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Culture Pub / Enquête sur le greenwashing / 22 décembre 2008

Culture Pub / Enquête sur le greenwashing / 22 décembre 2008
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Castorama et la nature en ville : un bel exemple de greenwashing - Sircome.fr L’enseigne de décoration et de bricolage s’affiche depuis quelques jours sur les réseaux sociaux comme une marque engagée en faveur de la nature en ville. Mais nous n’avons aucun détail sur la stratégie de la marque et sur les actions effectivement mises en place. Bref, un bel exemple de greenwashing. C’est Céline Réveillac qui a repéré ce cas d’école. Voici son analyse. La marque annonce sur son compte YouTube, en descriptif de la vidéo : « Chez Castorama, nous voulons libérer, encourager et faire grandir votre envie de nature pour mieux vivre ensemble. Mais cette vidéo a été postée le 2 mai (bien après l’opération) et le site web n’en parle absolument pas. Cette campagne me fait penser à celle de la marque Kickers « Venez greenioter votre ville », en 2012.

Comment sauver une démarche RSE ? En luttant contre le greenwhashing ! Novethic : La Fabrique écologique vient de publier une note "Comment dépasser le greenwashing ?". Le sujet n’est pas nouveau ; pourquoi maintenant ? Alexandre Pasche : Le greenwashing recule dans ses formes les plus visibles. Aujourd’hui, il est rare de voir les entreprises communiquer sur des mensonges caractérisés. L’internet 2.0, avec les réseaux sociaux, a libéré la parole et implique une communication responsable de la part des marques. Le greenwashing, cela peut mettre à mal tous les efforts, parfois réels, d’une entreprise en matière d’environnement et de RSE. Réformer la régulation de la publicité Comment lutter efficacement ? Il faut d’abord faire valider par un tiers de confiance les arguments écologiques avancés par les entreprises. Il faut aussi réformer l’ARPP. Des Khmers verts Vous prêchez pour votre paroisse… Mais comment les acteurs du secteur reçoivent votre recommandation de renforcer la réglementation ? En théorie, oui.

Le meilleur du street marketing en 220 exemples ! Guerilla marketing Partagez-moi ! Le Street Marketing, également appelé Guerilla Marketing, est une tendance publicitaire née au début des années 2000, consistant à faire sortir la publicité de son cadre traditionnel, afin d’interpeller les passants et de créer un capital sympathie. Le Street Marketing ne se restreint pas à la rue, comme vous le verrez tout au long de cet article. Tous les lieux publics (Metro, bus, toilettes, parcs, aéroports…) sont susceptibles d’être utilisés, en faisant preuve d’un peu d’imagination ! Au sommaire : 1. zhangbei fitness Fitness company Sweetex silberman’s fitness center Rona, un parfait exemple d’ambush marketing (profiter d’un évènement externe pour faire sa publicité) Pepsi lance une pique à Coca ! The Economist Eskom Denver Water Super Glue 3 Penline tape Tefal Bloom Floralp Cadbury Nestlé Macdonald’s Mars Regency Bubble gum Starbuck’s Coffee Formula Calvin Klein Wonderbra Pond’s Veet Bic Supermax Naval museum of Alberta Nike Adidas Mammoth Quicksilver YMCA Basket Sony PSP Alan Wake Miele Jackass 3D Ikea

Les 10 pubs reines du Greenwashing... Rédigé par Consoglobe, le 24 Feb 2010, à 15 h 03 min Crée il y a un peu plus d’un an, l’Observatoire Indépendant de la Publicité a rendu publique son "Top 10" des publicités qui ont utilisé de façon abusive l’argument écologique en 2009. Un greenwashing qui, selon ce classement, concerne particulièrement les marques de voiture et de lessive pas aussi "vertes" qu’on pourrait le croire. consoGlobe a passé en revue ce nouveau palmarès. Selon le bilan 2009 de l’ARPP*, le nombre de messages publicitaires à caractère environnemental a plus que quintuplé en 3 ans, concernant près de 6 % des visuels pubs diffusés. *Bilan 2009 – Publicité et Environnement – réalisé par l’ADEME et par l’ARPP (septembre 2009). consoGlobe vous recommande aussi...

Green washing Les prix Pinocchio du Green Washing 2013 : RSE Green washing / Info RSE / ArianeSud Formation - Conseil - Coaching - Ariane Sud Entreprendre ronie bouchon <ronie.bouchonSPAMFILTER@neuf.fr> mercredi 16 octobre 2013 Le prix Pinocchio du développement durable est un anti-prix a pour but de dénoncer certaines entreprises françaises communiquant largement sur le concept du développement durable alors qu'elles ne se soucient pas en réalité des conséquences environnementales et sociétales néfastes de leurs activités1 Le prix Pinocchio du développement durable est prix organisé chaque année depuis 2008, par l'association écologiste Les Amis de la Terre. Cet anti-prix a pour but de dénoncer certaines entreprises françaises communiquant largement sur le concept du développement durable alors qu'elles ne se soucient pas en réalité des conséquences environnementales et sociétales néfastes de leurs activités1. un prix Pinocchio "Droits humains", appelé "Une pour tous, tout pour moi !" Pour en savoir plus Pour vous rendre sur le site Les Amis de la Terre et VOTER

Les 6 Techniques les Plus Communes du Greenwashing – RSE-Pro Vous en avez marre de voir une publicité vanter les mérites écologiques d’un produit que vous savez polluant ? Automobile, téléphonie, mais plus généralement les domaines de grande consommation usent et abusent du greenwashing. Voici les 6 techniques les plus communes du Greenwashing utilisées par les services marketing / communication. Définition du Greenwashing : technique qui consiste à tromper le consommateur en vantant les vertus écologiques d’un produit qui n’est, en réalité, pas si écologique. La définition de Wikipédia apporte plus de précisions : procédé de marketing utilisé par une organisation (entreprise, gouvernement, etc) dans le but de donner à l’opinion publique une image écologique responsable, alors que plus d’argent a été investi en publicité « verte » (la couleur verte symbolisant ici l’écologie) que pour de réelles actions en faveur de l’environnement. Vous l’avez compris, le greenwashing se résume au « mensonge » quant aux qualités écologiques d’un produit.

Greenwashing : exemples de publicité à la stratégie verte ! Afin d’illustrer toutes ces définitions et sujets qui peuvent parfois paraitre abstraits ou peu courants, voici quelques exemples de publicité répondant au terme de greenwashing, sorte de marketing vert : Voici une publicité pour une voiture de marque Lexus. Celle-ci se veut écologique. Malgré son moteur hybride, ses émissions de CO2 sont quelque peu élevées (186g/km). Ceci vous coûtera donc 750 € de malus écologique, car ce véhicule se classe dans la catégorie (E-). Autre exemple, la publicité de Peugeot pour sa 206. Total possède une centrale éolienne à Mardyck (à proximité de la raffinerie des Flandres, située à Dunkerque, en France). Pas de quoi en faire une publicité aussi importante ! Cette publicité-ci est un exemple flagrant de greenwashing : De plus, l’affiche publicitaire montre un tétrodon ou poisson-coffre qui ne vit que dans des zones tropicales en bas fonds coralliens. Attention aux publicités vantant l’aspect écologique d’un produit ou service.

Le Flop 10 des pubs pseudo-écolos L'Observatoire indépendant de la publicité (OIP) créé en février 2009 publie un premier bilan annuel du greenwashing ("blanchiment écologique" ou "désinformation disséminée par une organisation pour présenter publiquement une image de responsabilité environnementale", selon l'OIP). Un bilan sous forme de Flop 10 de la pub en France, classement établi à partir des notes attribuées par les membres de l'OIP et de celles des internautes (détaillé ici sur le site de l'OIP). Cet organisme composé de membres d'associations écologistes (notamment du WWF-France), d'associations de consommateurs et de personnalités dans le domaine de l'environnement, de la communication et de la publicité souhaite ainsi promouvoir une publicité "plus responsable". Découvrez ci-desssous, de la première place (pire pub de l'année) à la dixième, les campagnes épinglées, les arguments de l'OIP et les réactions des annonceurs que LEXPRESS.fr a contactés. Flop 1: Total (agence Harisson & Wolf) Flop 2: Le Chat (agence DDB)

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