À Propos De Ce Site...
Quelques chiffres... Le site est en ligne depuis début 1998! A ce jour, le site affiche un total de 84 explorations urbaines documentées illustrées d'environ 2100 photos prises sur 4 continents, réparties de la manière suivante: - nous avons exploré 22 usines abandonnées, - nous sommes rentrés dans 17 hôpitaux ou asiles oubliés, - nous avons découvert 20 autres bâtiments désaffectés (châteaux, églises, théâtres - nous avons escaladé les toits de 5 bâtiments, - nous avons rampé dans 10 labyrinthes souterrains, - nous avons exploré 5 bâtiments ferroviaires, - nous avons précautionneusement documenté 5 anciens sites militaires. Mais gardez en tête que plus de 250 lieux sont en cours de mise à jour, et que le site n'en montre qu'une petite partie seulement! Depuis le 1er Janvier 2006, il y a eu 4,752,713 visiteurs différents sur ce site, et environ 32928 ce mois-ci. J'espère sincèrement que la visite vous a plus au moins autant que j'ai pu avoir de plaisir à explorer tous ces lieux! ...
The Seven Myths of “Slums” | Dissident Voice-Mozilla Firefox
by Adam W. Parsons / December 10th, 2010 For anyone who takes an interest in the problem of slums, a few basic facts will soon become clear. Firstly, the locus of global poverty is moving from rural areas to the cities, and more than half the world population now lives in urban areas for the first time in human history. Secondly, most of the world’s urban population, most of its largest cities and most of its urban poverty is now located in Africa, Asia and Latin America – the so-called developing world. Thirdly, the growth in slums since the 1980s is both formidable and unprecedented (even though urban slums have existed in Europe since the Industrial Revolution), and the number of slum-dwellers worldwide is expected to continually increase in the decades ahead. Beyond these facts, there seems to be little awareness about the reality of slums in the popular imagination. Myth 1: There are too many people Myth 2: The poor are to blame Myth 4: Slums are an inevitable stage of development
Une galerie Street Art dans le ventre de New York
Pendant deux ans, 102 artistes sont venus graffer clandestinement sur les murs d'une station de métro abandonnée dans les sous-sols de Brooklyn, New York. Retour sur un projet qui n'a pas fini de faire parler de lui. Revok, Ceaze, photo par Luna Park © Tous les liens de cet article sont en anglais, sauf mention contraire Entre 2009 et 2010, un bataillon d’artistes, 102 en tout, descend dans le ventre de New York et transforme une station de métro abandonnée en galerie d’art, sous la direction de deux de leurs pairs, Workhorse et PAC. Nous sommes dans une époque où l’on oublie les sources de la passion des artistes,” nous raconte Samantha Longhi de Graffiti Art Magazine [fr]. Difficile d’en savoir plus sur ce projet hors du commun, les participants ne souhaitant pas s’exprimer sur le sujet ou étant tout simplement injoignables. Trustocrop, photo par Vandalog cc Un exploit qui peut leur coûter très cher, le graffiti étant considéré comme un crime aux États-Unis.
Sandu´ao-Mozilla Firefox
construcciones Sandu´ao es una población que se encuentra en el distrito de Jiaocheng, Ningde, provincia de Fujian, China. Se trata del asentamiento flotante más grande de China y una de las ciudades más singulares del país. Sandu´ao es una población de carácter marinero, en la que el principal recurso lo proporciona el mar, mediante los criaderos de pescado que conforman la retícula “urbanística” de este asentamiento. La estructura del pueblo se dispone sobre un puerto natural, ocupando una superficie de 714km2 en 73km de costa. Se asienta sobre 5 islotes de apoyo y una península. Cada vivienda cuenta con un ligero barco de madera o de fibra de vidrio para moverse por la ciudad y pescar. La ciudad de Sandu´ao tiene aproximadamente 1000 años de antigüedad, y comenzó su gran expansión durante la dinastía Tang en 1649, administrando los nueva puertos de las cercanías y como punto fundamental de suministro. por Jack Parkinson Pics
Miru Kim: la ville, nue
Miru Kim s’est photographiée nue au sommet de la tour Saint Jacques, dans les égouts de New York et les citernes d’Istanbul. Elle en ramène des images de fin du monde, étrangement romantiques. Comment avez-vous conçu votre série “Naked City Spleen” ? J’ai travaillé sur cette série pendant cinq ans. Puis j’ai décidé d’insérer une figure humaine dans mes images, un élément vivant. Le nu donne une dimension universelle, atemporelle aux photos, la pose est souvent presque animale. Comment explorez-vous ces lieux ? J’ai commencé à explorer pour échapper à l’espèce de dépression qui accompagne la vie en ville, la solitude. Dans les tunnels, vous ne voyez pas la lumière du jour, vous pouvez y passer dix heures de rang et c’est seulement quand vous sortez que vous vous rendez compte à quel point vous êtes épuisé. A quel point recherchez-vous le danger ? Si vous n’êtes pas prudent, si vous tombez à travers un sol pourri par exemple, il n’y a personne pour vous venir en aide.
"Le Monde Magazine" : Mayas, autodestruction d'une civilisation
Des pyramides gigantesques perdues dans la forêt pluviale ; des temples oubliés envahis par la végétation ; d'imposants blocs de calcaire renversés par les racines d'arbres centenaires. Les images d'Epinal de cités majestueuses reprises par la jungle et la nature sauvage en ont fait l'une des plus captivantes énigmes archéologiques. Pourquoi, vers 850 de notre ère, la civilisation maya classique a-t-elle sombré ? Il faudra cependant plus d'un colloque pour trancher ces questions. Chaque cité semble avoir vécu une agonie particulière. Pour Richard Hansen (université de l'Idaho), "un effondrement est toujours causé par plusieurs facteurs". Comment une ville se vide-t-elle ? Un édifice de prestige – une pyramide quasi verticale d'une quinzaine de mètres de hauteur – surplombe ce complexe. "Cela signifie deux choses, explique Philippe Nondédéo. Ce n'est pas le seul élément indiquant la prospérité de la cité jusque tard dans son histoire. S'agit-il du souverain ? Stéphane Foucart