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Culture libre

Culture libre
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La culture libre est un mouvement social qui promeut la liberté de distribuer et de modifier des œuvres de l'esprit sous la forme d'œuvres libres[1] par l'utilisation d'internet ou d'autres formes de médias. Le mouvement de la culture libre puise sa philosophie de celle du logiciel libre en l'appliquant à la culture, dans des domaines aussi variés que l'art, l'éducation, la science, etc[2]. Les mécanismes juridiques des licences libres attachées à la culture sont également inspirés du logiciel libre ; l'utilisation des licences art libre ou Creative Commons a ainsi permis l'émergence de la musique libre et de l'art libre. La culture libre défend notamment l'idée que les droits d'auteurs ne doivent pas porter atteinte aux libertés fondamentales du public. Histoire[modifier | modifier le code] « Tu dis : “Cette pensée est à moi.” — Henri-Frédéric Amiel, Rien n'est à nous[3] Culture libre et licence libre[modifier | modifier le code]

Université féministe d’été - Colloque interdisciplinaire « Technologies : libération ou exploitation des femmes Lieu: Université Laval, 1030, ave. des Sciences-Humaines, Amphithéâtre 1C, Québec, Québec Date: 19 mai 2013 h (Toute la journée) - 24 mai 2013 h (Toute la journée) Catégorie: Colloque ou congrès Les développements technologiques considérables des dernières décennies influencent profondément les représentations de soi et du monde, les conditions de vie et le changement social. D’où le titre de notre 11e édition : TECHNOLOGIES : LIBÉRATION OU EXPLOITATION DES FEMMES? Du 19 au 24 mai 2013, l’Université féministe d’été vous convie à une semaine intensive d’échanges et de ressourcement, en compagnie de féministes oeuvrant dans différents domaines et disciplines. Le programme est en conçu de telle manière que, dans chacune des séances, une heure complète est réservée aux questions et aux échanges entre la salle et les conférencières et conférenciers. L’Université féministe d’été est ouverte, sans préalable, à toute personne intéressée. Téléphone : (418) 656-2131 poste 8930 -> Consultez le programme

Remix (book) 2008 book by Lawrence Lessig Lessig outlines two cultures - the read-only culture (RO) and the read/write culture (RW). The RO culture is the culture we consume more or less passively. The information or product is provided to us by a 'professional' source, the content industry, that possesses an authority on that particular product/information. Analog technologies inherently supported RO culture's business model of production and distribution and limited the role of the consumer to just that, 'consuming'. Digital technology, however, does not have the 'natural' constraints of the analog that preceded it. As opposed to RO culture, Read/Write culture has a reciprocal relationship between the producer and the consumer. Lessig posits that digital technologies provide the tools for reviving RW culture and democratizing production. The Internet and Commons The internet is essentially the hub for this type of economy. Free Software Remixing is this software's very nature. Books portal

France - WWOOF World Wide Opportunities on Organic Farms (France) Pour le WWOOFer Comment ça marche ? Les hôtes vous accueillent comme un(e) ami(e), voire même comme quelqu'un de leur famille, c'est à dire que vous êtes nourri et logé à la même enseigne. Attention : aucune des personnes ne doit percevoir d'argent, le but de WWOOF est de s'enrichir en rapports humains, de découvrir et d'apprendre dans une ambiance « écolo » UNIQUEMENT. Cette expérience vous permettra : - de découvrir les techniques de l'agriculture biologique - de connaître des façons de vivre saines, alternatives - d'avoir plus d'informations, de comprendre le mouvement biologique et de participer à son développement - d'offrir aux citadins une expérience de la vie et du fonctionnement des fermes - de visiter la région où vous êtes et de vous intégrer à la vie locale - et surtout de croquer la vie à pleine dents ! +++++ Pour vous accompagner, un guide, indépendant de l'association, rédigé par une ancienne WWOOFeuse est disponible ici Haut de Page Pour l’hôte WWOOF est un échange.

Technologies : libération ou exploitation des femmes ? | OIIQ Les développements technologiques considérables des dernières décennies influencent profondément les représentations de soi et du monde, les conditions de vie et le changement social. Dans l’état actuel des rapports sociaux, les retombées ne sont pas toutes positives et n’affectent pas tout le monde de la même manière. De profondes inégalités sociales existent non seulement dans l’accès aux nouvelles technologies mais aussi dans l’utilisation qui en est faite et dans leur contrôle. Du 19 au 24 mai 2013, l’Université féministe d’été vous convie à une semaine intensive d’échanges et de ressourcement, en compagnie de féministes œuvrant dans différents domaines et disciplines. Le programme est en conçu de telle manière que, dans chacune des séances, une heure complète est réservée aux questions et aux échanges entre la salle et les conférencières et conférenciers. L’Université féministe d’été est ouverte, sans préalable, à toute personne intéressée.

