exemple le plus parlant est sans doute la production de nourriture, d’autant que ces produits étaient bien sûr les plus recherchés. Sans prosommateur, que se passe-t-il ? 1. 2. Ne pas confondre travail et emploi Retrouver l’estime de soi La perte de l’idéologie

Villes en biens communs Il y a près de chez vous des initiatives qui inventent des manières créatives de gérer des ressources ou de répondre aux besoins de communautés. Ces initiatives auto-organisées, se construisent autour du partage et nourrissent nos biens communs. Zones urbaines transformées en jardins partagés, savoirs partagés versés dans l’encyclopédie « Wikipedia », cartographie « open street map » nourries par les utilisateurs, logiciels libres, savoirs traditionnels, science ouverte, publications en libre accès, pédibus scolaire, fours à pains partagés, système d’irrigation agricole partagé, semences libres, contenus éducatifs ouverts, réseaux d’échanges de savoirs, justice participative, données ouvertes collectées par les personnes... les initiatives fleurissent. Quelle que soit leur échelle – de l’immeuble à la planète –, elles apportent des réponses inédites et robustes, là où la puissance publique et le marché sont souvent absents ou inefficaces.

Vulgarisation web2.0 : le web des prosommateurs « Mglcel’s Weblog “Information” et “Automatique” ont formés en 1967, après décision du Général De Gaulle, le mot ‘Informatique’ . Alvin Toffler, l’un des futurologues américains les plus célèbres de notre temps, inventa en 1980 le terme ‘Prosumer’, provenant de ‘producer’/’professional’ et de ‘consumer’, ce qui traduit en français à partir de ‘professionnel’/’producteur’ et ‘consommateur’ donne ‘prosommateur’. Wikipedia donne cette définition : « Le plus souvent utilisé dans le domaine du commerce pour signifier que le consommateur participe à la distribution (dans la vente par internet ou au supermarché). Malgré cela, son utilisation est de plus en plus répandue et peut signifier à la fois un consommateur professionnel et un consommateur producteur » Alvin Toffler et sa femme Heidi définissent ainsi le terme : Le web actuel permet donc à l’humanité de continuer de s’adonner à un de ses passe-temps préférés, à l’échelle du marché numérique mondial. Like this: J'aime chargement…

PiNG | Explorer les pratiques numériques Publié le 20 septembre, 2013 Il y a près de chez vous des initiatives qui inventent des manières créatives de gérer des ressources ou de répondre aux besoins de communautés. Quelle que soit leur échelle – de l’immeuble à la planète –, elles apportent des réponses inédites et robustes, là où la puissance publique et le marché sont souvent absents ou inefficaces. C’EST QUOI LES BIENS COMMUNS ? Les biens communs (ou « communs ») sont des ressources, gérées collectivement par une communauté selon une forme de gouvernance qu’elle définit elle-même. Mardi 8 octobre▸ Projection-débat « Le bien commun, l’assaut final » – au Katorza , de 20h à 22h – 6.20€ Projection organisée dans le cadre du Festival Sciences en Bobines (Festival national de cinéma scientifique organisé par la FSC). Mercredi 15 octobre ▸ Et si on remettait le partage au coeur de l’économie ? Mardi 22 octobre ▸ Conférence : « Bienvenue chez nous ! En savoir plus sur le festival :

Prosommateur Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Prosommateur est un néologisme issu du terme anglais prosumer qui cherche à décrire les tendances qu'ont les consommateurs à se professionnaliser et s'approcher de la figure de producteur. Notamment par le biais de connaissances acquises grâce à un accès à l'information considérable (ce qui est d'autant plus vrai à l'ère numérique), et poursuivant certaines convictions d'ordre plus politique. Origine[modifier | modifier le code] Ce terme a été créé par la contraction des suivants : producer / professional et consumer. Inventé dès 1980 par Alvin Toffler, ce terme se trouve de plus en plus utilisé dans des publications scientifiques. Il est aussi utilisé dans le domaine du commerce pour signifier que le consommateur participe à la distribution. Voir aussi[modifier | modifier le code] Articles connexes[modifier | modifier le code] Portail du commerce

Groupe de travail sur l'économie de la contribution ARCHIVES DE l'ATELIER - Enregistrements audio des séances de l'atelier - Intervention de Bernard Stiegler lors de la séance du 6 Novembre 2010 (video) - Intervention de Bastien Sibille : Entreprises à sources ouvertes - monnaie et dette, séance du 17 décembre 2011 : paix monetaire et financiere au sein de la zone euro - Innonation comme pharmacologie positive au delà de la logique économiste : séance du 4 février 2012 - Propositions pour le financement d'une croissance durable et soutenable : séance du 20 mars 2012 - Energie contributive : séance du 19 mai 2012 - Efficacité énergétique : séance du 28 janvier 2013 Ce groupe de travail « Economie de la contribution », est une thématique au centre de nos préoccupations ; celle-ci a fait l’objet de plusieurs débats au théâtre de la Colline et a été largement abordée dans nos publications, dans nos interventions publiques et dans notre Manifeste 2010.- cf. www.arsindustrialis.org/manifeste-2010 [1] cf. [2] cf. [4] cf. [8] cf. [9] cf. [10] cf.

Bernard Stiegler : “Il y a beaucoup d’inventions qui ne produisent aucune innovation” - Nouvelles technos Constatant l'échec du consumérisme, le philosophe Bernard Stiegler soutient que seule l'intelligence collective permettra une économie innovante. Entretien, dans le cadre d’un “spécial innovation” que nous déclinerons jusqu’à ce week-end. C'est la bonne nouvelle de ces temps de crise, l'innovation innove ! Quelque chose semble mourir : le système capitaliste consumériste qui, à force d'avoir détourné le désir et la création en pulsions d'achat, a fabriqué des sociétés démotivées, autodestructrices. Mais quelque chose d'autre est en train de naître : une innovation non plus conçue par le haut, par des ingénieurs et du marketing, mais émergeant de réseaux, d'échanges de savoirs, d'amateurs passionnés. L'innovation a une histoire, liée à celle de l'entreprise, de l'industrie, des technologies de pointe. Qu'est-ce qui distingue invention et innovation ? Quels sont les risques de l'innovation ? En quoi le fordisme a-t-il résolu les problèmes du capitalisme ? Sombre tableau !

L'avenir libre de Bernard Stiegler ou gratuit de Jacques Attali Un titre un peu caricatural pour un billet qui met simplement en parallèle deux récentes et intéressantes interviews vidéos, la première de Jacques Attali, la seconde de Bernard Stiegler. Choisis ton camp camarade ? Pas vraiment, parce que les deux intellectuels n’abordent pas exactement le même sujet, bien qu’il soit à chaque fois question de l’avenir de nos sociétés (on remarquera qu’ils citent tous deux Wikipédia mais pas avec le même dessein). Jacques Attali La gratuité - Dans le cade de l’émission Conversation d’avenirs sur Public Sénat22 décembre 2009 - URL d’origine de la vidéo Bernard Stiegler

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