background preloader

Consommation collaborative et contagion du partage

Consommation collaborative et contagion du partage

La Consommation Collaborative, phénomène de 2011 ? | Consommation Collaborative Bon ok le titre est un peu vendeur…mais de vraies raisons d’être aussi optimiste, il y en a, à la fois pour ce qu’il se trame outre-Atlantique mais aussi en France… Des signes avant-coureurs en provenance des Etats-Unis Selon les secteurs de l’Internet et du e-commerce, il faut un délai plus ou moins long pour que les usages de l’Internet à l’œuvre aux Etats-Unis se traduisent en Europe. C’est le cas par exemple pour le secteur de la réservation de restaurants en ligne : un marché déjà mâture outre-Atlantique et qui n’en est encore qu’à ses débuts en Europe (1 % du total des réservations en 2010 en France ont été effectuées sur Internet). Zipcar, leader du car-sharing (autopartage traditionnel) aux Etats-Unis continue de s’étendre. Logo du tout nouveau Collabfund En France, nous ne sommes pas en reste… Il existe aujourd’hui en France une certaine émulation autour des projets de consommation collaborative et d’innovation sociale. Mais, une question se pose : pourquoi maintenant ?

La Consommation Collaborative : quel impact sur l'économie ? | Consommation Collaborative Nous voici en terrain glissant. A force d’évoquer avec vous la Consommation Collaborative et ses contours, il m’a semblé intéressant, bien que risqué, de commencer à questionner le concept, sa portée réelle et son impact potentiel sur l’économie et notre vie « sociale ». Photo by Deshazkundea under Creative Common licence Alors que je suis amené à présenter le mouvement de la Consommation Collaborative à des proches ou des amis, une remarque m’est souvent faite en ces termes : « la Conso Collaborative, c’est une contestation anticapitaliste en fait… le collectivisme, c’est le propre de l’organisation communiste non ? » Plusieurs commentateurs anglo-saxons ont déjà expliqué en quoi le mouvement de la Collaborative Consumption n’a rien à voir avec le collectivisme, ce post intitulé « Sharing is communism » – Insane Myths About Collaborative Consumption est intéressant par exemple. Deux reportages diffusés ces dernières semaines sont particulièrement éclairants à mon sens. Restez branchés !

2012, année internationale des coopératives Partager cette page Texte de la résolution L'Assemblée générale vient de proclamer 2012 « Année internationale des coopératives »*, en hommage à la contribution de ces associations à la réduction de la pauvreté, la création d'emplois et l'intégration sociale. Comptant aujourd'hui 800 millions de membres dans plus de 100 pays, les coopératives emploient plus de 100 millions de personnes dans le monde. Associations volontaires et autonomes, elles sont surtout présentes dans les communautés locales. En zones rurales par exemple, les coopératives d'épargne et de crédit comblent l'absence des banques auprès des micro et petites entreprises. Grâce au parapluie du Conseil mondial des coopératives d'épargne et de crédit, 49 000 associations offrent des services à 177 millions de personnes dans 96 pays différents alors que 149 millions d'usagers profitent des services des 4 200 banques opérant sous le chapeau du Groupement européen des banques coopératives (GEBC).

The Sharing Economy It’s 8:30 a.m. in Silicon Valley, and Neal Gorenflo is already busy sharing. Inside his Mountain View town house, just a few short blocks from the Caltrain station where commuters pour out each morning on their way to Google, Gorenflo hands over his 15-month-old son, Jake, to a nanny he shares with his neighbor. At a local coffee shop, he logs on to a peer-to-peer banking site called Lending Club to make a series of small loans to someone planning a wedding, another starting a pet business, and a guy named Pat who wants to move. After biking down to the station, he drags his ancient Peugeot onto the train to San Francisco, where he hops into a Prius he’s reserved for a few hours from City CarShare, a not-for-profit version of Zipcar. After driving out to Berkeley for a tour of a cohousing community, he finally lands at a shared office space in SoMa, from which he works once a week. Gorenflo does, of course, still own stuff. AirBnB, on the other hand, had to create demand. He laughs.

La montée de la consommation collaborative « La consommation collaborative correspond au fait de prêter, louer, donner, échanger des objets via les technologies et les communautés de pairs », explique le site éponyme lancé par Rachel Botsman et Roo Rogers, les auteurs de What’s mine is yours, the rise of collaborative consumption (Ce qui est à moi est à toi, la montée de la consommation collaborative). Ceux-ci affirment d’ailleurs que cette pratique est en passe de devenir un « mouvement ». Un mouvement qui va des places de marchés mondiales comme eBay ou Craiglist à des secteurs de niches comme le prêt entre particuliers (Zopa) ou les plates-formes de partage de voitures (Zipcar). « La consommation collaborative modifie les façons de faire des affaires et réinvente non seulement ce que nous consommons, mais également comment nous consommons », affirment ses défenseurs. Vidéo : la vidéo promotionnelle du livre de Rachel Botsman et Roo Rogers. Les fans du partage ont déjà leur magazine : Shareable.net.

Covoiturage avec Covoiturage Castorama - Le site du covoiturage en Europe blog » L’avenir de la consommation sera la consommation collaborative ! EmailEmail Antonin Léonard est blogueur passionné de développement durable et, plus particulièrement, de consommation collaborative. Pour preuve, son blog annonce : quand Internet rend la consommation plus intelligente. Selon lui, la consommation collaborative est un mode de consommation qui répond à deux principes : l’usage prévaut sur la possession [...]les échanges directs entre particuliers (peer-to-peer), tél un réseau neuronal, prévalent sur l’économie centralisée Tiens donc ! Plus sérieusement, le blogueur annonce que la consommation collaborative est sur le point de dépasser le simple stade de tendance pour devenir un véritable phénomène de consommation. » Quatre faits majeurs montrent que la Collaborative Consumption est en passe de devenir un des segments les plus prometteurs des startups américaines. En France, plusieurs éléments sont aussi annonciateurs d’une prochaine et jolie percée de la consommation collaborative. Que déduire de tout ça ? 8 fév

Les conseils de jeunes dans leur diversité Mis en ligne le jeudi 21 avril 2011. L’Anacej édite un DVD reprenant 12 films courts (moins de 2 minutes chacun) présentant au travers d’interviews de 24 jeunes conseillers, 12 actions mises en place dans le cadre des conseils d’enfants et de jeunes. Un outil idéal pour présenter concrètement ce que font les conseils et leurs actions à d’autres jeunes, des élus etc. Vidéo en ligne sur le site de l’Anacej : 2 jeunes conseillers de Figeac présentent le BRF [1]. BRF ? Le Conseil municipal des jeunes de Figeac (46)par AnacejTV Plus d’infos A lire aussi : Lacement du label « Ici, jeunes citoyens en action » par l’Anacej : eBay accueille les grandes marques sans pénaliser les petits vendeurs Delphine Rieutord, responsable de la communication envers les vendeurs professionnels chez eBay eBay, l’une des places de marché les plus visitées de France, s’éloigne de plus en plus de ses racines CtoC (consumer-to-consumer), et compte désormais avant tout sur ses milliers de vendeurs professionnels pour alimenter sa plateforme en millions de références. Mais même ses vendeurs professionnels pourraient laisser à leur tour la place… A qui ? Aux grandes marques et gros distributeurs, de plus en plus séduits par l’audience globale du site de E-Commerce. Mais eBay se veut rassurant sur la paisible coexistence des « anciens » et des gros nouveaux. Les marques écoulent leurs stocks sur eBay Responsable de la communication avec les vendeurs professionnels chez eBay, Delphine Rieutord informe les vendeurs des évolutions de la plateforme, et les aide à faire croitre leurs activités en leur fournissant conseils et formations. eBay n’est pas le seul à aller les chercher.

$€£ Le site d'autopartage entre particuliers En tant que dewayseur, vous vous êtes sans doute interrogé(e) sur les autres biens/objets que vous pouviez partager mis à part les voitures sur Deways : ) Eh bien, avez-vous pensé à partager de l’espace ? En effet, s’il vous reste un peu de place dans votre appartement ou votre maison ou même votre cabane de l’arbre de votre jardin, vous pouvez héberger un voyageur sympa pour une ou plusieurs nuits. C’est plutôt sympa car cela vous fait un revenu supplémentaire et vous avez la possibilité de rencontrer des gens souvent très intéressants et de partager un moment très sympa avec eux. Et ils peuvent bien sur dewayser votre voiture à la suite de l’expérience ! Ce concept a été développé par la jeune Montpelliéraine Magali Boisseau qui a créé Bedycasa, une communauté aux valeurs proches de la nôtre qui relie les personnes voyageant à travers le monde chez l’habitant et les personnes souhaitant partager tout ou partie de leur logement pour une ou plusieurs nuits. - Hébergement chez l’habitant

Alex Bogusky's FearLess Revolution - FearLess Blog - Introducing COMMON Watch as Alex Bogusky, Rob Schuham and John Bielenberg present COMMON, and follow along with the deck below (Download PDF). We’re confident that benefiting people, communities, society, the environment and future generations is the new advantage in business. We’re launching the COMMON brand in support of this transition from competitive advantage to collaborative advantage. COMMON is one part community; one part business prototyper; and one part collaborative brand. A living network of creative people rapidly prototyping dozens or hundreds of progressive businesses designed to solve social problems.

Related:  elghzabri