Creative Commons Organization creating copyright licenses for the public release of creative works Creative Commons (CC) is an American non-profit organization and international network devoted to educational access and expanding the range of creative works available for others to build upon legally and to share.[3] The organization has released several copyright licenses, known as Creative Commons licenses, free of charge to the public. These licenses allow authors of creative works to communicate which rights they reserve and which rights they waive for the benefit of recipients or other creators. The organization was founded in 2001 by Lawrence Lessig, Hal Abelson, and Eric Eldred[4] with the support of Center for the Public Domain. In 2002, the Open Content Project, a 1998 precursor project by David A. Purpose and goal[edit] Creative Commons Japan Seminar, Tokyo (2007) Made with Creative Commons, a 2017 book describing the value of CC licenses. Creative Commons network[edit] Japan[edit] South Korea[edit]

Wwoofing : mode d'emploi Besoin de vous évader, d’aller voir ailleurs, de vous rapprocher de la nature… mais avec quel argent ? La solution est toute trouvée grâce au wwoofing : choisissez le pays qui vous plaît, et partez offrir vos services quelques heures par jour dans une ferme bio en échange de quoi vous serez logé et nourri ! Une expérience à tenter de toute urgence. 1. Né dans les années 70 chez les britanniques, le concept du wwoofing, ou « Willing Workers on Organic Farms » s’est propagé au monde entier. La journée-type d’un wwoofer : Début de matinée : petit déjeuner avec la famille ou les autres wwoofers. L’expérience vous tente ? Une exception : Colombie, Croatie, Islande, Kenya, Laos… Près de 50 pays à travers le monde ne possèdent pas d’organisme national et se sont réunis pour créer une association de wwoofing internationale, que vous trouverez ici : www.wwoof.org Un conseil avisé : échangez plusieurs mails avant de vous décider pour une ferme plutôt qu’une autre en demandant des précisions :

L'échange et le don L’échange et le don A la suite de Mauss, des générations d’ethnologues ont opposé, d'un côté, les dons et les échanges dits « cérémoniels » et, de l'autre, les échanges marchands. Les premiers auraient pour but principal de renforcer les liens sociaux ou d'acquérir du prestige, et les seconds viseraient avant tout la possession des biens eux-mêmes. L’ennui, c’est qu’il est impossible, dans les faits, de distinguer clairement ces deux modes de transferts selon leurs fins. Dans l’exemple classique de la Kula, il est clair que le but n’est pas de renforcer les liens sociaux avec les partenaires : Malinowski montre bien que « c'est la chose que l'on veut, pour le prestige qui lui est attaché, pour la renommée que cela procure, parce qu'enfin cela témoignera du succès dans la kula et parce que le succès attire le succès. Quant au prestige, il n’est pas l’apanage des échanges non marchands ou du don. Bref, il faut trouver une autre classification. 1. Qu’est-ce donc que le don ? 2.

Remix culture Remix culture, sometimes read-write culture, is a society that allows and encourages derivative works by combining or editing existing materials to produce a new creative work or product.[2][3] A remix culture would be, by default, permissive of efforts to improve upon, change, integrate, or otherwise remix the work of copyright holders. While a common practice of artists of all domains throughout human history,[4] the growth of exclusive copyright restrictions in the last several decades limits this practice more and more by the legal chilling effect.[5] As reaction Harvard law professor Lawrence Lessig, who considers remixing a desirable concept for human creativity, works since the early 2000s[6][7] on a transfer of the remixing concept into the digital age. Lessig founded the Creative Commons in 2001 which released Licenses as tools to enable remix culture again, as remixing is legally prevented by the default exclusive copyright regime applied currently on intellectual property.

Autonomy: Overview  Autonomy is an individual’s capacity for self-determination or self-governance. Beyond that, it is a much-contested concept that comes up in a number of different arenas. For example, there is the folk concept of autonomy, which usually operates as an inchoate desire for freedom in some area of one’s life, and which may or may not be connected with the agent’s idea of the moral good. This folk concept of autonomy blurs the distinctions that philosophers draw among personal autonomy, moral autonomy, and political autonomy. Moral autonomy, usually traced back to Kant, is the capacity to deliberate and to give oneself the moral law, rather than merely heeding the injunctions of others. Another distinction that can be made is between autonomy as a bare capacity to make decisions and of autonomy as an ideal. There is debate over whether autonomy needs to be representative of a kind of “authentic” or “true” self. Table of Contents 1. a. b. c. d. 2. a. i. ii. iii.

Lawrence Lessig, l'ami des damnés du web Temps de lecture: 17 min À 56 ans, Lawrence Lessig a un CV plus long que le bras (littéralement) et accompli plus que certains ne pourraient le faire en dix vies. Universitaire, constitutionnaliste, figure de proue des défenseurs d'internet, il est une icône geek qui s'attaque aujourd'hui à la corruption et à la défense de réformes pour la démocratie, mais qui a aussi été candidat à la Maison-Blanche... Le documentaire de Flore Vasseur est assez éloigné de celui de Laura Poitras, Citizenfour. Lawrence Lessig estime énormément Snowden. «Avant la conférence, j’ai lu tout ce que pouvais sur les décisions qui l’ont poussé à faire ce qu’il a fait. Lawrence Lessig a demandé en septembre dernier à ce qu'il soit grâcié, en raison de l'utilité publique des informations divulguées. L'assistant progressiste d'un juge conservateur Lawrence Lessig ne s'imaginait pas un tel destin quand il s'est lancé dans une carrière d'universitaire au début des années 1990. Le «Elvis du droit numérique»

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