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John Maynard Keynes

John Maynard Keynes
John Maynard Keynes en 1933. Signature Jeune, il rencontra aussi le succès en tant qu’auteur, avec l'écriture d'un livre sur le traité de Versailles intitulé Les Conséquences économiques de la paix, publié en 1919, et la rédaction d'articles pour des journaux et des revues. La force de John Maynard Keynes réside dans le fait qu'à la différence de ses prédécesseurs, il élabore une théorie nouvelle ainsi que les outils conceptuels nécessaires à la mise en place de politiques économiques alternatives. Sa pensée, notamment le courant keynésien dit de la synthèse néoclassique qui prédomina longtemps aux États-Unis[Note 3], perdit, de l’aveu même de ses partisans, une grande partie de son influence à partir du début des années 1980 avec la montée en puissance du monétarisme et de la nouvelle économie classique, qui promouvaient alors la dérèglementation financière. Jeunesse et vie culturelle[modifier | modifier le code] Famille et milieu d'origine[modifier | modifier le code] Livres M.

Le tour de l'économie en 10 étapes Si vous ne comprenez rien à l'économie et que le sujet vous intéresse mais pas au point de devenir économiste, il n'y a que deux choses à faire. La première est de vous abonner à Alternatives Economiques! La seconde, de vous précipiter sur ce livre, original à bien des égards. Il a la particularité d'être construit, page après page, sur plusieurs niveaux de lecture complémentaires mais différenciés. Champ de bataille Le premier chapitre donne le la en montrant d'emblée que l'économie n'est pas une science, mais un champ d'affrontements idéologiques entre plusieurs représentations du monde. Pour autant, comme l'affirme l'auteur à la toute fin de l'ouvrage, chacun appréhendera les sujets traités avec "sa part de connaissances, de réflexion et de convictions". Tromperie Le tour de l'économie en 10 étapes. Commenter cet article

David Ricardo David Ricardo, né le 18 avril 1772 à Londres et mort le 11 septembre 1823 à Gatcombe Park, est un économiste et philosophe britannique, également agent de change et député. Il est considéré comme l'un des économistes libéraux les plus influents de l'école classique aux côtés d'Adam Smith et de Thomas Malthus. John Maynard Keynes, critique de Ricardo, écrit dans sa Théorie générale de l'emploi, de l'intérêt et de la monnaie que « Ricardo conquit l'Angleterre aussi complètement que la Sainte Inquisition l'Espagne »[1]. Biographie[modifier | modifier le code] Jeunesse[modifier | modifier le code] David Ricardo est le troisième des dix-sept enfants d'une famille bourgeoise de financiers juifs (d'origine portugaise), ayant émigré des Pays-Bas vers l'Angleterre juste avant sa naissance. À quatorze ans, David Ricardo rejoint son père à la Bourse de Londres, où il commence à apprendre le fonctionnement de la finance. Financier : praticien et théoricien[modifier | modifier le code] et le salaire

Marché monétaire Le marché monétaire désigne le marché informel où les institutions financières et les grandes entreprises (marché des billets de trésorerie) placent leurs avoirs ou empruntent à court terme (moins d'un ou deux ans). Les institutions financières recouvrent un grand nombre d'acteurs parmi lesquels les Trésors nationaux, les banques centrales, les banques commerciales, les gestionnaires de fonds, les assureurs, etc. Avec l'adoption des changes flottants, la monnaie est devenue une commodité comme les autres, un bien qui s’achète et se vend. Le marché monétaire est un élément essentiel au fonctionnement des marchés de capitaux. Mécanismes[modifier | modifier le code] Les interventions de la banque centrale sur ce marché correspondent au « refinancement ». Les opérations de la banque centrale sur les taux d'escompte et les opérations d'open market, conjointement avec les règles de mises en pension de certains actifs monétaires, sont censées réguler ce marché. Politique monétaire

untitled Karl Marx Karl Marx en 1874. Signature Il est connu pour sa conception matérialiste de l'histoire, son analyse des rouages du capitalisme et de la lutte des classes, et pour son activité révolutionnaire au sein du mouvement ouvrier. Il a notamment été un des membres dirigeants de l'Association internationale des travailleurs (Première Internationale). Des courants de pensée se revendiquant principalement des travaux de Marx sont désignés sous le nom de marxisme. Marx a eu une grande influence sur le développement ultérieur des sciences humaines et sociales. Biographie[modifier | modifier le code] Famille[modifier | modifier le code] Études[modifier | modifier le code] Il entre au lycée Frédéric-Guillaume de Trèves (de) en 1830. Engagement[modifier | modifier le code] À Berlin, il appartient au cercle des « hégéliens de gauche », dénommés aussi « jeunes hégéliens » (avec Bruno Bauer et d'autres) qui cherchent à tirer des conclusions athées et révolutionnaires de la philosophie de Hegel[10].

Comprendre les économistes n°031 Novembre 2007 Editorial Les économistes, leur jargon et leurs querelles Les économistes adorent se disputer, c'est bien connu, et le mot plaisant qui court sur eux - "mettez trois économistes ensemble et il en sortira quatre théories ... Les fondateurs Les saints fondateurs ou le jeu des cinq familles Cela ne s'invente pas. Les classiques, à la nombreuse descendance Adam Smith, le premier, propose une analyse générale du fonctionnement de l'économie: comment se fixent les prix, comment se répartissent les revenus, le rôle des ...(€) Le marxisme comme analyse des contradictions du capitalisme De la main invisible du marché, Marx voyait plutôt les tares que ses supposées vertus. Le tournant néoclassique Entre ces deux familles de pensée, le choc - intellectuel, mais aussi politique et social - était inéluctable. Les institutionnalistes font le pont avec la sociologie Beaucoup trouvaient le combat théorique singulièrement pauvre en idées et singulièrement rabougri en hypothèses. Les trouble-fête keynésiens

Jean-Baptiste Say Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Say. Jean-Baptiste Say Jean-Baptiste Say, né à Lyon le et mort à Paris le , est le principal économiste classique français[1]. Industriel du coton, il fut l'un des entrepreneurs huguenots de cette industrie alors en plein essor. Il est l'auteur de la distinction tripartite « production – répartition – consommation », devenue classique. Biographie[modifier | modifier le code] Famille et formation[modifier | modifier le code] Ses premières années d'existence se passent à Lyon, où son père lui fait dispenser une éducation relativement libérale, en particulier avec la volonté de soustraire ses fils à l'influence de l'Église et de son système d'éducation. Le déménagement de la famille à Paris marque un tournant dans sa vie et il commence à 15 ans son apprentissage en travaillant comme « grouillot » dans une maison de commerce, du fait des revers de la fortune familiale. Selon Say, c'est l'offre qui crée le revenu.

Libéralisme économique Les partisans du libéralisme économique se rangent en deux grandes familles. Pour les libéraux classiques (John Locke, Anne Robert Jacques Turgot, Adam Smith ou Étienne Bonnot de Condillac), le libéralisme économique est l'application au domaine économique des principes fondateurs du libéralisme : liberté, responsabilité, propriété. Ils contestent à la fois la légitimité et l’efficacité de l’action étendue de l’État, et, selon les doctrines, demandent la limitation plus ou moins grande voire totale de ses actions dans le champ de l'économie. Ils considèrent notamment que la puissance publique n'a ni la légitimité, ni l'information nécessaire pour prétendre savoir mieux que les consommateurs ce qu'ils peuvent ou doivent consommer ou pour prétendre savoir mieux que les producteurs ce qu'ils peuvent ou doivent produire. Histoire de la liberté économique[modifier | modifier le code] Révolution française[modifier | modifier le code] Royaume-Uni[modifier | modifier le code]

La BCE et la politique monétaire européenne Émissions obligataires: la ruée vers l'or La BCE a annoncé que les obligations d'entreprises seraient éligibles à son programme d'assouplissement quantitatif (QE) l'été prochain. Une décision qui incite les grandes entreprises à lever des millions sur les marchés. Sans pour autant favoriser l'investissement. Zone euro: la BCE se montre plus optimiste La Banque centrale européenne s'est montrée jeudi plus optimiste sur les perspectives économiques en zone euro cette année. Pourquoi la BCE a vraiment frappé fort cette fois-ci En abaissant ses taux directeurs, en augmentant ses rachats de dette et en lançant un nouveau prêt à long terme pour les banques, la BCE donne tout ce qu'elle a. Face aux émeutiers, la BCE joue les boucs émissaires Les manifestants anticapitalistes de Blockupy ont assiégé le nouveau siège de la BCE à Francfort pendant son inauguration.

Max Weber Max Weber [maks vebɛʁ][1] (en allemand [maks ˈveːbɐ][2]), né le 21 avril 1864 et mort le 14 juin 1920, est un économiste et sociologue allemand originellement formé en droit. Considéré comme l'un des fondateurs de la sociologie, il porte ses interrogations sur les changements opérés sur la société avec l'entrée dans la modernité. On lui doit notamment des analyses complexes du capitalisme industriel, de la bureaucratie et du processus de rationalisation en Occident. Contrairement à Émile Durkheim, considéré lui aussi comme un père de la sociologie, Weber a peu enseigné et n'a pas fait école de son vivant. En marge de son travail de recherche, Weber s'est engagé dans l'action politique, contribuant notamment à la rédaction de la Constitution de Weimar pour la république de même nom en 1919. Introduction[modifier | modifier le code] « Ce qui importe donc, en premier lieu, c'est de reconnaître et d'expliquer dans sa genèse la particularité du rationalisme occidental […].

Faillite de l'Etat : la purge qui nous attend - conférence de Charles Gave à l'Assemblée nationale, 28 septembre 2010 Ceci est l'enregistrement de la conférence donnée par Charles Gave, dans une salle de l'Assemblée nationale, à l'occasion de la sortie de son livre " L'Etat est mort ! Vive l'état ! Pourquoi la faillite étatique annoncée est une bonne chose", le 28 septembre 2010. Charles Gave a présenté un résumé synthétique de son livre en s'appuyant sur un certain nombre de graphiques. Pour chaque graphique évoqué, il donne le numéro de la page du livre où celui-ci apparaît. Pour visionner les graphiques en écoutant la vidéo (ce qui nécessite d'ouvrir deux fenêtres), utilisez le diaporama ci-dessous. Gave Graphiques Florilège En une cinquantaine de minutes tout à fait passionnantes, Charles Gave a donné une vision extrêmement complète de la situation économique et financière du pays ainsi que des scénarios qui nous attendent pour les cinq prochaines années, Voici quelques phrases fortes notées durant son exposé : - "La croissance française baisse d'à peu près un demi point tous les dix ans. Version audio

Théorie générale de l'emploi, de l'intérêt et de la monnaie Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. John Maynard Keynes est à la source d'une importante évolution de la science économique avec son œuvre principale, la Théorie générale de l'emploi, de l'intérêt et de la monnaie (The General Theory of Employment, Interest and Money) parue en 1936. L'ouvrage est considéré comme le traité de science économique du XXe siècle ayant le plus influencé la façon dont le monde a abordé l'économie et le rôle du pouvoir politique dans la société. Vue d'ensemble[modifier | modifier le code] Avec la Théorie générale, Keynes a développé l'hypothèse que la demande est le principal facteur déterminant le niveau de la production et par conséquent celui de l'emploi. Pendant tout l'après-guerre, de nombreux courants et partis politiques se réclament du keynesianisme en n'en retenant principalement que l'idée d'interventionnisme. Parmi les concepts novateurs apportés par Keynes, on retiendra surtout : Critique[modifier | modifier le code]

Euro En usage sous sa forme scripturale le 1er janvier 1999, il est mis en circulation le 1er janvier 2002 à 0 h sous sa forme fiduciaire. Il succède à l'ECU, « l'unité de compte européenne » mise en service en 1979. L'euro est la deuxième monnaie au monde pour le montant des transactions[4], derrière le dollar américain et devant le yuan chinois. Depuis octobre 2006, elle est la première monnaie au monde pour la quantité de billets en circulation[5]. Au 1er janvier 2022, 28 187 546 465 billets en euro étaient en circulation dans le monde, pour une valeur totale de 1 544 370 485 175 €, ainsi que 141 184 192 506 pièces de monnaie pour une valeur totale de 31 233 475 945 €, l'ensemble représentant la somme de 1 575 603 961 120 €[6]. Fonctionnement[modifier | modifier le code] L'euro est géré par la Banque centrale européenne (BCE) qui siège à Francfort et par l'Eurosystème, composé des banques centrales des États de la zone euro. Émission et contrôle[modifier | modifier le code] Notes : J.

crise financiere 2007 2008 les raisons du desordre mondial La faillite de Lehman Brothers en septembre 2008 marque un tournant dans la crise financière apparue pendant l’été 2007 aux États-Unis. Comment expliquer un tel effondrement du système financier mondial ? Wall Street : le New York Stock Exchange. © D.R. Depuis l’été 2007, le système financier international traverse une des plus graves crises depuis 1929. Le premier signal en est lancé le 17 juillet par un établissement financier américain, Bear Stearns, qui annonce alors la forte perte de valeur de ses fonds du fait des subprimes. Ce court résumé illustre la fragilité d’un système financier internationalisé, où l’effet de contagion est fort. Mais que s’est-il passé exactement ?

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