background preloader

Comment engager les salariés de l'entreprise dans le e-learning ?

Comment engager les salariés de l'entreprise dans le e-learning ?
Se poser la question de l’engagement, signifie qu’on s’applique, avec méthode, à suivre cet engagement régulièrement, à travers des chiffres qui reflètent le niveau d’engagement, et à prendre les actions d'améliorations correspondantes. De nombreux chiffres permettent de suivre l’engagement : le plus simple à mettre en place est le NPS, c’est-à-dire le Net Promoter Score. C’est une métrique classique du web qui consiste à demander : « Sur une échelle de 0 à 10, à quel point recommanderiez-vous à vos collaborateurs l’utilisation du e-learning ? ». On considère que ceux qui répondent 9 ou 10 sont des promoteurs, ceux qui répondent en dessous de 6 des insatisfaits. S’il y a 60% de personnes qui sont entre 9 et 10, et 40% en dessous de 6, le NPS sera de 60% - 40% = 20%. Le second point est l’ergonomie. Enfin, ma troisième recommandation est de se pencher sur les chiffres d’usage en définissant des objectifs, et idéalement des funnels de conversion relatifs à ces objectifs. Related:  Pédagogie en face à face et à distance

Pédagogie et technologie : ne pas se tromper de priorité ! On m’a demandé à plusieurs reprises si l’on apprenait mieux avec le numérique. Ma position est assez claire à ce sujet : le numérique ne fait pas mieux apprendre par principe, par contre, il permet de créer des situations d’apprentissages riches, qui elles, permettent de développer des apprentissages en profondeur. Voyons donc quelques éléments de réflexion à ce sujet. 1 – Le syndrome NSD NSD pour No Significant Difference ! En effet, des méta-analyses ont été faites à ce sujet et dans un premier temps, aucune conclusion n’est généralisable : des études montrent que le numérique apporte une plus-value, d’autres montrent que le numérique est contre-productif et d’autres encore n’arrivent pas à conclure sur la pertinence (ou pas) du numérique … 2 – le modèle ICAP (ou CoCAR, dans une traduction libre en français) Une nouvelle méta-analyse menée par Michelene T.H. 3 – Discussion Et vous, qu’en pensez-vous ?

Storytelling : faut-il raconter des histoires en elearning ? Malcolm Knowles, John Keller et d’autres théoriciens de l’apprentissage nous rappellent que les apprenants adultes ont besoin de pertinence pour apprendre. Pour assurer l’efficacité d’un processus d’apprentissage, il est important d’expliquer les concepts sous forme d’histoires auxquelles les apprenants peuvent s’identifier. Car en leur donnant la possibilité d’acquérir des connaissances selon leurs propres schémas mentaux, le réalisme de l’histoire facilite la mémorisation des informations. Le storytelling a le pouvoir de convaincre l’apprenant L’histoire a le pouvoir de convaincre l’apprenant de s’investir dans la formation et, en définitive, d’adopter les comportements désirés. Mais à cet égard, il convient d’être prudent. L’histoire ne doit pas détourner l’attention de l’apprenant des messages clés dont elle est le vecteur, parce qu’elle aurait produit une surcharge cognitive. Éléments fondamentaux du storytelling: Le cadre ou l’intrigue: Où se déroule l’histoire ?

redirect?url= Entreprise libérée, entreprise agile, esprit collaboratif, culture start-up, écosystème, lean start-up, transformation digitale, digital workplace, travail en mode projets : voici les buzzwords de 2016. Derrière ces mots, se cachent des concepts bien précis, reflets d’une certaine conception de l’entreprise; ils annoncent plus globalement une évolution sociétale. Mais ces mots devenus mots­ valises pourraient perdre leur sens et leur impact à force d’être utilisés à toutes les sauces. «Transformation digitale» fait référence dans la bouche de ceux qui l’emploient à des sujets aussi variés que la digitalisation de process, la transformation de la culture d’entreprise, le développement de l’e­-commerce, la présence sur les réseaux sociaux, et même, comme je l’ai entendu récemment, l’e­ticketing, signe que les compréhensions du sujet sont aussi variables que les positions de certains ministres qui twittent contre le gouvernement, avant de le rejoindre. A propos

Newsletter #32 du 15 février 2016 : Les réseaux sociaux en formation Indissociable du modèle 70-20-10, l’utilisation des réseaux sociaux permet de compléter les apprentissages formels par des échanges asynchrones entre pairs. Véritable prolongation pédagogique, le « social learning » est le mode le plus naturel de la transmission du savoir : apprendre avec et grâce aux autres. Social Learning, une vraie nouveauté ? Vous pensez que le social learning vient tout juste de débarquer dans le monde magique de la #formation ? Oh que non ! C’est même la forme initiale de l’#apprentissage. Avec quels outils ? Dès lors, comment composer le puzzle d’un dispositif de formation comportant une dimension sociale ? Comment favoriser le Social Learning ? Si les échanges informels se font sans même s’en rendre compte dans notre quotidien, cela est moins évident lorsque l’on rentre dans un paradigme de distance.

(Re)Penser les espaces physiques d'apprentissage .. Et si nos salles de classe nous permettaient enfin de mieux faire apprendre ? (Re)Penser les espaces physiques d'apprentissage .. L’enseignant se retrouve souvent seul avec ses désirs de perfectionnement de sa pratique pédagogique et confronté à des problématiques multiples : des salles de classe souvent inadaptées à des scénarii de pédagogie active,les contraintes du présentiel (espace, temps, nombre d’étudiants…),les freins liés aux cours à distance (suivi, restaurer une interaction riche pour tous…),des équipements numériques insuffisants (infrastructures et services),peu ou pas d’accompagnement à la transformation des pratiques à l’ère du numérique,une gouvernance peu au fait de la conduite du changement et du support nécessaire. Une mission, à l’initiative de Didier Paquelin (Chargé de mission « commission des usages numériques de la CUEA »), avec le soutien de la FIED et de la Région Aquitaine a été réalisée du 5 au 9 mai 2014. Figure 2 - LearningLab de l'université Laval

Former les formateurs aux nouvelles technologies En tant que dirigeant d’organisme de formation, une question récurrente se pose : comment disposer des meilleurs experts à l’aise simultanément avec leur matière, avec l’art didactique et enfin avec le potentiel des nouvelles technologies ? Il n’y a pas si longtemps, il suffisait d’avoir exercé dans un grand groupe international ou avoir eu des responsabilités pour enfiler une casquette de formateur. Le récit convaincu de ses exploits, conquêtes de marché, résolution de problèmes techniques et juridiques ardus, édifiait l’auditoire, quelques références théoriques, un bon power point et l’affaire était jouée. Le message avait été délivré, la transmission s’était produite. Mais les temps ont changé. Les formateurs occasionnels poursuivent sur ce modèle saupoudrent leur histoire d’un peu plus d’anecdotes pimentées que seul un pro a pu vivre, ils ajoutent un film à leur présentation, crée un jeu de rôle, mais est-ce suffisant ? En fait on est loin du compte. Références

learn-on-line.be Définir ses besoins, choisir une plate-forme ou une solution technologique, créer un forum, former ses stagiaires aux outils, ... Tout cela demande du temps et de la méthode. Sachez que plusieurs solutions s'offrent à vous, présentant chacune des implications non négligeables : 1. Lorsque l'on se lance dans l'eLearning, il est indispensable d'analyser ce qui existe déjà. L'évaluation selon le BIEF Le Label Qualité eLearning de l'Agence wallonne des Télécommunications (AWT) peut également vous donner des pistes quant à la qualité d'un cours. 2. Vous pouvez également décider de confier une partie du travail technique à une société spécialisée en réalisations web. 3. Cette solution est de loin la plus complexe ! On peut d'ailleurs parler de différents niveaux de portage en ligne : Une distinction supplémentaire à ajouter concerne l'articulation entre les séances en présentiel (rencontres entre le formateur et ses stagiaires) et les activités en ligne. Les Incontournables 1. 2. 3. 4.

Comparatif logiciel e-learning - l'intérêt du marché Choisir son logiciel de e-learning grâce au comparatif des progiciels de e-learning bsoco Le e-learning est assurément le secteur montant des solutions informatiques, avec des taux de croissance qui laissent pantois et font rêver les autres secteurs plus matures. Toutefois, il est souvent complexe d'appréhender les subtilités qui font la différence entre un logiciel de rapid learning et un outil auteur, entre un LMS (Learning management système) et une classe virtuelle. La jeunesse de ce marché entraine une abondance de solutions qui visent le même objectif mais avec plus ou moins de réussite, nos tableaux comparatifs de logiciel e-learning vous aideront. Comment choisir un progiciel e-learning ? Tout d'abord, le e-learning peut être synchrone ou asynchrone. Mettre en place une solution e-learning nécessite de choisir des progiciels fiables et performant. Les 10 derniers articles sur les logiciels e-learning 16/02/2016 - Du nouveau dans Le Video Learning ... >> Lire la suite

Les cinq chiffres à retenir du digital learning Le digital est-il une réalité pour les responsables formation des entreprises ? D’après l’étude menée courant 2015 par l’ISTF et e-doceo auprès de 400 structures, la réponse est oui ! Reste que ces professionnels rencontrent encore des difficultés à choisir les dispositifs de formation les plus efficaces pour leurs salariés. Le blended learning adopté par 53 % des entreprises Dans le secteur de la formation, le virage digital s’amorce plus ou moins rapidement, selon la typologie des entreprises. Le présentiel recule de 5 points C’est l’une des conséquences de l’émergence du blended-learning… Le présentiel pur, c’est-à-dire en salle avec un professeur, perd peu à peu du terrain. 2 % des entreprises plébiscitent le MOOC Les MOOC ont beau attirer la curiosité des salariés – plus de 60 % l’ont déjà testé, généralement à titre personnel – ils peinent encore à convaincre les entreprises. Le serious game jugé efficace à 42 % Un taux de complétude de 50 %

Newsletter #40 du 11 avril 2016 : Les outils numériques du formateur À l’heure où le Digital Learning prend ses marques dans le paysage de la formation, il est bon de rappeler qu’en 2015 presque 80 % des formations se faisaient toujours en salle*. La formation 100 % à distance a beaucoup fait rêver, avant de montrer ses limites. On comprend mieux pourquoi le blended-learning (appelé aussi apprentissage mixte), annoncé comme le meilleur des deux mondes, est en bonne voie de démocratisation. Alors quoi de neuf dans les salles ? Et pour les formateurs, comment devenir 2.0 ? * enquête e-Doceo 2015 Des outils pour quoi faire ? Les formateurs ont toujours utilisé des outils pour animer et dynamiser les formations en salle. Sans vouloir transformer la formation en enchaînement hétéroclite d’utilisation d’outils, leur introduction à dose raisonnable permet de consolider les deux piliers d’une formation réussie : l’attention et la mémorisation. Comment intégrer les outils dans ses stratégies pédagogiques ? Quels outils utiliser ?

7 tendances du e-learning en 2016 / Guide Maestro Conseils Les innovations se bousculent en e-learning et il est parfois difficile de suivre la cadence. Guide Maestro a fait pour vous un portrait des 7 tendances à surveiller en 2016 en matière de e-learning. 1. La compilation et l'analyse des données fournies par les utilisateurs vont permettre de personnaliser davantage les parcours de formation, les modes d'apprentissage et le contenu des formations elles-mêmes. Cependant, comme il faut un investissement conséquent pour pouvoir recueillir et traiter toutes ces données ainsi que pour développer les algorithmes permettant d'offrir ces possibilités de personnalisation, ce ne sera pas à la portée de toutes les entreprises ou de tous les organismes de formation. 2. Il s'agit d'utiliser les possibilités offertes par l'environnement et les techniques développées pour les jeux vidéo à des fins de formation. 3. 4. 5. L'enjeu de la reconnaissance des formations offertes en e-learning continu d'être une réalité même si la reconnaissance progresse. 6.

Related: