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Diffamation

Diffamation
Vous ne connaissez pas l'auteur Si l'auteur des propos est inconnu, vous ne pouvez pas utiliser la procédure de la citation directe, mais vous pouvez porter plainte. Dans ce cas, il faut porter plainte contre X, que ce soit une plainte simple ou une plainte avec constitution de partie civile : Acte par lequel une victime demande une sanction pour l'auteur de l'infraction et la réparation de son préjudice. Vous pouvez faire une plainte avec constitution de partie civile dans les cas de diffamation publique. En cas de diffamation non publique, vous pouvez faire une plainte avec constitution de partie civile : Acte par lequel une victime demande une sanction pour l'auteur de l'infraction et la réparation de son préjudice uniquement si votre plainte simple a été classée sans suite, ou si elle est restée sans réponse pendant 3 mois. Vous devez vous rendre dans un commissariat de police ou à la gendarmerie de votre choix. La pré-plainte peut être effectuée en ligne : Pré-plainte en ligne À savoir Related:  Censure et modération6e

Twitter clarifie les comportements abusifs pouvant entraîner un blocage de compte La Petite Bédéthèque des Savoirs Présentation Partant du constat que l’un des derniers grands territoires inexplorés de la bande dessinée reste le champ immense des sciences humaines et de la non-fiction, le concept de La petite Bédéthèque des Savoirs est simple : il s’agit d’une collection de bandes dessinées didactiques qui associe un dessinateur à un spécialiste.La petite Bédéthèque ne s’interdit aucun domaine du savoir : science, histoire, philosophie, littérature, droit, géographie, technique, zoologie, économie, théologie, etc… mais aussi des thèmes plus actuels, tels que la pop culture ou les questions de société.Ces bandes dessinées ne sont donc pas construites comme des récits de fiction, mais comme des approches sérieuses, vulgarisées et ludiques. Petit format : Papier :Finition :Public :Editeur : 139,5 x 196 mm72 ou 88 pages couleursMunken Pure 130 gralbum cartonnéados-adultesLe Lombard7, avenue Paul-Henri Spaak1060 Bruxelles, Belgique

Injure, racisme, diffamation sur les réseaux sociaux : quels risques pour vos enfants ? Les réseaux sociaux sont de formidables outils de communication. Ils permettent d’être en relation avec de nombreuses personnes, des groupes, de suivre ses sujets préférés, ses idoles, et de faire part de son avis, de publier des commentaires. Ces fenêtres d’expression sont tout particulièrement appréciées par les jeunes. Mais attention, s’exprimer sur les réseaux sociaux ne veut pas dire pouvoir dire n’importe quoi. Injurier, diffamer, avoir des propos racistes, ne sont pas sans risques. D’une manière générale, tout ce qui a trait à l'incitation à la haine raciale, le harcèlement, l'apologie du terrorisme, l’atteinte à la vie privée comme les injures envers un professeur par exemple, est réprimé par la loi, même sur les réseaux sociaux. Les sanctions en cas d’injures proférées sur les réseaux sociaux Les injures sont punies par la loi, et gravement si elles concernent des injures racistes, sexistes ou homophobes. Les sanctions pour diffamation sur les réseaux sociaux

Un salarié peut-il critiquer son entreprise sur Internet ? LE MONDE ECONOMIE | | Par Jean-Emmanuel Ray (Professeur à l'école de droit de Paris-I-Panthéon-Sorbonne) Hier, au Café du commerce, les vives critiques d’un collaborateur n’étaient écoutées que par trois convives, s’empressant de les reprendre devant la machine à café : 3 x 5 = 15 auditeurs. Aujourd’hui, une page Facebook (180 « amis » en moyenne en France, soit 32 400 « amis d’amis ») et a fortiori un compte Twitter sont suivis par un nombre très supérieur de personnes, aux profils très diversifiés ; et le caractère viral du Web 2.0 peut ensuite donner à une information sensible une diffusion nationale voire mondiale. Or, dans notre société de la réputation, toute atteinte à « l’image de marque » de l’entreprise est très mal ressentie par l’employeur. Quel est l’état du droit ?

Ulysse, les chants du retour Pascal Ory, L'Histoire « Le dialogue que [Jean Harambat] instaure entre le plus vieux conte et les analyses des maîtres de l’anthropologie historique est la grande réussite de ce livre, par ailleurs empreint d’une évidente sincérité et d’une modestie non feinte. » Romain Brethes, Le Point « Formidable bande dessinée, aussi enchanteresse qu'un chant de sirène ou un sortilège de Circé. » Stéphane Jarno, Télérama « Un album vivant, original, rhapsodique, à mi-chemin de l'essai et du roman d’aventures, dont on sort avec le sentiment d'avoir fait de jolies rencontres, d’être plus riche, bref, d'avoir, nous aussi, voyagé. » Clara Dupont-Monod, Transfuge « Un éblouissant voyage entre érudition et fiction, bercé par les chants d’Homère. » Anne-Claire Norot, Les Inrockuptibles « Du grand art.

Que risquent vos enfants s’ils tiennent des propos racistes, sexistes ou homophobes sur internet ? - CLEMI La liberté d’expression n’est pas absolue, il existe de nombreuses limites à celle-ci, prévues depuis une loi sur la liberté de la presse de 1881 et toujours applicables et appliquées aujourd’hui par les juridictions. Ainsi, contrairement à ce que l’on pense, internet n’est pas un espace d’expression totalement libre ni un espace de non-droit. Il est, au contraire, de plus en plus encadré par des textes de loi et des décisions de justice. Ainsi, la loi sanctionne l’incitation à la haine raciale, la diffusion des propos injurieux, racistes, antisémites, homophobes et diffamatoires sur internet, et en particulier sur les réseaux sociaux. Enfin, il convient de souligner que, sauf cas relativement rares d’anonymat ou d’anonymisation de la connexion internet, tout ce qu’une personne diffuse, publie, poste, tweete sur internet ou un réseau social est susceptible de permettre son identification comme auteur en cas de contenu illicite et d’action judiciaire à son encontre.

Twitter : trois internautes condamnés pour avoir utilisé un hashtag homophobe Voilà une preuve supplémentaire qu'Internet n'est pas la zone de non-droit que certains aiment à déplorer. Cette semaine, trois individus ont été condamnés par le tribunal correctionnel de Paris pour avoir publié sur Twitter des messages contenant un ou plusieurs mots-clés homophobes (#LesGaysDoiventDisparaîtreCar, #SiMonFilsEstGay...), signale l'AFP. Le premier prévenu a été condamné à 300 euros d'amende avec sursis pour provocation à la haine et à la violence à raison de l'orientation sexuelle, tandis que les deux autres ont été condamnés à 500 euros d'amende. Le comité IDAHO France, qui était partie civile dans cette affaire, a par ailleurs obtenu du premier 300 euros de dommages et intérêts et 500 euros des deux autres.

Décryptage de l'affiche 2016 par Katsuhiro Otomo Le Festival d'Angoulême 2016 donne la place d'honneur à son Grand Prix Katsuhiro Otomo, l'auteur d'Akira, une des légendes du manga moderne, qui fera le voyage du Japon au FIBD en janvier prochain. Au programme de sa venue, une rencontre événement d'une portée exceptionnelle au Théâtre d'Angoulême et une exposition hommage à l'œuvre de l'auteur sont prévues. Pour le détail des événements du FIBD autour de Katsuhiro Otomo vous pouvez consulter cet article. Décryptage de cet affiche chef-d'œuvre pour en découvrir toutes les précieuses références. Composition et lavis : à la manière de la peinture lettrée chinoise La composition générale choisie par Katsuhiro Otomo pour cette illustration inédite destinée au Festival d’Angoulême, ainsi que la technique du lavis qu’il met en œuvre pour son traitement, font l’une et l’autre référence à une école de peinture classique appelée au Japon nan-ga (« peinture du sud »), ou encore bunjin-ga (« peinture de lettrés »). Robots & vapeurs Je est un autre

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