Observation des satellites artificiels Observation des satellites artificiels Par Denis Bergeron Signets: Logiciel Satellite Tracker Suivi des satellites avec un télescope Observation des satellites géostationnaires Observation des satellites Iridium Observation des satellites militaires NOSS Conclusion L'observation des satellites artificiels est un autre domaine fascinant de l'astronomie. Le site web HEAVENS ABOVE est sans doute l'un des meilleurs site web pour nous permettre d'observer la station spatiale internationale ISS, les navettes spatiales STS, les satellites spectaculaires comme les satellites IRIDIUM qui deviennent subitement très brillant de plusieurs magnitudes en quelques secondes: Il suffit au départ d'y entrer nos coordonnées locales (LATITUDE, LONGITUDE). L'AZIMUT se mesure à partir du Nord (ÉTOILE POLAIRE) vers l'EST. L'observation au télescope de la station spatiale ISS et des navettes spatiales STS permet d'y apercevoir les principales structures. Logiciel SATELLITE TRACKER
Suivre le trajet de Hubble en direct sur Google Earth Alors que le célèbre télescope Hubble vient tout juste de réaliser sa millionième observation, nous vous proposons de fêter ce cap dignement en le suivant en direct dans l’interface de Google Earth. Pour rappel, Hubble est un télescope spatial qui se déplace en orbite à 600 kilomètres d’altitude de notre bonne vieille Terre. Pour suivre en direct la position de cet appareil photo ultra-puissant qui nous livre de fabuleux clichés de notre environnement spatial, nous allons donc utiliser le logiciel de cartographie de Google. Pour pouvoir profiter pleinement du spectacle orbital de ce satellite, il faut bien sûr disposer du logiciel gratuit Google Earth sur son ordinateur. Une fois dotée de cette application, votre machine est à même de pouvoir afficher les données qui nous intéressent. Vous verrez ainsi le fichier s’afficher dans la colonne de gauche intitulée Lieux.
Système solaire Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le Système solaire est un système planétaire composé d'une étoile, le Soleil, et des objets célestes définis gravitant autour de lui (autrement dit, notre système planétaire) : les huit planètes et leurs 175 satellites naturels connus[7] (appelés usuellement des « lunes »), les cinq planètes naines, et les milliards de petits corps (astéroïdes, objets glacés, comètes, poussière interplanétaire, etc.). De façon schématique, le Système solaire est composé du Soleil, de quatre planètes telluriques internes, d'une ceinture d'astéroïdes composée de petits corps rocheux, quatre géantes gazeuses externes et une seconde ceinture appelée ceinture de Kuiper, composée d’objets glacés. Ensuite vient l'héliopause, limite magnétique du Système solaire définie par l'arrêt des vents solaires (ils deviennent plus faibles que le vent galactique). Terminologie[modifier | modifier le code] Planètes et planètes naines du Système solaire.
Photos - Le satellite Planck dévoile une carte de la première lumière de l'Univers Avez-vous déjà partagé cet article? Partager sur Facebook Partager sur Twitter Jeudi matin, au siège de l'Agence spatiale européenne (ESA) à Paris, se tenait la conférence de présentation des premiers résultats cosmologiques de la mission Planck. "Le plus court chemin qui mène vers l'avenir passe par le passé", c'est en ces mots empruntés au poète Aimé Césaire que Jean-Jacques Dordain, directeur général de l'Agence spatiale européenne (ESA) a présenté la conférence qui se tenait ce matin au siège de l'agence. Lancé en mai 2009, le satellite Planck a été conçu pour remonter à l'origine même de notre Univers afin d'en savoir plus sur ce, à quoi il ressemblait dans ces jeunes années. Mais ce rayonnement fossile n'est pas uniforme : il présente des petites fluctuations de températures qui correspondent à des régions de densité légèrement différente et témoignent de la création de futures structures, les étoiles et les galaxies que nous connaissons aujourd'hui.
