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Encyclopédie ou Dictionnaire raisonné des sciences, des arts et des métiers

Encyclopédie ou Dictionnaire raisonné des sciences, des arts et des métiers
Encyclopédie, ou dictionnaire raisonné des sciences, des arts et des métiers L’Encyclopédie ou Dictionnaire raisonné des sciences, des arts et des métiers est une encyclopédie française, éditée de 1751 à 1772 sous la direction de Denis Diderot et, partiellement, de Jean Le Rond d'Alembert. Contexte[modifier | modifier le code] La nouvelle science astronomique nécessitait, pour expliquer le mouvement de la Terre, des expérimentations et un formalisme mathématique qui étaient étrangers à la méthode scolastique encore en vigueur dans les universités, et qui pour cette raison était déjà critiquée par Descartes. L'astronomie avait besoin du secours des mathématiques et de la mécanique pour sa théorisation. À terme, la plupart des sciences étaient touchées par ce changement, que le philosophe des sciences Thomas Samuel Kuhn a appelé une révolution scientifique[1]. Un tribunal (...) condamna un célèbre astronome pour avoir soutenu le mouvement de la terre, et le déclara hérétique (...). Hélas !

Lumières (philosophie) Denis Diderot Écrivain français (Langres 1713-Paris 1784). Connu de son vivant comme le maître d'œuvre de l'Encyclopédie, Denis Diderot exerça, après sa mort, une influence esthétique majeure sur les précurseurs du romantisme. Entre philosophie et littérature, roman et théâtre, il édifia une œuvre riche, complexe, originale, représentative du siècle des Lumières. Sa modernité ressort de son goût pour les idées neuves, de sa curiosité pour les sciences, de la hardiesse de sa pensée – ce qui n'a pas manqué de lui valoir quelques déboires avec les autorités. Il est la figure emblématique de l'écrivain-philosophe. Famille Denis Diderot est né le 5 octobre 1713, de Didier Diderot (1675-1759), maître coutelier, et Angélique Vigneron (1677-1748). Formation Il entre au collège des Jésuites de Langres (Haute-Marne) en 1723. Début de carrière Ses premières publications sont des traductions de l’anglais : Histoire de la Grèce (1743) de Temple Stanyan, Essai sur le mérite et la vertu (1745) de Shaftesbury. 1. 1.1.

encyclopedie-des-migrants Siècle des Lumières Pour les arts plastiques, le siècle des Lumières couvre la transition entre les périodes classique, rococo et néoclassique, et pour la musique, celle de la musique baroque à la musique de la période classique. L’expression provient d’emblée de son utilisation massive par les contemporains. Puis, le développement et l’affirmation de l’histoire culturelle et sociale depuis les années 1970, ont favorisé l’usage d’une notion féconde qui permet de mener des recherches de façon transversale et internationale tout en multipliant les objets d'étude et en dépassant les cadres nationaux[10]. Significations usuelles[modifier | modifier le code] Frontispice des Éléments de la philosophie de Newton, Voltaire, 1738. Le « siècle des Lumières »[11] se veut éclairé par la lumière métaphorique des connaissances — et non par l’illumination divine, « émanation de l’absolu »[12], utilisé exclusivement au singulier — acquises par l’expérience et l’enseignement du passé. Salons[modifier | modifier le code]

Voltaire Voltaire marque son époque par sa production littéraire et ses engagements politiques. Son influence sur les classes éduquées est considérable dans les décennies qui précèdent la Révolution française et au début du XIXe siècle, mais diminue par la suite du fait du triomphe du mouvement romantique, plus religieux et sérieux, dont Jean-Jacques Rousseau est plus proche. Anglomane[1], féru d'arts et de sciences, anticlérical mais déiste, il dénonce dans son Dictionnaire philosophique le fanatisme religieux de toutes les époques, tant en France que dans d'autres pays. Mettant sa notoriété au service des victimes de l’intolérance religieuse ou de l’arbitraire, il prend position dans des affaires qu’il a rendues célèbres : les affaires Calas, Sirven, et celles du chevalier de La Barre et du comte de Lally-Tollendal. Voltaire aime le confort, les plaisirs de la table et de la conversation qu’il considère, avec le théâtre, comme l’une des formes les plus abouties de la vie en société. Biographie

Fusée de détresse #1 Prolongeant son travail sur le projet de coopération européenne L’Encyclopédie des Migrants, Paloma Fernández Sobrino réunit, pour cette première création de lecture musicale, des Rennais engagés pour la dignité des personnes migrantes autour de lettres intimes et d’un gamelan javanais. Après les créations Trouvé dans l’oubli et Déroute (1 et 2), spectacles vivants mêlant théâtre, théâtre gestuel et chant, la structure rennaise poursuit le travail de Paloma Fernàndez Sobrino sur L’Encyclopédie des Migrants, projet de coopération européenne de collecte de témoignage réunissant la France, l’Espagne, le Portugal et Gibraltar. À partir du gamelan Kyai Bremånå (instrument javanais traditionnel) et de cinq lettres extraites de l’ouvrage (dont les quatre cents originaux viennent d’être confiés aux Archives Municipales de Rennes), L’âge de la tortue réunit une vingtaine de personnes pour une lecture musicalisée inédite.

Candide (Wiki) Candide ou l'Optimisme est un conte philosophique de Voltaire paru à Genève en janvier 1759. Il a été réédité vingt fois du vivant de l’auteur[n 1], ce qui en fait l'un des plus grands succès littéraires francophones. Seulement un mois après sa parution, six mille exemplaires avaient été vendus, nombre considérable pour l'époque[1]. Contextes[modifier | modifier le code] Contexte philosophique[modifier | modifier le code] Ce texte pose un problème philosophique par le truchement de la fiction. Pour lui, si Dieu est parfait, le monde ne peut pas l'être, mais Dieu l'a créé le meilleur possible. Voltaire voit dans cette philosophie un encouragement au fatalisme. Dans Candide ou l'Optimisme, il s'attaque frontalement à l'optimisme de Leibniz. Il est intéressant de noter que, plus tôt dans sa vie, Voltaire a adhéré à cette philosophie de l'optimisme. Contexte politique[modifier | modifier le code] Depuis sa retraite genevoise, Voltaire parcourt la planète en imagination. — Candide, chapitre V

Encyclopédie de Diderot et d'Alembert en ligne LEXILOGOS Encyclopédie dirigée par Diderot & d'Alembert (1751-1765) L'Encyclopédie en ligne L'Encyclopédie ou Dictionnaire raisonné des sciences, des arts et des métiers dirigée par Diderot & d'Alembert (1751-1772)(Wikisource) Histoire de l'Encyclopédie •L'Encyclopédie de Diderot par Yvon Belaval, in Encyclopædia Universalis • chronologie de l'Encyclopédie & dates de publication, textes divers • présentation de l'Encyclopédie de Diderot et d'Alembert • textes sur Jean Le Rond d'Alembert : biographies, notices (XVIIIe-XIXe) • Discours préliminaire de l'Encyclopédie par Jean Le Rond d'Alembert, présenté par François Picavet (1929) • Les encyclopédistes, leurs travaux, leurs doctrines et leur influence, par Pascal Duprat (1866) • Cahiers de l'Association internationale des études françaises (1951) : le rayonnement de l'Encyclopédie en Allemagne, Amérique, Espagne, Grande-Bretagne, Pays-Bas, Pologne, Russie, Suisse & Italie • Les traductions de l'Encyclopédie du XVIIIe siècle : quelle fut leur influence ?

L'âge de la tortue Guerre de Sept Ans 500 000 à 800 000 civils tués 990 000 à 1 300 000 morts au total[1] Guerre de Sept Ans Batailles Europe Amérique du Nord Antilles Asie Afrique de l'Ouest La guerre de Sept Ans, qui se déroule de 1756 à 1763, est un conflit majeur de l'histoire de l'Europe, le premier qui puisse être qualifié de « guerre mondiale »[2],[3]. Ce conflit, dont la Prusse et la Grande-Bretagne sont sorties victorieuses, a eu des conséquences importantes sur l'équilibre des puissances européennes[5]. Le début de la guerre de Sept Ans est traditionnellement daté du 29 août 1756, jour de l'attaque de la Saxe par Frédéric II, qui fait le choix de devancer une offensive autrichienne visant à reprendre la Silésie. Contexte géopolitique[modifier | modifier le code] Les principaux sujets de conflit entre puissances européennes[modifier | modifier le code] Prusse et Autriche : le problème de la Silésie[modifier | modifier le code] France et Royaume-Uni : les conflits coloniaux[modifier | modifier le code]

Jean Le Rond d'Alembert Mathématicien et philosophe français (Paris 1717-Paris 1783). 1. Enfance et formation de d'Alembert Le 16 novembre 1717, on recueille sur les marches de l'église Saint-Jean-le-Rond, dans le cloître Notre-Dame, un nouveau-né abandonné dans une boîte de sapin. Jean Le Rond est en réalité le fils de Mme de Tencin et du chevalier Destouches, commissaire provincial d'artillerie, qui, s'il ne reconnaît pas l'enfant, exercera cependant sur lui une protection discrète. 1.1. Entré à douze ans au collège des Quatre-Nations, le jeune garçon étonne ses professeurs par ses dons pour les langues anciennes et la spéculation philosophique. Avocat en 1738, il s'essaie à la médecine, mais découvre assez vite sa véritable vocation : les mathématiques, qu'il a plutôt réinventées qu'apprises à l'aide de quelques leçons d'un unique professeur. 1.2. Dès 1739, il adresse à l'Académie des sciences des observations sur l'Analyse démontrée du P. 2. 2.1. 2.2. 3. 3.1. 3.2.

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