background preloader

Jacques Sapir

Jacques Sapir
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Sapir. Jacques Sapir Jacques Sapir (né le 24 mars 1954[1] à Puteaux en France) est un économiste français. Il a enseigné à l'université de Paris-X Nanterre, puis il est devenu directeur d'études à l'EHESS en 1996, après y être entré comme maître de conférences en 1990. Il a pris publiquement position pour la « démondialisation ». Biographie[modifier | modifier le code] Il est le fils de Marie-Thérèse Roubaud et du psychanalyste Michel Sapir. Études[modifier | modifier le code] Jacques Sapir est diplômé de l'Institut d'études politiques de Paris en 1976. En 1980, il soutient une thèse de doctorat de 3e cycle à l'EHESS sous la direction de Charles Bettelheim[4]. Carrière[modifier | modifier le code] Jacques Sapir a exercé une fonction d'expert sur les problèmes de la transition dans l'ex-Union soviétique. Politique[modifier | modifier le code] Distinctions[modifier | modifier le code] [modifier | modifier le code]

François Ruffin Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Ruffin. Biographie[modifier | modifier le code] En 2000, il entre au Centre de formation des journalistes dont il ressort diplômé en juillet 2002. Durant les années 2000, il participe comme reporter à plusieurs émissions radio de Là-bas si j'y suis. Publications[modifier | modifier le code] Livres[modifier | modifier le code] 2003 : Les petits soldats du journalisme (illustrations par Faujour, éditions Les Arènes) qui critique ledit CFJ et plus largement la formation des journalistes. Quelques articles[modifier | modifier le code] Notes et références[modifier | modifier le code] Liens externes[modifier | modifier le code] Entretiens audio dans Là-bas si j'y suis : Portail de la presse écrite

L'agriculture Bio récupérée, intégrée, malaxée, digérée par le capitalisme mondialisé ? : Oui, mais bon ... - Aligre FM 93.1 Mhz L’agriculture Biologique , victime de son succès est-elle devenue un business comme les autres ? Que penser du développement d’une agriculture dite bio, néanmoins intensive, exploitant la main d’œuvre, cultivant hors sol , exportant sa production dans les hypermarchés aux coins du monde ? ... Les labels bio sont-ils dévoyés ? Le bio (comme tout le reste) est-il en train d’être récupéré, intégré, digéré, manipulé par le capitalisme mondialisé ? Comment faire le tri entre l’agriculture bio, citoyenne et paysanne fidèle à l’esprit Le bio et l’équitable sont-ils en train de divorcer ? Cette problématique tout à fait complexe est très bien analysée dans un ouvrage très complet, qui montre les différentes facettes du problème : LA BIO ENTRE BUSINESS ET PROJET DE SOCIETE, aux éditions Agone. Nous en avons parlé, jeudi 27 Juin, avec Michel Besson, Sociologue, Cofondateur de la coopérative Andines et de l’asso Minga. En savoir plus sur l'association Andines et répondre à son appel à l'aide : ici.

Aliments bio et santé: réponse de Claude Aubert (d'après Générations futures) Aliments bio et santé : l'agronome Claude Aubert répond à la mauvaise interprétation d'une étude récente et publie 'Manger Bio c'est mieux' Les produits bio pas meilleurs que les conventionnels ? Voire…. Une nouvelle étude*, publiée par la prestigieuse revue américaine « Annales of Internal Medicine » a été largement reprise par les médias. Elle conclurait que les produits bio ne sont pas meilleurs pour la santé que les conventionnels. Quant au fait que les quelques études réalisées sur l’homme n’aient pas montré de différence entre consommateurs bio et conventionnels en matière d’impact physiologique, il ne prouve rien, car elles portaient sur trop peu de personnes et étaient de trop courte durée. En conclusion, on voit que l’étude des chercheurs américains est, sur de nombreux points – comme l’a fait également remarquer la Soil Association - favorable au bio. * Smith-Spangler C et al.

Florissante industrie de l’agriculture biologique, par Philippe Baqué « Les écolos et les soixante-huitards ont laissé la place aux professionnels ! » Ainsi s’exprimait en juin 2009 un technicien de la coopérative Terres du Sud qui, dans le Lot-et-Garonne, organisait une journée « découverte » dans des élevages intensifs de… poulets biologiques. Les performances des installations livrées clés en main par la coopérative, les crédits et les aides publiques proposés étaient censés convertir les agriculteurs invités. En effet, pour approvisionner la grande distribution et la restauration collective. les puissantes coopératives agricoles, liées aux grandes firmes de l’industrie agroalimentaire, se livrent désormais une concurrence farouche dans l’élevage de ces poulets au-dessus de tout soupçon. Ces coopératives ont compris qu’elles pouvaient gagner beaucoup d’argent avec un type d’agriculture qu’elles ont longtemps dénigré. Toutefois, en 2009, malgré la progression des conversions, (...) Taille de l’article complet : 3 396 mots. Vous êtes abonné(e) ?

L’industrialisation du bio Avec un chiffre d’affaires qui a augmenté de 19% en 2009 pour les produits bio, le secteur a le vent en poupe. Longtemps délaissé par les supermarchés et les industriels car considéré comme marginal, le bio est devenu pour eux incontournable. Le problème est que nous sommes face à une industrialisation du bio. Il faut, à la manière des produits conventionnels, plaire au plus grand nombre en créant des produits aseptisés, bien emballés, au goût passe partout. La grande distribution ne se tourne pas vers les petits fabricants artisanaux, qui ne peuvent fournir assez de denrées et à un prix plancher, mais vers les grands groupes industriels qui se sont accaparés de ce marché juteux. Nous assistons ainsi à une perversion de l’idéologie « bio » d’origine de la petite paysannerie, qui cultivent des variétés anciennes avec des saveurs uniques dans le respect de la terre et de l’environnement. Une taille industrielle Importation : produits hors saison avec moins de goût Une règlementation arrangée

Les Conviviums Slow Food en France “Convivium” est un mot latin qui signifie “festin, réception, banquet”. Slow Food a emprunté ce terme pour désigner ses groupes locaux. Les Conviviums (presque 1000 dans le monde) sont l’expression locale de la philosophie Slow Food, dont ils constituent la clé de voûte. Au sein des Conviviums, les adhérents se rencontrent et établissent des relations avec les producteurs, mènent des campagnes pour protéger les produits alimentaires traditionnels, organisent des dégustations et des ateliers,incitent les chefs à utiliser des produits locaux, sélectionnent les producteurs qui participeront à des événements internationaux, travaillent pour développer l’éducation au goût dans les écoles. Et, plus important encore, ils cultivent l’appréciation du plaisir et de la qualité dans la vie de tous les jours. Pour plus de renseignements par rapport à la création d’un Convivium, merci de vous adresser à lucia@slowfood.fr Alsace Aquitaine Auvergne Basse Normandie Bourgogne Bretagne Centre Corse Haute Normandie

Slow Food Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Logo du mouvement. Le Slow Food est un mouvement international qui a pour principal objectif de sensibiliser les citoyens à l'écogastronomie et à l'alterconsommation. Son logo est un escargot qui symbolise un mouvement lent. Historique[modifier | modifier le code] Logo de l’association sur la façade d’un restaurant à Santorin. Le mouvement prend ses racines, en 1986, dans les Langhe[1] où un groupe d'amis (œnologues, historiens et sociologues) ayant pour passion commune l'établissement de rapport clair entre le plaisir, l'origine des aliments et la vie rurale se réunit autour des valeurs de bonhomie et de bonne nourriture simple : cette association nommée alors Arcigola, élit Carlo Petrini comme président. En 1989, il est décidé d'installer un Mac Donald en plein cœur de Rome. Structure[modifier | modifier le code] En 2009, l'association est présente dans une centaine de pays, compte près de 100 000 adhérents et près de 1 000 convivia[3].

L'agriculture biologique prise au piège de la grande distribution - Business Basta ! : On trouve de plus en plus de produits biologiques dans les rayons des supermarchés. Mais la surface agricole cultivée en bio stagne à 3 % en France. Comment expliquer ce décalage ? Philippe Baqué [1] : On assiste depuis 15 ans à un développement fulgurant de l’agriculture biologique. En dehors de ces prairies, la majeure partie des surfaces certifiées bio appartiennent à de grandes exploitations, spécialisées dans des monocultures d’exportation – soja, huile de palme, blé ou quinoa. Sur quelle stratégie commerciale se fonde ce « bio-business » ? C’est une véritable OPA de la grande distribution, qui a vu dans le bio un marché qu’elle devait investir à tout prix. Dans le secteur des fruits et légumes, la grande distribution reproduit dans le bio ce qu’elle fait dans le secteur conventionnel. Cette stratégie commerciale n’est-elle pas en contradiction avec la réglementation européenne ? La question du transport est aussi évincée. Les paysans deviennent des sous-traitants.

Biocentre - Espace Commun haut - Le GABOR 45 Accueil > Qui sommes-nous ? > Les GAB > Le GABOR 45 GABOR 45, Groupement des agriculteurs biologiques et biodynamistes de l’Orléanais et du Loiret. Structure associative créée en 1987, le GABOR fait partie du réseau national de la FNAB, Fédération nationale des agriculteurs bio. Les productions des adhérents du groupement sont diversifiées : céréales, protéagineux, oléagineux, bovins et ovins viande, porcs, bovins lait, volailles de chair, poules pondeuses, maraîchage et arboriculture, apiculture, plantes aromatiques et safran. Nos moyens humains Bureau professionnel Le Conseil d’administration comprend au total 10 administrateurs, céréaliers, maraîchers et éleveurs bio du département. Animation Cécile BELIN Coordonnées GABOR 45, Cité de l'Agriculture, 13 avenue des Droits de l'Homme, 45921 ORLEANS cedex 9 Tél. : 02 38 71 95 20 Fax : 02 38 71 95 22 E-mail : gabor@bio-centre.org Liens et Documents téléchargeables haut de la page

Related: