background preloader

Non, le e-commerce n'est pas près de dépasser le commerce physique

La croissance annuelle de la vente en ligne ne cesse de ralentir depuis 2009 et les magasins génèrent toujours 92% du chiffre d'affaires du commerce de détail. Depuis 2004, jamais la croissance annuelle du e-commerce n'avait été aussi basse qu'en 2015 selon l'étude "La transformation digitale de la distribution" de notre partenaire Xerfi. Conséquence : le chiffre d'affaires généré par les ventes en ligne de biens demeure 15 fois moins important que celui du commerce en magasin. 5%. La vente en magasin représente, elle, 92% du chiffre d'affaires total du commerce de détail en 2014, soit 447 milliards d'euros. En 2015, la croissance annuelle en valeur du e-commerce s'est ainsi élevée à 10%, soit 1 point de moins qu'en 2014. Du côté du commerce physique, il n'y a pas non plus forcément de quoi se réjouir. Le e-commerce, même s'il est en perte de vitesse, reste donc malgré tout bien plus dynamique que les magasins traditionnels. Source Related:  DistributionMarketingdistribution

En France, Auchan déchante Longtemps dominant sur l'hypermarché, le groupe nordiste s'est endormi sur ses lauriers et n'a pas vu le modèle se fissurer. Du coup, il doit mettre les bouchées doubles. Son état-major est ébranlé. Auchan traverse une passe difficile dans l'Hexagone : après une année 2014 décevante, son chiffre d’affaires a de nouveau subi une baisse de 2,9 % au premier semestre. Quelle stratégie le groupe a choisi pour se relancer ? Scénario 1 : Plonger dans une guerre des prix agressive, façon Géant ou Leclerc. Scénario 2 : Renforcer l'alliance avec Système U et intégrer ses hypermarchés. Scénario 3 : Rénover les hypers et moderniser les rayons non alimentaires. Il a choisi les scénarios 2 et 3 : Dans la banlieue de Lille, l'hyper Auchan de Villeneuve-d'Ascq tient du monument historique. Au rayon textile, une boutique de costumes sur mesure a poussé en avril, avec prise de mesures dans une cabine bardée de caméras. Il faut dire qu'il y a urgence. VILLENEUVE-D'ASCQ n'est pas un cas isolé. Benoît Berthelot

Etude L'e-commerce en France CCM Benchmark Group Les nouveaux parcours d'achat Quels sont les produits les plus achetés sur Internet et sur mobile ? Quelles sont les intentions d'achat en ligne des internautes ? Quels produits préfèrent-ils acheter en magasin ? Août 2015 | 96 pages 1 490 € HTTarif pour une version numérique. Comment la Fnac a retrouvé une seconde jeunesse L'agressivité des géants de l'e-commerce et la numérisation tous azimuts ont failli tuer le distributeur. Mais il a trouvé la parade... Deux fois par semaine, Catherine Husson monte au front. La directrice du magasin Fnac de la rue de Rennes, à Paris, s'enferme dans son bureau et décroche le téléphone pour rappeler des clients mécontents. COMME DIT LE SLOGAN MAISON, «on ne peut qu'adhérer» ! Alexandre Bompard a considérablement élargi l'offre des magasins : Tous droits réservés - SP Et ça marche. Ce retournement donnera aussi espoir à toutes les entreprises qui doivent s'adapter à la révolution numérique. > Découvrez le bureau d'Alexandre Bompard, le P-DG de la Fnac : (Cliquez sur l'image pour lancer la vidéo) Lorsque Alexandre Bompard a pris les commandes, les rayons phares comme la musique, la vidéo et, dans une moindre mesure, le livre, déclinaient tous. Il faut dire que la Fnac s'est vu administrer un remède de cheval. DEUXIÈME CHANTIER OUVERT par le P-DG : celui de «l'omnicanal».

La Fnac se veut omnicanale "Jouer la complémentarité entre le site e-commerce et le parc de magasins a nécessité de doter notre force de vente d'un outil spécifique, témoigne Ivan Michel, directeur de l'exploitation France à la Fnac. Nous avons donc mis au point Fnacshop, une nouvelle interface informatique qui centralise l'ensemble des informations. Elle délivre des infos sur les produits, mais aussi des conseils sur tout leur écosystème, en soumettant des idées aux vendeurs pour les aiguiller dans une vente complémentaire. L'ensemble de l'offre disponible sur notre site peut également être proposé." Par exemple, un client cherche une référence pointue en littérature et le magasin dans lequel il se trouve ne la détient pas en stock. Si le client choisit la dernière option, le service est vraiment très rapide, puisque la Fnac offre le "click & collect 1 h" (c'est-à-dire le retrait d'une commande en magasin une heure après sa commande en ligne). >> À lire aussi : Magasins et vendeurs : cap sur l'innovation!

Différence entre Sponsoring et Mécénat Accéder à mon compte Flux RSS Abonnez-vous au flux RSS dés maintenant ! Contactez-nous Impression | Retour à la liste des actualités Publiée le 15 janvier 2011 Le mécénat est le don en numéraire ou matériel apporté par une entreprise à un organisme d’intérêt général, sans attendre en retour de contrepartie équivalente. Le mécénat financier (apport d’un montant en numéraire à une structure éligible au mécénat) Le mécénat de compétences (mise à la disposition d’une structure éligible au mécénat, de personnel, à titre gracieux) Le mécénat en produits (consiste à offrir gracieusement des biens inscrits sur le registre des immobilisations, ou de marchandises en compte de stock) Le mécénat technologique (on mobilise la technologie disponible ou utilisée par l’entreprise au bénéfice d’un bénéficiaire d’intérêt général) Le mécénat est considéré fiscalement comme un don. En cela, le mécénat se distingue du sponsoring.

Commerçant: cinq astuces pour mieux vendre Stéphane Plazza a fait connaître le home staging au grand public: l'art de "toiletter" un bien immobilier, en le rendant agréable et "neutre", pour susciter le coup de coeur chez les potentiels acquéreurs. Sur le même modèle, il existe le shop staging pour aider les commerçants à booster leurs ventes : faire en sorte, à travers de subtils ingrédients, que les passants entrent dans le magasin d'abord, et en ressortent après passage en caisse seulement. Les conseils de Bérengère Bouvet, du cabinet Identités Nomades, basés sur les faux-pas les plus fréquemment commis. 1. Allégez votre vitrine Afficher dans sa vitrine le plus de choses possibles, pour montrer l'étendue de son offre. 2. Travaillez l'espace par thème, en délimitant des familles de produits. 3. Il est tendance, de présenter ses produits en hauteur. 4. Un objet sur lequel il y a de la lumière se vend mieux. 5. Tendance "scandinave", "loft industriel", stickers, tatoo, mots écrits sur les murs.

Qui sont les acheteurs de MDD ? [Infographies]MARKETING PGC 9 Français sur 10 achètent des MDD, 56% en achètent même régulièrement. Mais qui sont-ils et quelles sont leurs attentes ? Arcane Research a mené une étude sur le sujet et voici ses principaux enseignements. Logiquement, les acheteurs de MDD fréquentent d’abord des enseignes dont l’offre est large : Leclerc arrive premier (plus de quatre consommateurs de MDD sur 10 fréquentent l’enseigne), suivi de Carrefour (36%), Lidl (25%), Auchan (25%) et Intermarché (22%). La satisfaction sur les MDD Alors que Picard n’atteint même pas un acheteur sur deux de MDD, ceux qui sont clients semblent adorer ses produits. La satisfaction sur les MDD par produit Globalement, 83% des acheteurs de MDD sont satisfaits de ces produits. Les améliorations attendues Sans surprise, la première attente des consommateurs, c’est un prix plus bas (34% d’entre eux). Bonus : le taux de pénétration des MDD par catégorie de produit

Que disent les couleurs de votre logo sur votre marque ? - Etude Marketing Parmi les couleurs les plus utilisées, le noir et le bleu tirent leur épingle du jeu, même si elles ne peuvent pas convenir à tous les secteurs. La tendance du minimaliste reste de mise : 78% des logos récemment créés sont en flat design, style qui exclue les détails superflus (ombres, dégradés de couleurs,...) et 2/3 des logos ont uniquement 2 couleurs, à l'image de ceux de YouTube, Flickr ou Leetchi. 1. 2. 3. 4. 5. Découvrez l'infographie complète : Creads.fr Source photo

Les fabricants se mettent à vendre en direct ! Au cours des 12 derniers mois, plus d'un tiers (35%) des Français ont acheté des produits directement auprès d'un fabricant, d'après le baromètre JDA 2015 sur l'industrie. Un constat qui ne semble pas s'inverser : un tiers (33%) a déclaré acheter davantage de produits directement auprès d'un fabricant qu'il y a cinq ans. Et si tout n'est pas rose côté expérience client (absence d'options de livraison ou de retrait adaptés à leurs besoins), ils sont pourtant 48% à déclarer que leur expérience d'achat a été meilleure qu'avec un non-fabricant ! L'enquête a également mis en évidence que parmi les adultes qui avaient acheté des produits directement auprès d'un fabricant au cours des 12 derniers mois, 72% avaient effectué cet achat en magasin et 47% en ligne. " L'énorme boom du commerce omnicanal impacte maintenant également les fabricants. Pourquoi acheter en direct ? La personnalisation Tous les chiffres, sauf indication contraire, sont issus de YouGov Plc.