Station spatiale internationale : news, Définition, photos, vidéos, dossiers, fonds d'écran, membres La Station spatiale internationale ou International space station en anglais (ISS) est une station spatiale placée en orbite terrestre basse. Un projet qui a été lancé en 1983 par les Etats-Unis et la NASA mais auquel participent aujourd'hui également l'Agence fédérale spatiale russe (Roskosmos), l'Agence spatiale européenne (ESA), l'Agence spatiale japonaise (JAXA) et canadienne. Plus grand des objets artificiels placés en orbite terrestre, la Station spatiale internationale (ISS) est l'un des plus ambitieux projets menés dans le domaine spatial. Un projet qui a été lancé en 1983 par le président des Etats-Unis Ronald Reagan après de nombreuses réflexions menées dans les années 1960 et 1970. Toutefois, les débuts ont été difficiles tant au niveau du coût que du contexte politique. Ce n'est donc qu'en 1998 que l'assemblage de la Station a réellement commencé. Dès 1998, plusieurs vaisseaux spatiaux commencent donc à se relayer pour placer en orbite les composants de la Station.
Où trouver des photos gratuites et de qualité pour vos créations ? Un nouveau mouvement de partage a vu le jour sur le web depuis quelques mois : les designers et photographes s’organisent pour mettre à disposition des photos gratuites, libres de droits et de qualité pour vos créations. Traditionnellement en agence, les photos pour illustrer nos maquettes et un projet finalisé proviennent de banques d’images comme IStock, Fotolia, Shutterstock ou encore Getty Image pour ne citer qu’elles. Les banques de photos libres de droits et gratuites existent-elle depuis belle lurette, comme le site SXC.hu par exemple. Au-delà de ces méthodes « classiques », une sorte de tendance d’entraide entre créatifs du web voit ouvrir de nouveau sites, proposant des photos gratuites de toutes beautés. Unsplash Mis en ligne il y a quelques mois déjà, le site Unsplash a en quelque sorte lancé le mouvement. Gratisography Le site vient tout juste de voir le jour. Little Visual Dotspin Le site se présente déjà plus comme une galerie. PicJumbo Death to The Stock Photo New Old Stock
Vidéo : le télescope géant ALMA enfin prêt à percer les secrets de notre univers Mercredi 13 mars, est inauguré un projet astronomique pharaonique qui prend place en plein désert d’Atacama, au Chili, à plus de 5.000 mètres d'altitude. Grâce au Vaste Réseau d’antennes millimétrique/submillimétrique d'Atacama (ALMA), il sera bientôt possible de percer les secrets de l'origine du cosmos et de révolutionner la science. Avez-vous déjà partagé cet article? Partager sur Facebook Partager sur Twitter Après 10 ans d’attente, l’ALMA, un réseau de radiotélescopes surpuissant, voit enfin le jour. C’est en plein désert d'Atacama, le plus aride au monde, sur le plateau de Chajnantor au Chili, à plus de 5.000 mètres d'altitude, qu’ont été disposées les 66 antennes de l’ALMA. Un télescope géant unique au monde Fonctionnant de concert, ces antennes agiront comme un seul télescope géant de 16 km de diamètre qui sera ainsi unique au monde, et les images prises par ALMA seront traitées par un superordinateur, le Corrélateur. ALMA, une réelle opportunité dans le domaine de l'astrochimie
Simulateur en ligne des orbites de révolution des planètes Utilisation du simulateur interactif Astronoo : Grâce à ce simulateur vous allez voir la révolution des planètes sous tous les angles et leur alignement dans le système solaire comme si vous étiez dans un vaisseau spatial. Au départ on est au "dessus" du système solaire (c'est une vue depuis le pôle nord céleste) et le déroulement du temps est réglé sur 10 jours par seconde, ce qui permet de voir tourner les planètes sur leurs orbites mais vous pouvez aller dans le futur ou revenir dans le passé en utilisant les boutons du haut. Vous pouvez zoomer (en haut à droite) à l'intérieur du système solaire tout en laissant les planètes tourner. Avec les flèches en bas à droite vous pouvez faire tourner les plans orbitaux des planètes et si vous souhaitez plus ou moins d'information, voir plus ou moins les orbites, utilisez les boutons en bas à gauche.Vous remarquerez que les planètes ont des vitesses variables, elles respectent la loi des aires de Johannes Kepler (1571-1630).
l'Enigme de Richat La structure de Richat ou dôme de Richat, surnommé « l'œil de l'Afrique » ou traditionnellement Guelb er Richât, près de Ouadane en Mauritanie en plein désert du Sahara, est une ancienne « énigme scientifique » de 50 km de diamètre, qui ne s'observe pleinement que depuis l'espace. Largement révélé en 1965 par une mission Gémini américaine, ce serait d'après les dernières interprétations scientifiques géologiques1, le résultat d'un phénomène volcanique géant, vieux de 100 millions d'années (Crétacé), totalement effondré suite à une longue érosion différentielle. Cette structure a été pour la première fois signalée dans les cartes au 1/200 000 de l'Institut géographique national français en 1963. Elle a par la suite attiré l'attention des premières missions spatiales à cause de sa forme caractéristique en oculus dans un paysage désertique assez monotone. Interprétation scientifique Envie de voir les liens et les images ?
Plongez dans la plus grande carte 3D de l’Univers Pour compléter et prolonger le débat du précédent billet paru sur ce blog (quelles expériences scientifiques mener si l'on a 1 million d'années devant soi), il faut, comme quelques commentateurs l'ont suggéré, évoquer l'exploration spatiale de l'Univers. Avec un "budget" de plusieurs centaines de millénaires, la chose semble plus accessible mais cela demeure une impression quelque peu trompeuse. Le vaisseau spatial habité le plus rapide de l'histoire est Apollo-10, avec une vitesse de 11 kilomètres par seconde. Mille fois plus rapide qu'Usain Bolt. Mais un escargot eu égard aux distances à parcourir dans l'espace. A supposer que les progrès de la technologie nous permettent d'augmenter la vitesse de nos vaisseaux jusqu'à atteindre une moyenne de 1% de la vitesse de la lumière, ce qui est énorme (3 000 km/s). Heureusement, il existe un autre moyen (plus rapide et plus sûr) de "voyager" dans l'Univers.
Serge Tisseron Télécharger Stellarium 0.11.4 Plus d'images Stellarium est un logiciel gratuit dans la lignée de Google Earth qui propose de visualiser le ciel lui aussi. Il affiche en effet toutes les merveilles du ciel. La caméra au milieu d'une plaine choisie sur une carte du monde et le ciel animé en 3D et en temps réel permettent d'identifier très facilement les étoiles, les planètes et les nébuleuses. Ce logiciel ne donne pas que le nom des astres, il indique aussi leur distance par rapport à la Terre ainsi que d’autres informations qui raviront les passionnés comme les néophytes. Stellarium offre aussi la possibilité de zoomer sur chacune des étoiles, de relier celles constituant des constellations et d'y superposer une vue artistique pour mieux comprendre leur nom. Au-delà de ça, le logiciel permet d'accélérer le temps pour assister à de magnifiques levers et couchers de Soleil. Son utilisation est simple, avec une interface en français intuitive et des graphismes impeccables.
Carte du ciel Cette carte du ciel vous permet de recréer l’aspect du ciel à un moment donné (entre 1600 et 2400) et depuis n’importe quel point de la Terre. Elle indique la position du Soleil, de la Lune, des planètes Mercure, Vénus, Mars, Jupiter, Saturne, et des 1377 étoiles les plus brillantes du ciel. Les algorithmes sont basés sur le livre « Calculs astronomiques à l’usage des amateurs », Jean Meeus, Société astronomique de France, Paris, 1986. Pourquoi l’est et l’ouest sont-ils inversés sur la carte ? Une carte traditionnelle est conçue pour être vue d’en haut : les points cardinaux sont placés de manière classique, l’est à droite et l’ouest à gauche. Une carte du ciel est conçue pour être vue d’en bas, couché(e) dans l’herbe, la tête tournée vers les étoiles : si vous pointez les pieds vers le sud, l’est sera vers la gauche et l’ouest vers la droite, soit l’inverse d’une carte traditionnelle. En cas de problème ou de question, consultez l’aide en ligne ou contactez moi : contact.