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Unité d'œuvre

Unité d'œuvre
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les unités d'œuvre (UO) permettent en comptabilité analytique de répartir des charges indirectes en fonction de critères tel que le volume d'heures utilisé, le volume de chiffres d'affaires, le nombre de salariés... pour les imputer par la suite dans un calcul de coût de revient d'un bien ou d'un service. Histoire[modifier | modifier le code] Jean Parenteau directeur du Cegos a contribué à la définition de l'unité d’œuvre. En 1939, la revue Le Génie civil publie un document qui fait apparaître la notion d'«unité d’œuvre»[1]: « Dans son rapport sur le prix de revient, M. Parenteau applique à la production des tapis et couvertures une méthode qui permet à chaque instant, ou tout au moins à des périodes assez rapprochées, de connaître le coût réel aux divers stades d'une fabrication. En 1973, Larousse considère l'unité d’œuvre dans la comptabilité analytique. Enjeux des unités d'œuvre[modifier | modifier le code] Exemple : Comptabilité analytique Related:  Comptabilité approfondie

Leçon n° 4 : les coûts complets Cours de Comptabilité analytique - niveau L2 < retour au sommaire Leçon n° 4 : les coûts complets, principes et fondements Exposé : La méthode des coûts complets est fondée sur le principe d’une prise en compte complète des coûts directs et des coûts indirects de l’entreprise, par le biais d’une répartition préalable pour les seconds, dans des « centres d’analyse ». Malgré ses imperfections, la méthode reste encore solidement implantée dans les entreprises et la compréhension de ses principes est donc nécessaire. La méthode des coûts complets repose sur le principe d’une affectation de toutes les charges de la comptabilité analytique au coût des produits fabriqués. 1.1 Principe général Le principe général de calcul du coût d’un produit repose sur l’affectation de l’ensemble des charges incorporables de la comptabilité générale et s’il en existe, des charges supplétives, au coût du produit. 1.2 Le traitement des charges indirectes dans les centres d’analyse 1.2.1 Les centres d’analyse

chapitre 7 : coûts de production avec en-cours, déchets, sous-produits La présence d’en-cours de production, déchets, sous-produits ou rebuts va modifier la structure et parfois l’enchaînement des calculs menant aux coûts de production de la période. Chaque cas fera l’objet d’un traitement spécifique. I- les en-cours de production A/ définition et principe comptable En-cours : produit non achevé à l’issus d’une période comptable Leur coût sera ajouté (ECI) ou retranché (ECF) du coût de production, afin de respecter le principe d’indépendance. ECI : en-cours initial ECF : en-cours final II- les déchets et rebuts A/ définition Les déchets sont des résidus de matière première (chute de tissus, sciures…) Les rebuts sont des produits finis défectueux qui ne seront pas vendus. B/ traitement comptable Les déchets et rebuts non utilisable : ils n’ont pas de valeur marchande et seront éliminés. Les coûts éventuels engendrés par leur traitement seront ajoutés au coût de production du produit principal. Les déchets et rebuts utilisables : ils ont une valeur marchande et sont :

L'organisation de la comptabilité d'une entreprise Toutes les entreprises doivent s’organiser sur le plan comptable ; non seulement dans le but de respecter les obligations auxquelles elles sont soumises mais également pour connaître en temps réel l’état de leur santé financière. Compta-Facile vous propose une fiche complète répondant à la question : comment procéder à l’organisation de sa comptabilité ? Organisation générale de la comptabilité d’une entreprise La comptabilité générale est un système d’organisation de l’information financière ayant pour objectif de traduire en termes chiffrés les différents échanges d’une entreprise avec son environnement et de fournir une synthèse concernant ces derniers. Pour une présentation plus complète : définition et rôle de la comptabilité. Une entreprise peut s’organiser de deux façons différentes en matière de comptabilité : Organiser sa comptabilité en interne Modalités d’organisation Lorsque la comptabilité est gérée en interne, l’entreprise doit organiser sa branche « comptabilité » elle-même.

chapitre 1 : les couts préétablis Le contrôle de gestion est l’activité visant la maitrise de la conduite d’une organisation en prévoyant les événements et en s’adaptant à l’évolution, en définissant les objectifs, en mettant en place les moyens, en comparant les performances et les objectifs, en corrigeant les objectifs et les moyens. On appelle couts préétablis des couts évalués « à priori » c’est à dire avant que les divers événements donnant naissance aux couts aient lieu. Exemple : courant décembre on pourra calculer des couts pour janvier, février… Par contre, les couts de novembre, déjà connus, seront qualifiés de couts réel ou constatés. Simplement, dans le cadre du présent chapitre, on se dirige vers une comparaison (P9) prévision (P8) – réalisations (P7) en matière de couts. Le calcul de couts préétablis permettra le contrôle de gestion par l’analyse d’écarts. I- définitions et notions A/ les différents couts préétablis B/ le contrôle de gestion - calcul d’écarts = réalisations - prévisions - analyse (numérique) Voir P9

Plan Comptable Général - www.plancomptable.com Charges fixes, charges variables : comment les distinguer ? Quelle utilité ? La distinction entre les charges fixes (également appelées charges structurelles ou charges de structure) et les charges variables (charges opérationnelles ou charges d’activité) est essentielle car elle permet de déterminer certaines données clés liées à la rentabilité d’une entreprise. Compta-Facile vous propose sa fiche complète sur les charges fixes et les charges variables : définition, différence et exemples concrets. 1. Qu’est-ce qu’une charge fixe ? Une charge fixe, charge structurelle ou charge de structure, est une charge qui est liée à l’existence de l’entreprise. Voici des exemples de charges fixes : les loyers (mobiliers ou immobiliers), les assurances, les salaires du personnel administratif, certains honoraires (avocat, expert-comptable), l‘amortissement des immobilisations. 2. Une charge variable, charge d’activité ou charge opérationnelle, représente une charge liée au fonctionnement de l’entreprise. 3. Pour plus d’informations : analyser un compte de résultat. 5.

Evolution du PCG / Le PCG ou le droit comptable commun Le plan comptable général constitue le droit comptable commun applicable à l'ensemble des entités soumises à l'obligation d'établir des comptes annuels. Le premier plan comptable qu'ait connu la France date de 1947. Depuis cette date, il a été modifié plusieurs fois : en 1957 avec l'instauration du plan comptable 1957, en 1982, avec l'instauration du plan comptable 1982, en 1986, avec la mise à jour du plan comptable 1982. Longtemps apprécié pour sa simplicité, le PCG commençait à être de moins en moins adapté à l’environnement économique. Cette date marque le véritable point de départ de toutes les réformes suivantes : ces dernières années, le PCG a, en effet, connu des évolutions significatives, tant sur le fond que sur la forme. Le règlement CRC 99-03 présente le PCG sous la forme d’un véritable code avec des titres, des chapitres et des sections, il ne traite plus des aspects liés à la consolidation et à la comptabilité analytique. Voir aussi Grandes réformes

Charges directes, charges indirectes : comment les distinguer ? Quelle utilité ? Savoir identifier et différencier une charge directe d’une charge indirecte est important pour une entreprise car cette procédure va permettre d’effectuer des calculs de coûts dans de nombreux domaines de l’entreprise (stocks, immobilisations, etc.). Compta-Facile vous propose sa fiche complète sur les charges directes et les charges indirectes : définition, différence, intérêts et exemples concrets. 1. Qu’est-ce qu’une charge directe ? Une charge directe est une charge qu’il est possible d’affecter immédiatement au coûts d’un produit, d’une marchandise ou d’un service, sans n’avoir à effectuer de calculs intermédiaires. En général, sont considérées comme directes les charges : d’achats de marchandises, matières premières et fournitures consommables (marchandises achetées pour être revendues, matières premières consommées dans un processus de production),de main d’oeuvre directe (main d’œuvre utilisé directement dans la production du bien ou la réalisation du service). 2. 3.

Comptable Que fait-il ?Le comptable contrôle et enregistre toutes les opérations financières de l'entreprise. Il rend compte des flux d'argent en provenance ou à destination des salariés, des clients, des fournisseurs, du Trésor public, etc. Au final, ses livres de comptes et ses tableaux de bord constituent des outils de gestion et d'aide à la décision pour le chef d'entreprise. Comment travaille-t-il ? Où exerce-t-il ? Les +Le comptable est au contact de tous les services de l'entreprise et participe concrètement à la mise en place de la stratégie et des projets de développement. Les -Pas de grain de folie !

Seuil de rentabilité Le seuil de rentabilité : voici un sujet plus vaste qu’il n’y paraît. Au-delà des principes qui font l’objet de cette page, les prolongements qui permettent de coller aux multiples situations réelles sont nombreux. Notamment, le seuil de rentabilité offre un cadre de choix à quelques utilisations statistiques. Note préalable : si vous êtes en première STMG, le contenu de la page outils de prospective est sans doute mieux adapté à vos attentes. Seuil de rentabilité Le contrôleur de gestion n'a pas vocation à chercher si des capitaux investis dans une entreprise sont rentables (voir à cet égard la page rentabilités économique et financière) mais il doit connaître le montant minimal de ventes à atteindre pour que les frais engagés soient rentabilisés. Un seuil de rentabilité (SR en abrégé et breakeven point en anglais) est calculé pour un produit, tout au long de sa courbe de vie notamment pour adapter son prix de vente, mais il fait aussi l’objet de prévisions avant sa mise sur le marché.

Expert-comptable / Experte-comptable Pour exercer, l'expert-comptable doit être titulaire d'un diplôme spécifique, lequel demande au total 8 années d'études. Il est possible d’accéder à cette profession en suivant soit un cycle classique universitaire, soit une formation en école privée (type École Supérieure de Commerce), soit une formation continue en alternance ou en apprentissage. Comme formations supérieures courtes, le BTS comptabilité et gestion des organisations (CGO) ou du DUT gestion des entreprises et des administrations (GEA) option finance-comptabilité est adapté. A l’université, une licence (bac + 3) mention économie-gestion, gestion et sciences de gestion ou sciences économiques de gestion constituele point de départ. A bac + 5, le master pro CCA (comptabilité, contrôle, audit) permet de préparer le DSCG (bac + 5) puis d’accéder à la formation du DEC. La voie classique consiste à préparer les diplômes nationaux.

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