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David Ricardo

David Ricardo
David Ricardo, né le 18 avril 1772 à Londres et mort le 11 septembre 1823 à Gatcombe Park, est un économiste et philosophe britannique, également agent de change et député. Il est considéré comme l'un des économistes libéraux les plus influents de l'école classique aux côtés d'Adam Smith et de Thomas Malthus. John Maynard Keynes, critique de Ricardo, écrit dans sa Théorie générale de l'emploi, de l'intérêt et de la monnaie que « Ricardo conquit l'Angleterre aussi complètement que la Sainte Inquisition l'Espagne »[1]. Biographie[modifier | modifier le code] Jeunesse[modifier | modifier le code] David Ricardo est le troisième des dix-sept enfants d'une famille bourgeoise de financiers juifs (d'origine portugaise), ayant émigré des Pays-Bas vers l'Angleterre juste avant sa naissance. À quatorze ans, David Ricardo rejoint son père à la Bourse de Londres, où il commence à apprendre le fonctionnement de la finance. Financier : praticien et théoricien[modifier | modifier le code] et le salaire Related:  Capitalisme | Libéralisme | Néolibéralismeyasmineknr

Capitalisme La mise en forme de cet article est à améliorer(octobre 2017). La mise en forme du texte ne suit pas les recommandations de Wikipédia : il faut le « wikifier ». Comment faire ? Les points d'amélioration suivants sont les cas les plus fréquents. Le détail des points à revoir est peut-être précisé sur la page de discussion. Pour une aide détaillée, merci de consulter Aide:Wikification. Si vous pensez que ces points ont été résolus, vous pouvez retirer ce bandeau et améliorer la mise en forme d'un autre article. Le capitalisme désigne l'économie de marché, vue sous l'angle du rôle des capitalistes, entrepreneurs ou épargnants, et du montant de leurs investissements dans la production de biens et de services. L'entreprise de production de biens et services crée de la valeur ajoutée par différence entre ses ventes et ses achats. Ambiguïtés de significations[modifier | modifier le code] Étymologie[modifier | modifier le code] Genèse de l'emploi du terme[modifier | modifier le code] En 1932, M.

Jean-Baptiste Say Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Say. Jean-Baptiste Say Jean-Baptiste Say, né à Lyon le et mort à Paris le , est le principal économiste classique français[1]. Industriel du coton, il fut l'un des entrepreneurs huguenots de cette industrie alors en plein essor. Il est l'auteur de la distinction tripartite « production – répartition – consommation », devenue classique. Biographie[modifier | modifier le code] Famille et formation[modifier | modifier le code] Ses premières années d'existence se passent à Lyon, où son père lui fait dispenser une éducation relativement libérale, en particulier avec la volonté de soustraire ses fils à l'influence de l'Église et de son système d'éducation. Le déménagement de la famille à Paris marque un tournant dans sa vie et il commence à 15 ans son apprentissage en travaillant comme « grouillot » dans une maison de commerce, du fait des revers de la fortune familiale. Selon Say, c'est l'offre qui crée le revenu.

George Santayana - Wikipedia, the free encyclopedia Jorge Agustín Nicolás Ruiz de Santayana y Borrás, known as George Santayana (December 16, 1863 – September 26, 1952), was a philosopher, essayist, poet, and novelist. A lifelong Spanish citizen, Santayana was raised and educated in the United States and identified himself as an American, although he always kept a valid Spanish passport.[1] He wrote in English and is generally considered an American man of letters. At the age of forty-eight, Santayana left his position at Harvard and returned to Europe permanently, never to return to the United States. His last wish was to be buried in the Spanish pantheon in Rome. Santayana is known for famous sayings, such as "Those who cannot remember the past are condemned to repeat it",[2] and "[O]nly the dead have seen the end of war." (a quote often wrongly attributed to Plato).[3] Santayana is broadly included among the pragmatists with Harvard University colleagues William James and Josiah Royce. Biography[edit] Early life[edit] Education[edit]

Twin deficits hypothesis The twin deficits hypothesis, also called the double deficit hypothesis or twin deficits anomaly, is a macroeconomic proposition that there is a strong link between a national economy's current account balance and its government budget balance.[1] Definition[edit] Macroeconomic theory points to a link between the budget balance and the current account balance. This link can be seen from considering the National accounting model of the economy: where Y represents National Income or GDP, C is consumption, I is investment, G is government spending and X-M stands for net exports. where Y is again GDP, C is consumption, S is savings, and T is taxes. Proof[edit] Since , and , then , which simplifies to the sectoral balances identity If (T-G) is negative, we have a budget deficit. Example[edit] In the US, the budget deficit is financed about half from foreigners, half domestically. "Double deficit" in the USA. One way to understand this process intuitively is by thinking through two different markets.

État stationnaire (économie) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les ressources naturelles traversent l'économie et finissent comme des déchets et de la pollution. Le concept d'état stationnaire souligne l'idée selon laquelle une économie à long terme finira par atteindre l'équilibre. Initialement, cet équilibre a été traduit mathématiquement par les économistes. pour refléter le niveau de création de valeur dans une économie. Ils expliquent cet état stationnaire par l'analyse décrite ci-dessous : Sachant que le niveau de croissance économique s'exprime par l'augmentation du PIB au fil du temps, les économistes se sont posés la question suivante : (en précisant ceteris paribus) le PIB pourrait-il plafonner en raison de la loi des rendements décroissants ? (soit le rapport entre la création de valeur et la quantité d'heure de travail dépensée pour la produire) était décroissante. Le concept d'état stationnaire est introduit par David Ricardo[1]. Portail de l’économie

Vingt propositions pour réformer le capitalisme John Maynard Keynes John Maynard Keynes en 1933. Signature Jeune, il rencontra aussi le succès en tant qu’auteur, avec l'écriture d'un livre sur le traité de Versailles intitulé Les Conséquences économiques de la paix, publié en 1919, et la rédaction d'articles pour des journaux et des revues. La force de John Maynard Keynes réside dans le fait qu'à la différence de ses prédécesseurs, il élabore une théorie nouvelle ainsi que les outils conceptuels nécessaires à la mise en place de politiques économiques alternatives. Sa pensée, notamment le courant keynésien dit de la synthèse néoclassique qui prédomina longtemps aux États-Unis[Note 3], perdit, de l’aveu même de ses partisans, une grande partie de son influence à partir du début des années 1980 avec la montée en puissance du monétarisme et de la nouvelle économie classique, qui promouvaient alors la dérèglementation financière. Jeunesse et vie culturelle[modifier | modifier le code] Famille et milieu d'origine[modifier | modifier le code] Livres M.

Groupe des dix (France) - Wikipédia Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le Groupe des dix est le nom donné à un groupement de personnalités françaises qui se réunissaient entre 1969 et 1976 pour échanger leurs idées, notamment sur les sujets croisés de la science et de la politique. Les participants sont entre autres : Henri Atlan, Jacques Attali, Jean-François Boissel, Robert Buron, Joël de Rosnay, Henri Laborit, André Leroi-Gourhan, Edgar Morin, René Passet, Michel Rocard, Jacques Robin, Jacques Sauvan ou Michel Serres. Sur un fond de connaissance en cybernétique et en théorie de l'information divers sujets de société sont abordés, dont les relations entre violence et politique, les problèmes drainés par la croissance économique, ou les rapports masculin-féminin.

Milton Friedman Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Friedman. Photographie représentant Milton Friedman. Milton Friedman a inauguré une pensée économique d'inspiration libérale dont les prescriptions s'opposent de front à celle du keynésianisme. Ses idées se diffusèrent progressivement et furent prises en compte par les milieux politiques dans les années 1980, influençant profondément les mouvements conservateurs et libertariens américains. Biographie[modifier | modifier le code] Jeunesse et formation[modifier | modifier le code] Milton Friedman naît à Brooklyn (New York), le 31 juillet 1912 dans une famille d'immigrants juifs venue de Transcarpathie, alors partie de la Hongrie (dans l'actuelle Ukraine). Le campus de l'université de Chicago Il obtient alors une bourse pour aller étudier à l'université Rutgers dans le New Jersey, où il obtient son diplôme de Bachelor of Arts en 1932[9]. Travail au niveau fédéral[modifier | modifier le code]

Pourquoi l’économie américaine se porte si bien En début de mandat, ses opposants le voyaient sombrer, emporté par ses outrances, se noyant dans ses incompétences. Pourtant, à un an et demi de l'élection à la présidentielle américaine, Donald Trump marche sur l'eau : sa cote de popularité vient de franchir la barre des 45 %! Une première depuis son arrivée à la maison blanche en janvier 2017, selon l'institut Gallup, qui suit cet indicateur chaque semaine. Son côté « gros bras », avec des menaces répétées d'augmenter les droits de douane sur les produits importés séduit son électorat et n'a provoqué aucune catastrophe sur le plan économique...loin s'en faut. Ces derniers jours, il surfe sur une avalanche de bonnes nouvelles : une croissance au premier trimestre de 3,2 % (en rythme annuel), un taux de chômage au plus bas niveau depuis les années 1969, le tout sans dérapage des prix… Voici pourquoi. L'argent de la révolution technologique. Un coup d'accélérateur. L'argent de la révolution technologique. Un coup d'accélérateur.

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