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Résistance intérieure française

Résistance intérieure française
Alors que Radio Londres est régulièrement et le plus souvent brouillée par les Allemands et toute la presse légale soumise à la censure allemande qui les accuse de « terrorisme », les Résistants ont pour activité première la diffusion d'une presse clandestine abondante et variée : près de 1 200 titres et plus de 10 millions d’exemplaires furent tirés entre 1940 et 1944[2], les trois premiers totalisant 700 000 exemplaires par jour. Le général de Gaulle, chef de la France libre réfugiée à Londres, tisse des liens avec la Résistance intérieure via les réseaux du BCRA ou d'envoyés tels que Jean Moulin, Pierre Brossolette et Jacques Bingen. La création du Conseil national de la Résistance par Jean Moulin, le 27 mai 1943, puis celle des Forces françaises de l'intérieur (FFI) par Jacques Bingen, le 1er février 1944, marquent les jalons essentiels d'un processus d'unification parfois difficile, sous l'égide de Londres puis du gouvernement provisoire d'Alger. au titre des mouvements : Divers

Carte des camps de concentration et d'extermination (Seconde Guerre Mondiale) - BLOG LITTERAIRE Source : BEP Histoire Géographie, Nathan Technique, (Dieudonné, Fugler,...), avril 2002, p.20. Le manuel d'Histoire précise que cette carte "montre les principaux camps ; en réalité, plus d'un millier de sites constituent l'univers concentrationnaire". L'univers concentrationnaire de cette carte des camps en 1942 définit le Grand Reich comme un vaste territoire englobant l'Allemagne, la Pologne, la Bohême-Moravie, l'Autriche et l'Est de la France.Les camps de concentration se situent essentiellement en Allemagne et c'est en Pologne que se situent les camps d'extermination. L'univers concentrationnaire obéit à une gestion très stricte dont témoigne cette répartition géographique.La date de 1942 est intéressante puisque c'est justement en 1942 que va se mettre en place la politique de la "Solution Finale" c'est-à-dire "l'organisation industrielle de la mise à mort des Juifs et des Tziganes d'Europe dans les camps de la mort".

Tristan Corbière & Conlie - Istor Ha Breiz Histoire & Bretagne... Moral jeunes troupes excellentOFF.Qui nous avait levé dans le Mois-noir - Novembre Et parqués comme des troupeauxPour laisser dans la boue, au Mois-plus-noir - Décembre Des peaux de moutons et nos peaux ! Qui nous a lâchés là : vides, sans espérance,Sans un levain de désespoir !Nous entre-regardant, comme cherchant la France ...Comiques, fesant peur à voir ! Soldats tant qu’on voudra ! ... soldat est donc un êtreFait pour perdre le goût du pain ? ...Nous allions mendier ; on nous envoyait paître :Et ... nous paissions à la fin ! S’il vous plait : quelque chose à mettre dans nos bouches ? L’aumône : on nous la fit - Qu’elle leur soit rendueA ces bienheureux uhlans soûls ! On eût dit un radeau de naufragés. - Misère Nous crevions devant l’horizonNos yeux troubles restaient tendus vers une terre ...Un cri nous montait : Trahison ! Trahison ! Oh, qu’elle s’en allait morne, la douce vie ! Il s’assit dans la neige en disant : Ca m’amuseDe jouer mes airs ; laissez moi. Pourquoi ? Ha ! Assez !

Jean Moulin, le camp de Conlie et la Bretagne. Samedi 26 février 2011 6 26 / 02 / Fév / 2011 10:20 Tout le monde a entendu parler de , haute figure et dirigeant de la Résistance, arrêté et torturé par les nazis, mort en 1943 dans le train où ils l'acheminaient vers l'Allemagne. On sait souvent qu'il fut préfet de l'Eure-et-Loir. On sait moins qu'il fut sous-préfet de Châteaulin entre 1930 et 1933 et encore moins que - plutôt non conformiste - il fréquentait alors artistes et poètes, tels Saint-Pol-Roux et , dont il emprunta le prénom comme nom de résistance. C'est avec stupéfaction que je viens de me trouver face à lui et à l'image ci-contre à l'occasion d'une recherche sur le (Sarthe) où, , furent mobilisés - - plusieurs dizaines de milliers de soldats des cinq départements bretons 1 recrutés par Keratry pour arrêter l'avancée prussienne pendant la guerre de 1870.

Camp de Conlie Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le Camp de Conlie, situé dans la région du Mans, est un des onze camps établis par le gouvernement républicain de Gambetta lors de la guerre de 1870 afin de préparer une contre-offensive contre l'occupant. Les Prussiens sont désormais aux portes d'Orléans et la désorganisation est générale. Historique[modifier | modifier le code] Après la défaite de Sedan et l'abdication de Napoléon III, Léon Gambetta, ministre de la Guerre du nouveau gouvernement républicain, décide de former de nouvelles armées et de poursuivre la « guerre à outrance » . Création du camp[modifier | modifier le code] Il fait construire à Conlie, près du Mans, un camp où se fera la formation. Vie au camp[modifier | modifier le code] Les baraquements ne sont pas construits à l’arrivée des mobilisés et des tentes sont établies en urgence. « Est-ce bien un camp ? Kerartry, choqué, informe Gambetta à plusieurs reprises[3]. « Je crois que nous avons été sacrifiés.

Discussion:Camp de Conlie Une page de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Springfield M 1903 ?[modifier | modifier le code] Je me trompe surement mais comment cette armée pouvait être équipée de Springfield alors que ce fusil ne fait sont apparition qu'au début du XXème siècle? Le Springfield M 1903 ne peut bien évidemment pas convenir ici. Pas mieux pour l'instant. 90.25.255.162 (d) 19 septembre 2009 à 20:15 (CEST) "Camp de concentration" ? Doit-on vraiment laisser la comparaison, faite par les nationalistes bretons, entre le camp de Conlie et les camps de concentration ? Absolument, la notion de camp de concentration n'a pas lieu d'être dans l'affaire du camp de Conlie. Projet de fusion entre Armée de Bretagne et Camp de Conlie[modifier | modifier le code | Ajouter un sujet] Contre : Armée de Bretagne peut avoir sa place comme article court (on peut sans inconvénient trancher dans le § Camp de Conlie).

Guerre de 1870 : L’affaire du camp de Conlie (fin) Une armée sans armes… et en sabots. On a déjà beaucoup de mal à imaginer ces 50 000 hommes les mains vides, pour la quasi-totalité, et les voici en sabots ! Oui ! Il ne faut pas oublier que ces gens étaient en majeure partie des ruraux qui se trouvaient fort bien en sabots, dans cette immense boue de Conlie. Alors, pourquoi se chausser autrement, surtout que les souliers qu'on leur avait donnés étaient trop minces, trop étroits, des « souliers de demoiselles », disaient-ils (beaucoup de rappelés, en 1939, ont connu un sort identique). Et ces sabots, ils ne les quittaient plus. Le lendemain, nouvelle dépêche de Gambetta, avec cette phrase assez extraordinaire et qui marque éloquemment l'état d'esprit du ministre : « Je vous conjure d'oublier que vous êtes Breton pour ne vous souvenir que de votre qualité de Français. Une division ? Le général Trinité, l'un des membres de son état-major, découvre 1 400 chassepots à Laval. Gambetta s'obstine Le général de Marivault est très vite convaincu.

1870 - L'Affaire du Camp de Conlie : BREIZH SPIRIT La guerre de 1870 est une guerre peu connue. Sans doute parceque lui succédèrent les deux conflits mondiaux que furent 1914-1918 et 1939-1945. Et finalement, ce conflit qui n'est pas si éloigné que ça, fut porté à la connaissance de la génération actuelle, à un moment ou à un autre. La guerre menée par l'armée impériale fut courte, ponctuée par les désastres de Sedan puis de Metz. Léon Gambetta, ministre de la guerre du nouveau gouvernement, voulut poursuivre une "guerre à outrance" avec le rôle des Mobiles et des mouvements de foule parisiens et des batailles pour essayer de roimpre l'encerclement de la capitale (20 sep.1870 - février 1871). A la chute du 2éme Empire, un Gouvernement provisoire fut constitué : il comprenait plusieurs Bretons, tels que le général Trochu, gouverneur de Paris, le général Le Flô, qui reçoit le portefeuille de la Guerre, Jules Simon, Glais, Bizoin, le comte de Kératry, chargé de la préfecture de police et choisi par Léon Gambetta. « Est-ce bien un camp? Et,

Rennes pendant la guerre de 1870 une ville de garnison d'abord enthousiaste Caserne Kergus, ex hôtel des Gentilshommes réalisé par l'abbé Kergus, située bd de la Liberté, à l'emplacement de l'actuelle cité administrative, détruite lors d'un bombardement en 1943. En 1870, Rennes est une importante ville de garnison avec cinq casernes (Arsenal, Colombier, Kergus, Bon-Pasteur, Saint-Georges) l'école d'artillerie et l'hôpital militaire. Les 7e et 10e régiments d'artillerie montée et le 5e bataillon de chasseurs à pied y sont installés. Les officiers et leurs familles, pour la plupart aristocrates, ont rang dans la vie de la cité. Rennes vers 1870 : une petite ville avec faubourgs tentaculaires et casernes. Les fiacres et voitures d'hôtel devant la gare de Rennes Le cardinal Godefroy Brossays Saint-Marc prescrit, dès le 11 août, des prières publiques "pour le triomphe de la France et des braves qui la défendent" et remplace le Te Deum du 15 août par des prières pour l'empereur. Un sergent de la garde nationale mobilisée

Armée de Bretagne Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Elle était constituée des volontaires des cinq département bretons (Côtes-du-Nord, Finistère, Ille-et-Vilaine, Loire-Inférieure et Morbihan) dans le Camp de Conlie. Cinquante à soixante mille mobilisés bretons, formant l'armée de Bretagne, d'abord sous les ordres du général comte de Kératry puis du général de Marivault, furent rassemblés dans le camp de Conlie. Mal vêtus, contraints de monter leurs tentes dans un terrain récemment labouré, devenu bientôt fangeux, sans aucun approvisionnement, tant alimentaire que d'ordre militaire, ils furent bientôt la proie de maladies (fièvre typhoïde, variole...). Gambetta les considérant comme des Chouans potentiels, il n'équipa qu'une infime fraction des troupes avec à peine plus de 4000 vieux fusils à percussion de types divers parfois rouillés, dont les plus modernes étaient des Springfield de la guerre de Sécession.

Sueur de Sang/La Boue Le médecin Cuche vient de donner sa démission pour cause d’impuissance à soigner les malades dans l’eau. Reçu dépêche qui promet armement et encourage à maintenir Tordre. L’ordre existe. On meurt silencieusement. Mais la mesure est comble. » Telle est la dépêche envoyée le 17 décembre au ministre de la guerre par le général de Marivault, successeur de M. de Kératry au commandement en chef du camp de Conlie. Ce général était en fonctions depuis une semaine et n’avait pas encore pu visiter la dixième partie du monstrueux cloaque où pourrissaient cinquante mille hommes. Je crois bien ! L’Ille-et- Vilaine, les Côtes-du-Nord et le Morbihan grouillaient dans un marécage. Le silence était trop facile. « Le camp de Conlie confine à la politique » , écrivait M. de Freycinet, valet de bourreau du Cyclope. Sur une masse de quarante cinq-bataillons, six seulement furent opposés à l’ennemi, dans les plus atroces conditions imaginables. Ces troupes n’avaient jamais été exercées ni même armées.

Une page wikipedia qui explique ce qu'etait que la résistance intérieure française by cpl_pparouty Mar 16

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