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I comme Icare - part 1/2

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Expérience de Milgram Graphique montrant que 65 % des sujets de l'expérience infligent des souffrances maximales si on le leur ordonne Reconstitution de l'expérience de Milgram (extrait)[1]. L’expérimentateur (E) amène le sujet (S) à infliger des chocs électriques à un autre participant, l’apprenant (A), qui est en fait un acteur. L’expérience de Milgram est une expérience de psychologie publiée en 1963 par le psychologue américain Stanley Milgram[2]. L'expérience a suscité de nombreux commentaires dans l’opinion publique, ainsi que dans le milieu de la psychologie et de la philosophie des sciences, et a inspiré de nombreuses œuvres de fiction ou de télévision. Déroulement de l'expérience[modifier | modifier le code] Fac-similé de l'annonce publiée en 1961 par l'équipe de S. La majorité des variantes de l'expérience a lieu dans les locaux de l'université Yale (New Haven, Connecticut). L'expérimentateur et l'élève sont en réalité deux comédiens. Les réactions aux chocs électriques sont simulées par l'apprenant.

La Vague (film) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir La Vague. La Vague La Vague (Die Welle) est un film allemand réalisé par Dennis Gansel (en) en 2008 et très librement inspiré de « La Troisième Vague », étude expérimentale d'un régime autocratique, menée par le professeur d’histoire Ron Jones avec des élèves de première du lycée Cubberley à Palo Alto (Californie) pendant la première semaine d’avril 1967. La Vague raconte l'histoire d'un professeur de lycée allemand, Rainer Wenger, qui, face à la conviction de ses élèves qu'un régime autocratique ne pourrait plus voir le jour en Allemagne, décide de mettre en place une expérience d'une semaine dans le cadre d'un atelier. Titre français : La VagueTitre original : Die WelleRéalisation : Dennis GanselScénario : Dennis Gansel, Todd Strasser, Peter ThorwarthMusique : Heiko MaileProducteurs : Martin Moszkowicz, Nina MaagDistributeur : BAC FilmsPays : AllemagneLangue : allemandDurée : 108 minutesDate de sortie : • •

Henri Laborit - Les interelations entre l'esprit, le corps et la société 22.08.2009Henri Laborit - Les interelations entre l'esprit, le corps et la société Tout le travail du neurobiologiste Henri Laborit a porté sur l'étude des relations entre l'esprit et le corps, ce qu'on appelle la neuroendocrinologie. Mais l'originalité de Laborit et la raison pour laquelle on a organisé son oubli dans les médias, est qu'il avait étendu ses recherches à l'influence que peut avoir la société sur le système esprit-corps... Henri Laborit, "Eloge de la fuite" "Le comportement de fuite sera le seul à permettre de demeurer normal par rapport à soi-même, aussi longtemps que la majorité des hommes qui se considèrent normaux tenteront sans succès de le devenir en cherchant à établir leur dominance, individuelle, de classe, de groupe, de nation, etc. Quelques autres extraits des livres d'Henri Laborit... "Dieu ne joue pas aux dés" Pour certains, la science a pu repousser très loin les limites de l'espace et du temps où l'homme est inclus. Thèmes: Société, Cerveau, Vision globale

[Entretien] Robert-Vincent Joule R.-V. Joule : Professeur de psychologie sociale à l’Université de Provence (Aix-en-Provence, France). Entretien réalisé en février 2003. Sylvain Delouvée : Merci d’avoir accepté cet entretien. Robert-Vincent Joule : C’est une question difficile… vous placez la barre très haut en ce début d’entretien… mais je ne me défilerai pas. Sylvain Delouvée : Pour celles et ceux qui ne connaissent pas vos travaux, comment, en quelques mots, présenteriez-vous vos thématiques de recherches ? Robert-Vincent Joule : Deux domaines, au cœur de la vie sociale, me passionnent et m’ont toujours passionné : celui du changement d’attitude et celui du changement comportemental. Sylvain Delouvée : Lors d’un entretien accordé à la Radio Nationale Dolmate (1) vous répondiez avec Jean-Léon Beauvois aux critiques qui sont souvent adressées à vos travaux sur les « armes » que vous fournissez aux manipulateurs. Robert-Vincent Joule : Je ne le pense pas. Il y a là de quoi alimenter la réflexion. 1.

Hyperactivité Adulte TDAH TDA Déficit d'Attention Probleme concentration Procrastination Cyclothymie Impulsivité. cerveau droit hp Coaching Expérience de Stanford L’expérience de Stanford (parfois surnommée effet Lucifer) est une étude de psychologie sociale menée par Philip Zimbardo en 1971 sur les effets de la situation carcérale, ayant eu un très grand écho social et médiatique. Elle fut réalisée avec des étudiants qui jouaient des rôles de gardiens et de prisonniers. Elle visait à étudier le comportement de personnes ordinaires dans un tel contexte et eut pour effet de montrer que c'était la situation plutôt que la personnalité autoritaire des participants qui était à l'origine de comportements parfois à l'opposé des valeurs professées par les participants avant le début de l'étude. Les 18 sujets avaient été sélectionnés pour leur stabilité et leur maturité, et leurs rôles respectifs de gardiens ou de prisonniers leur avaient été assignés ostensiblement aléatoirement. Les problèmes éthiques soulevés par cette expérience la rapprochent de l'expérience de Milgram, menée en 1963 à l'Université Yale par Stanley Milgram.

Effet Dunning-Kruger Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Personnage d'une carte postale de 1910 qui a inspiré (entre autres sources) celui d'Alfred E. Neuman, la mascotte du magazine Mad. L’effet Dunning-Kruger est un biais cognitif selon lequel les moins compétents dans un domaine surestiment leur compétence alors que les plus compétents auraient tendance à sous-estimer leur niveau de compétence. Ce phénomène a été démontré au travers d'une série d'expériences dirigées par David Dunning et Justin Kruger. Dunning et Kruger ont noté que plusieurs études antérieures tendaient à suggérer que dans des compétences aussi diverses que la compréhension de texte, la conduite d'un véhicule, les échecs ou le tennis, « l'ignorance engendre plus fréquemment la confiance en soi que ne le fait la connaissance » (pour reprendre l'expression de Charles Darwin). Leur hypothèse fut qu'en observant une compétence présente en chacun à des degrés divers, Comme le notèrent Dunning et Kruger,

La signification de la psychologie cognitive La psychologie cognitive est la branche de la psychologie qui étudie les fonctions psychiques et comportementales des êtres humains, telles que l'intelligence, le raisonnement, la logique, la perception des évènements et la résolution des problèmes. Les expérimentations La psychologie cognitive repose sur des expérimentations sur le comportement des individus par rapport à des situations précises, et mesure notamment le temps de réaction, le temps d'action nécessaire à la réalisation d'une opération donnée, sur la justesse des réponses à des questions précises, et même les données physiologiques comme ceux liés à l'oculométrie par exemple. L'architecture cognitive constitue la base de départ pour certains chercheurs qui tentent de comprendre les différents mécanismes qui gèrent la cognition. Les types de mémoire La psychologie cognitive a par exemple fait ressortir deux types de mémoire : la mémoire à court terme appelée aussi mémoire de travail et la mémoire à long terme.

Inférence Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'inférence désigne les actions de mise en relation d'un ensemble de propositions, aboutissant à une démonstration de vérité, de fausseté ou de probabilité, sous la forme d'une proposition appelée conclusion[1]. Dans sa définition classique, l'inférence est une opération logique portant sur des propositions tenues pour vraies (les prémisses) et concluant à la vérité d'une nouvelle proposition en vertu de sa liaison avec les premières. Exemples[modifier | modifier le code] L'inférence implique le recours à l'interprétation, peu importe qu'il y ait une suggestion. « Imaginez, vous vivez en famille dans une maison. En pensant à la scène, en vous imaginant en situation, il est peu probable que vous ne fassiez pas d'inférence. En pragmatique linguistique[modifier | modifier le code] Voir aussi[modifier | modifier le code] Sur les autres projets Wikimedia : inférence, sur le Wiktionnaire Références[modifier | modifier le code]

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