Nouvelle tendance dans la grande distribution : limiter le choix dans les rayons (mais dans votre intérêt ou dans le sien ?) Atlantico : David Lewis le PDG de Tesco a décidé de limiter le nombre de produits en rayon dans ses supermarchés. Limiter le choix dans les rayons serait-il une stratégie marketing qui pourrait se révéler payante alors que l'abondance de choix semble être la stratégie la plus naturelle ? Christophe Benavent : Je ne suis pas sur que ce soit une stratégie marketing, mais plutôt logistique : la réduction de coût obtenu en passant de 90 000 références à 60000 références, signifie de se concentrer sur les produits à forte rotation dans les rayons, à réduire les coûts de stockage, de commande quitte à perdre un peu d'attractivité auprès de clients qui ont des demandes spécifiques. Accessoirement, c'est aussi simplifier le choix des consommateurs. Comment fonctionne psychologiquement le consommateur lorsqu'il fait son choix ? Choisir demande un effort, il faut comparer et délibérer, il faut des ressources cognitives importantes.

9 Méthodes efficaces pour fixer le prix de vos produits La stratégie de prix est une dimension importante qui doit être considérée sérieusement par toutes les entreprises souhaitant optimiser leurs revenus.Pour cela, diverses méthodes de pricing peuvent être utilisées pour trouver le juste prix d'un produit. Voyons ensemble ces différentes manières de fixer les prix de vos produits. La fixation des prix à partir de vos dépenses Cela consiste à considérer que :Prix de vente = coût de revient + marge Par exemple : si pour une machine à laver, le coût de production unitaire et de 200 euros, le coût de distribution de 50 euros et on veut réaliser une marge de 50 euros. Par exemple : pour la production de sèches cheveux, les coûts fixes sont de 75 000 euros et vous voulez atteindre une marge bénéficiaire de 40%. Value pricing : la fixation des prix à partir de la demandeL'élasticité de la demande des clients par rapport au prix se mesure à l'aide d'un coefficient qui se calcule en faisant :% de variation de la demande / % de variation du prix.

Commerce - La grande distribution se recentre sur les produits alimentaires Imprimer la page Annie Massicot et Luis Cases, division Indicateurs conjoncturels d'activité, Insee Résumé De 1997 à 2008, le chiffre d’affaires du secteur des grandes surfaces alimentaires n’a cessé de progresser. Sommaire Publication Le chiffre d’affaires se redresse en 2010-2013, mais recule en 2014 Le secteur des grandes surfaces alimentaires (unités légales gérant des supermarchés, des hypermarchés et des magasins multicommerces) a subi comme l’ensemble de l’économie l’effet de la crise de 2008-2009 (figure 1). De 1997 à 2008, son chiffre d’affaires augmente de 47 %, soit un rythme de l’ordre de + 3,6 % en moyenne par an. Haut de page La part des ventes en produits alimentaires se renforce De 1997 à 2005, les ventes en produits alimentaires et non alimentaires (hors carburants) en magasins ont progressé à peu près au même rythme (figure 2). Entre 2005 et 2008, les ventes en produits non alimentaires ont été plus vigoureuses. Les ventes en magasins se replient en 2014 Sources Définitions

Decathlon ouvre un magasin sans stock 22500 articles et 0 stock. Repartir d’un magasin les bras chargés de gros sacs blancs floqués de bleu, c’est de l’histoire ancienne : Decathlon a ouvert un point de vente dans lequel les consommateurs sont invités à commander en ligne. Située à Englos dans le département du Nord, la boutique de 1200m2 accueille les visiteurs pour visualiser, toucher, essayer… mais pas acheter les produits. Smartphone en main, les clients évoluent dans les rayons du magasin et scannent à l’aide de l’application dédiée les articles qui les intéressent parmi les 22 500 références disponibles. L’absence de stock en boutique permet avant tout de pratiquer des prix plus bas, inférieurs de 10% aux tarifs en vigueur dans les différents points de vente. Quant au retrait des articles, il se fait par livraison à domicile ou en magasin sous 48 heures. Photos : Thomas Lo Presti, La Voix du Nord

La connaissance client, clé d'une relation plus profitable Dans un environnement digitalisé où le consommateur a pris le pouvoir, un bon marketing produit n'est plus suffisant pour acquérir et engager ses cibles. Il s'agit désormais de converser avec chaque client pour lui proposer une expérience unique et cohérente sur tous les points de contact. Dans ce contexte, la connaissance client devient un facteur clé de différenciation. Mieux connaître son client, mieux le comprendre, c'est être capable de l'intéresser avec le bon message, au bon moment et sur le bon canal. C'est finalement alimenter un dialogue de qualité pour poser les bases d'une relation pérenne et profitable. Avec l'explosion des données disponibles (90 % des données existantes dans le monde ont été créées ces deux dernières années), cette quête de connaissance client devient un parcours complexe. Pour aller plus loin, téléchargez le livre blanc Les 10 commandements de la Connaissance Client

Related: