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Entreprise et Convivialité

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"Responsables du bonheur en entreprise" : faut-il se méfier de ces nouveaux managers apparus aux États-Unis ? Atlantico : Aux Etats-Unis ont été inventés les CHO, "chief happiness officers", responsables du bien-être des employés. La création de ce nouveau poste est motivée par l'idée que des salariés heureux sont des salariés performants. Quel est le rôle de ces employés en charge du bonheur de leur collègue ? Denis Monneuse : Leur rôle derrière la notion de bien-être est surtout de travailler sur l’ambiance et la convivialité entre collègues. Ils s’assurent que l’aménagement de l’espace est agréable, ils organisent des réunions informelles entre collègues, éventuellement des évènements sportifs ou culturels. Xavier Camby : C’est une question de bon sens. N'est-ce pas infantilisant pour les salariés ? Denis Monneuse : Il est vrai que selon la conception américaine, le bonheur est lié au divertissement. Xavier Camby : C’est l’inverse. Si le concept peut paraître séduisant au premier abord, n'est pas finalement très intrusif ?

Le bonheur au travail : on l'attend, et on en souffre - Union europeenne Conditions de travail, amélioration des conditions de travail, santé, conditions de travail travail emploi europe S'abonner au flux rss Recevoir la lettre de Metis Sommaire du mois Edito - France, Europe : mots sur maux - Travail et laïcité : inch'allah ! Dossier : Chômage & indemnisation - Les chômeurs indemnisés ne sont pas ceux que vous croyez... - Infographie : les intermittents en Europe - Politique d'emploi : la Suède se donne les moyens - Assignation au travail : fierté retrouvée ou réalité intermédiaire ? - Droit social et indemnisation du chômage en Europe : toujours moins ? - Allocations de chômage: ça se mérite ? - Infographie : état des lieux de l'indemnisation du chômage en Europe Analyses - " Les syndicats allemands vont bien ! - Management par les valeurs : nouvelle religion d'entreprise ? Notes de lecture - Raconter le travail - Vaincre le chomâge, est-ce vraiment possible ? Actualités - 85 compagnies belges soupconnées de dumping social Vidéo - Le chômage selon La Bajon - Demain, je ne touche plus le chômage Voir tous les Dossiers

Bonheur au travail : trois théories divergentes Recevez les titres du mag Gratuitement dans votre boite mail. Les chercheurs se cassent la tête depuis des années à propos du bonheur au travail. Kanter : le bonheur c’est d’être motivé Rosabeth Moss Kanter, gourou du management, professeur à la Harvard Business School et auteur entre autres de : E-voluez! Kanter identifie les trois facteurs de motivation au sein d’une entreprise : “Mastery”, “Membership” et “Meaning” (maîtrise, appartenance et sens). Rao : le bonheur c’est de se sentir responsable Srikumar Rao, auteur de Happiness at Work (Le bonheur au travail) et autrefois professeur à la Columbia Business School, a un autre point de vue. Leadership IQ : le bonheur c’est de ne rien faire Radicalement différente des deux premières théories, la troisième analyse du bonheur au travail provient du cabinet américain de conseil et de recrutement Leadership IQ. Gratuit : recevez le Digest Hebdo tous les Samedis

5 Simple Office Policies That Make Danish Workers Way More Happy Than Americans You will often see Denmark listed in surveys as the "happiest country on the planet." Interestingly Danes are not only happy at home, they're also happy at work. According to most studies of worker satisfaction among nations, the happiest employees in the world are in Denmark. The U.S.? Not so much. But why are Danish workers so happy compared to their American counterparts? 1: Reasonable working hours I once talked to an American who had gotten a job as a manager at a Danish company. Some non-Danes wonder if Danes ever work. The difference in the U.S. is stark, and many American companies celebrate overwork as a sign of commitment. 2: Low power distance In the U.S., if your boss gives you an order, you pretty much do what you're told. Dutch sociologist Geert Hofstede has quantified the business culture in more than 100 countries on several parameters, one of which is "power distance." This means that Danish employees experience more autonomy and are more empowered at work. The upshot

Danish People Really Do Have The Secret To Happiness: It's In Their DNA People spend their lives trying to figure out the key to happiness, and with many economists attempting to measure well-being, even cities and nations increasingly compete over who has the “happiest” citizens. Now a new study claims to have potentially solved a famous puzzle in social science: Why some nations are always so damn happy. The secret? Denmark consistently tops national happiness rankings, including this year’s United Nations World Happiness report. But the new research, presented in a working paper from two economists at the University of Warwick’s Center for Competitive Advantage in the Global Economy, say there could be another factor at play that no individual, let alone a government, has control over: genetics. They found that the closer a nation’s genetic makeup is to Denmark, the happier the country is. That sounds pretty surprising, and indeed the authors, Eugenio Proto and Andrew Oswald, were quite surprised by their own results. But is there a gene at play?

The dark side of workplace happiness | Guardian Sustainable Business Workplace happiness has become big business. At companies ranging from arty startups like Etsy to corporate behemoths like Bank of America, bosses are using a host of tools, services and consultants to help improve their employees' workplace satisfaction. On the surface, the trend is all upside: as businesses strive to reduce occupational stress and generally to make work more enjoyable, they are reaping rewards in terms of increased productivity, improved recruitment and retention rates, and lower healthcare costs. What could possibly go wrong? Plenty, as it turns out. As civil rights groups like the American Civil Liberties Union and the San Francisco-based Electronic Frontier Foundation, and worker rights groups like the National Workrights Institute have noted for years, the emphasis on workplace happiness could lead to privacy concerns. These arguments have done little to dim corporate enthusiasm about the various surveys and devices that help bosses measure employee happiness.

Bien être au travail - Selfcoaching - Coaching d'entreprise à Paris et formation de coach, coaching de dirigeant, cadre et manager Le bilan interqualia permet, par son innovation, l’alignement des compétences, l’intelligente de la performance économique et le bien être au travail. a théorie du Flow Le flow est un état de confort émotionnel qui déclenche la performance sans susciter d’effort ! Dans cet état bénéfique, compétence et challenge sont réunis pour produire bien-être au travail et performance. En s’appuyant sur la théorie du flow (issue des recherches de Mihaly Csikszentmihalyi), Interqualia® a créé un outil très efficace pour évaluer la situation émotionnelle la plus favorable à la performance d’une personne, ainsi que les compétences non techniques responsables de ses émotions. éroulement du bilan personnel Le bilan interqualia® s’adresse à toute personne qui ressent de la lassitude dans son travail ou qui a le sentiment d’avoir perdu ses repères et qui souhaite réfléchir à son évolution et son bien être au travail : nouvelle fonction, poste, carrière, organisation… Soit un gain de 0,75 points

De la cour de l'école à la machine à café | Emmanuelle Piquet Comment parfois, le harcèlement persiste Des enfants qui partent la boule au ventre sur le chemin de l'école aux employés qui partent la boule au ventre sur celui du travail, il n'y a pas de différence fondamentale. La structure de la relation est la même qui fait que l'un comme l'autre sont pris dans une escalade complémentaire: ils prennent une position de plus en plus basse quand l'autre, celui avec lequel la relation est synonyme de souffrance, prend, lui, une position de plus en plus haute. Popularité dans la cour de l'école, pouvoir dans les couloirs de l'entreprise, tels sont les enjeux de ces interactions répétitives et douloureuses. Croyance fausse mais ancrée dans les deux contextes: je n'ai pas d'impact sur la situation. Car le harcèlement ne cesse pas nécessairement une fois que la dernière sonnerie de la cour du lycée a retenti. Il est donc urgent que nous outillions nos enfants pour qu'ils gagnent en compétences dans ce domaine particulier qu'est la relation

Avoir un hobby rend plus productif au travail Figurants aimant se déguiser en soldats, rockeurs, peintres, écrivains du dimanche, vos violons d'Ingres vous rendent plus productifs... au travail. C'est ce qui ressort d'une étude menée par quatre Américains, professeurs de psychologie -deux d'entre eux enseignent à l'université d'État de San Francisco-, sur le rôle des hobbys sur la productivité, à paraître dans l'édition de septembre du Journal of Occupational and Organizational Psychology et repérée par le quotidien italien Il Sole 24 Ore. La créativité dans un hobby, source de perfectionnisme Pour Kevin Eschelman, professeur assistant de psychologie à l'université d'État de San Francisco et principal auteur de l'enquête faite sur 341 personnes: "En général, plus vous vous engagez dans des activités créatives, plus vous serez bon." Les auteurs de l'enquête ont conduit leurs études sur la relation entre la créativité dans une activité de loisirs, la récupération et les comportements liés à la performance au travail.

Les signes annonciateurs des RPS (Risques PsychoSociaux) (extrait) | Blog de Dominique Deloche Les 3 premiers stades du décrochage Les 3 premiers stades du décrochage ne sont pas spectaculaires pour l’entourage. Pour l’équipe, les collègues, le manager de proximité, la baisse de performance (efficacité) tient à un léger « coup de fatigue », peu important et sans conséquence véritable sur l’activité, le rendu, le livrable de l’activité. Seuls les proches de l’entourage, familial et amical surtout se rendent compte que l’activité professionnelle n’est pas (plus) aussi enrichissante et motivante pour le salarié. Le décrochage surprend le salarié lui-même qui ne sait plus trouver les ressources en lui-même, nécessaires et exigées par son travail. L’origine de ce stade de l’inhibition porte sur une impuissance, une incapacité dans le travail qui vient perturber l’activité professionnelle du salarié. Si personne ne l’aide, sur la durée (quelques semaines ou quelques mois), le nouveau cran du décrochage (deuxième étape – découragement) augmente la pression sur le salarié.

The Surprising Effect of Little Daily Hassles On Your Long-Term Health What’s more likely to kill you: little hassles or major stressful life events? The stress from little daily hassles can kill you just as easily as that from serious life events, finds a new study of its impact on health. The research found that when older men experienced a high level of daily hassles they were at an increased risk of dying early just as if they’d experienced more serious life events, like losing a loved one (Aldwin et al., 2014). Carolyn Aldwin, director of the Center for Healthy Aging Research at Oregon State University, who led the research said: “We’re looking at long-term patterns of stress — if your stress level is chronically high, it could impact your mortality, or if you have a series of stressful life events, that could affect your mortality.” The study looked at both everyday hassles, like work stress or family arguments, along with more devastating events like the loss of a spouse. Aldwin continued: As I’ve said before: Image credit: Stephen Poff

Les Français ne sont jamais contents au travail Les Français sont fidèles à leur réputation de grincheux et se montrent très critiques sur leur environnement de travail, selon une enquête sur le bien-être au travail réalisée Ipsos et Steelcase. Plus de 10.000 personnes, travaillant dans des entreprises de plus de 100 salariés, ont été interrogées dans 14 pays (France, Pays-Bas, Belgique, Allemagne, Grande-Bretagne, États-Unis, Russie, Pologne, Turquie, Inde, Chine, Mexique, Canada et Espagne) pour mesurer la satisfaction et le bien-être au travail. Et il n’y a pas photo : nous sommes vraiment les champions du monde de la critique systématique. Cocorico ! D’après cette étude internationale sur la satisfaction des employés par rapport à l’ambiance et l’environnement de travail, les Français sont incontestablement les plus mécontents. La raison de la colère ? On pourrait se dire que c’est la généralisation de l’open space qui génère autant de colère, mais il n’en est rien. L’open space c’est « laid, froid, impersonnel et stressant »

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