background preloader

Bombardement d'un camp de l'armée syrienne par la coalition menée par les Etats-Unis, 3 soldats tués

Alors que Damas s'apprête à envoyer une note de protestation au Conseil de sécurité de l’ONU après le bombardement de ses soldats, la coalition menée par les Etats-Unis rejette toute culpabilité, affirmant que ses frappes ont eu lieu 55 km plus loin. Lundi matin, Damas a déclaré que quatre avions de combat de la coalition occidentale avaient largué 9 bombes sur un camp de l’armée syrienne dans la province de Deir Ezzor. Le ministère syrien des Affaires étrangères a précisé qu’il condamnait sans réserve «l'agression de la coalition qui contrevenait aux buts et principes de la Charte de l'ONU en violant l’espace aérien de la Syrie» et qu'il enverrait une note de protestation contre la coalition occidentale au Conseil de sécurité. C'est la première fois que des avions de la coalition auraient bombardé les troupes syriennes. Toutefois, la coalition occidentale sous commandement américain nie toute culpabilité.

Syrie - En première ligne face à Daech A 40 kilomètres à l’est de Homs, ces soldats représentent l’ultime barrage contre les fous d’Allah. Depuis la prise de Palmyre, le 21 mai, Daech a conquis de nouveaux territoires, dont des champs de pétrole et des mines de phosphate, et occupe aujourd’hui la moitié de la Syrie. Partout, le « califat » autoproclamé instaure la peur et la surveillance généralisée. Alors, à son approche, les habitants s’enfuient. Le nord du pays, lui, est tenu par les islamistes d’Al-Nosra, filiale d’Al-Qaïda. A la sortie de Damas, le minibus n’a pas pris le chemin le plus court. Le régime de Bachar el-Assad semble fragilisé dans le Nord, mais il contrôle mieux son territoire Paradoxalement, à l’endroit où nous sommes, la situation était bien pire il y a un an. Une pancarte indique l’entrée sud de Homs. On reprend la route, vers l’est cette fois, en direction de Palmyre. La route de Palmyre s'ouvre devant nous. Soudain, le minibus bifurque à droite pour prendre le chemin d’une caserne de l’armée.

Washington menace la Russie d'une confrontation à propos de la Syrie L’administration Obama intensifie les tensions avec Moscou, en alléguant sans preuves que la Russie renforce son soutien militaire au gouvernement syrien du président Bachar al-Assad. Toute présence russe élargie sur le sol syrien pourrait conduire à une « confrontation » avec la coalition menée par Washington, qui bombarde actuellement la Syrie, prétendument pour contrer l’Etat islamique (EI), a dit le secrétaire d’Etat américain John Kerry dans un appel téléphonique à son homologue russe, Sergueï Lavrov, ce week-end. Le porte-parole de la Maison Blanche, Josh Earnest,a répété mardi la menace extraordinaire de Kerry d’un conflit armé entre les deux plus grandes puissances nucléaires du monde. « Ces mesures pourraient conduire à une plus grande perte de vie, accroître le flux de réfugiés et risquer une confrontation avec la coalition contre l’Etat islamique qui opère à l’intérieur de la Syrie », a-t-il dit. Ces menaces sont assorties de nouvelles provocations.

Sauver Palmyre ? Les politiques ont dit non Les premières photos de Palmyre occupée par l’État Islamique circulent : des cadavres décapités alignés sur une route, non loin du site plurimillénaire rappelant la richesse civilisationnelle de la Syrie qui continue à subir les foudres de cette monstrueuse armée démoniaque.Mercredi 20 mai, le père Mourad, supérieur du monastère Mar Elian situé à une centaine de kilomètres, apprend la chute de Palmyre comme nous tous. Il écrit alors : Les extrémistes qui s’appellent « Daesh » approchent de notre ville de Qaryatayn après leur domination de Palmyre où ils ont tué beaucoup des gens en coupant les têtes…C’est terrible ce que nous vivons… Aujourd’hui nous sommes là, demain on ne sait pas… La vie devient compliquée… priez pour nous S.V.P. Le lendemain matin, des hommes cagoulés se revendiquant de l’État Islamique l’enlevaient avec un autre chrétien. Comme prêtre et pasteur, je ne quitterai jamais le lieu tant qu’il y a des gens, sauf si l’on me chasse. Qui a enlevé le père Mourad précisément ?

Intelligence artificielle : Hawking, Musk et Chomsky réclament l’interdiction des armes autonomes Plus d’un millier de personnes, parmi lesquelles de nombreux chercheurs en intelligence artificielle, ont signé un appel pour faire interdire les armes autonomes. Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Morgane Tual C’est une nouvelle charge portée contre les dangers potentiels de l’intelligence artificielle (IA). Dans une lettre ouverte publiée lundi 27 juillet, plus d’un millier de personnalités, dont une majorité de chercheurs en IA et en robotique, ont réclamé l’interdiction des armes autonomes, capables « de sélectionner et de combattre des cibles sans intervention humaine ». Parmi les signataires, on retrouve Elon Musk, le célèbre PDG du constructeur de voitures électriques Tesla et de SpaceX, et l’astrophysicien britannique Stephen Hawking, qui avaient déjà fait part publiquement de leurs inquiétudes concernant l’IA. « Une course à l’armement » L’IA pourrait en pâtir Mais ce texte ne se veut pas une charge contre l’intelligence artificielle.

13h15 le dimanche. Syrie : vivre à Damas - France 2 - 13 décembre 2015 - En replay Après cinq ans de guerre et la rupture en 2012 des relations diplomatiques entre Paris et le gouvernement syrien de Bachar Al-Assad, le lycée français Charles-de-Gaulle de Damas ne compte désormais plus que 200 élèves au lieu de 800 en 2011. Il est le dernier vestige de la francophonie en Syrie, même si la France ne le finance plus. Dans un français parfait, des Syriens qui le fréquentent chaque jour, malgré la menace d'éventuels obus, ont accepté de parler du sens de la vie, de la peur de la mort, de Daech... Le magazine "13h15 le dimanche" (Facebook, Twitter, #13h15) diffusé sur France 2 a rencontré quelques-uns des élèves de cette prestigieuse institution qui tentent de vivre malgré tout, en rêvant que la guerre s'arrête. Edouard Mounier, Oktay Sengul et Anthony Santoro ont également recueilli le témoignage de Khaled, Franco-Syrien de 17 ans.

Revivez l’interview de Bachar Al-Assad au journal de 20 heures de France 2 Retrouvez ici l'intégralité de notre live #SYRIE 21h39 : Dans cette interview, Bachar Al-Assad se paie le luxe de tacler François Hollande en évoquant ses mauvais sondages : "Les sondages en France montrent bien le message que Hollande devrait écouter davantage. A savoir qu'il est le président le plus impopulaire depuis les années 50. 21h34 : Comme promis par David Pujadas sur France 2, voici la version intégrale de l'interview accordée par le président syrien Bachar Al-Assad, longue de 24 minutes. 21h03 : C'est un vrai scandale, interviewer un criminel de guerre. 21h03 : L'entretien diffusé ce soir est mené sans concessions et d'un ton direct, bravo a vous M. 21h02 : Je suis étonnée et agréablement surprise par les questions posées par David Pujadas, elles sont directes et sans langue de bois, mais je suis aussi consternée par les réponses de Bachar El Assad, tellement démagogiques! 20h59 : Vous êtes nombreux à réagir à l'interview exclusive accordée à France 2 par Bachar Al-Assad.

Genauere Angaben über französische Terroristenliste in Syrien In einem Interview mit der Zeitschrift Valeurs actuelles sagte der ehemalige Direktor der französischen Spionageabwehr (DST, DCRI) Bernard Squarcini, von Syrien kontaktiert worden zu sein, um der französischen Regierung im Jahr 2012 eine Liste von in Syrien tätigen französischen Terroristen vorzuschlagen, im Austausch für eine Normalisierung der Beziehungen zwischen den Geheimdiensten. Der seinerzeitige Innenminister Manuel Valls hätte sich aus ideologischen Gründen geweigert [1]. Die meisten Kommentatoren weisen darauf hin, dass, wenn diese Angaben korrekt sind und dieser Vorschlag von der französischen Regierung angenommen worden wäre, die Attentate des 13. November 2015 in Paris wahrscheinlich vermieden hätten werden können. Der Parlaments-Abgeordnete Olivier Marleix (ehemaliger Berater von Präsident Nicolas Sarkozy, als Bernard Squarcini Leiter der Spionageabwehr war) plädiert daher für die Erstellung eines parlamentarischen Ausschusses zur Aufklärung dieser Vorwürfe [2].

Libérer le monde des armes nucléaires À jamais gravé dans la conscience et la mémoire de l’humanité, le 6 août 1945 ouvrait l’ère de l’équilibre de la terreur avec l’utilisation pour la première fois de la bombe atomique sur des populations civiles. Elle fut accompagnée d’une justification idéologique, aujourd’hui largement contestée, selon laquelle cette déflagration aurait assuré la victoire. Celle-ci était en fait déjà acquise. Des centaines de milliers de vies humaines auraient donc pu être préservées ! Soixante-dix ans après, les cicatrices sont encore présentes dans les rues et brûlantes pour nombre d’entre elles dans les hôpitaux et les souvenirs. Depuis soixante-dix ans, aucun progrès important n’a été réalisé vers leur interdiction et leur démantèlement. Si le traité de non-prolifération nucléaire a constitué un pas positif avec l’inscription d’une négociation pour un désarmement général, force est de constater que les actes ne suivent pas.

Le Qatar et l'Ukraine viennent de fournir des Pechora-2D à Daesh, par Andrey Fomin Puisque l’émir Tamim ben Hamad Al Thani et son ami le président François Hollande vous disent qu’ils luttent contre Daesh, vous n’avez rien à craindre. Le fait que l’infrastructure de Daesh en Syrie et en Irak est vulnérable aux frappes aériennes est indubitable. Au cours de la dernière semaine seulement, les Forces aériennes et la marine russes ont bombardé 826 installations de Daesh (camps d’entrainement, dépôts de munitions, fabriques d’explosifs, raffineries de pétrole et moyens de transport) causant des dommages critiques à l’organisation terroriste et à ses sources de revenus. Les sponsors de Daesh cherchent donc à acquérir et à offrir aux djihadistes des systèmes de défense aérienne suffisamment efficaces pour au moins entraver les activités de la Russie dans le ciel syrien. Lettre de Pavlo Barbul, directeur de l’entreprise ukrainienne SpetsTechnoExport, avec la liste des membres de la délégation du Qatar à Security Expo. « Merci pour le Maroc et les contacts saoudiens. Pechora 2D

"Si la Turquie ferme sa frontière, Daech s’écroule" International Taxes, rançons, ventes d’œuvres d’art,… : l’Etat islamique se finance de plusieurs manières. Mais ses revenus les plus réguliers restent ceux de la vente du pétrole que Daech extrait sur les territoires conquis en Irak et en Syrie. "Si on veut mettre fin à Daech, il faut frapper ses installations pétrolières", dit Pierre Terzian, directeur de Pétrostratégies, qui dénonce une "complicité" turque avec les djihadistes. 1. Que gagne Daech avec le pétrole ? 2. 3. 4. 5.

Related: