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Qu’est-ce qu’une addiction ?

Qu’est-ce qu’une addiction ?
Les addictions concernent le tabac (nicotine), l’alcool, le cannabis, les opiacés (héroïne, morphine), la cocaïne, les amphétamines et dérivés de synthèse. Parmi les addictions sans substance, seul le jeu pathologique (jeux de hasard et d’argent) est cliniquement reconnu comme une dépendance comportementale dans les classifications diagnostiques internationales (DSM 5). L’Institut Nord-Américain des drogues, le National Institute of Drug Abuse (NIDA) en donne la définition suivante: L’addiction est une affection cérébrale chronique, récidivante, caractérisée par la recherche et l’usage compulsifs de drogue, malgré la connaissance de ses conséquences nocives . Le diagnostic de l’addiction (ou dépendance) repose sur des critères bien définis, fixés par des instances internationales de santé mentale et répertoriés dans un manuel, le Diagnostic and Statistical manual of Mental disorders (DSM), dont la cinquième édition date de 2013. Dépendance: Abus d'une substance:

Accro au jeu vidéo ? Le jeu vidéo est aujourd’hui un loisir qui concerne toutes les tranches de la population. Une enquête montre que 53 % des Français1 jouent régulièrement et 68 % occasionnellement. Qui joue le plus ? A quel type de jeu ? Pourquoi certaines personnes deviennent-elles addictes ? Qui joue ? Les derniers chiffres1 (octobre 2017) montrent que les plus gros joueurs se situent dans les tranches d’âge : 10-14 (95 %), 15-18 (92 %) et 19-24 (91 %). A quel type de jeu jouent les joueurs ? Dans le classement 2017 des 10 premiers jeux vendus en France toutes plateformes confondues1, on trouve : Les jeux de rôle en ligne massivement multi-joueurs (Massively multiplayer online role-playing game- MMORPG) dont « World of Warcraft » (WOW) et les arènes de bataille en ligne multijoueur (Multiplayer online battle arena-MOBA) dont « League of legends » (LOL) sont des jeux présentant potentiellement un caractère addictif. Puis-je être « addict » au jeu vidéo ? Les caractéristiques de l’addiction au jeu vidéo

INPES - Addiction aux jeux de hasard et d'argent - Qui est concerné en France ? Combien y a-t-il de personnes en difficulté face aux jeux d'argent et de hasard ? Quels sont le profil et les activités des joueurs les plus assidus ? La première enquête menée en France sur ce sujet a été menée par le Baromètre santé 2010 de l’Inpes et publiée dans Tendances n°76, OFDT (Observatoire français des drogues et des toxicomanies), 6 p. en Juin 2011. Cette enquête s’est faite à la demande de la direction générale de la santé, en vue de la loi du 12 mai 2010 qui allait ouvrir et organiser le jeu d’argent et de hasard sur Internet, donc dans un contexte où ces jeux arrivaient directement au domicile du joueur. La notion de joueurs problématique proposée par l’ICJE est une catégorie statistique définie par des critères tels que le sentiment de culpabilité, le fait de jouer plus que prévu, de ressentir avoir un problème avec le jeu, d’avoir des difficultés financières liées au jeu, d’être critiqué par ses proches mais malgré tout, de ne pas pouvoir s’arrêter.

Addiction à Internet - Il a vécu 6 mois sans le net Un jour, Thierry Crouzet a coupé Internet. Victime d’un burn-out, d’une overdose numérique. Blogueur influent, geek connecté jour et nuit sur les réseaux sociaux, expert des nouvelles technologies, il a quitté la toile pendant six mois, pour se sevrer. Aujourd’hui, l’ancien addict est devenu un internaute modéré. Il revient sur sa vie de « débranché ». Propos recueillis par Margaux Rambert La nuit du 14 février 2011, vous faites une crise d’angoisse et finissez à l’hôpital. Thierry Crouzet : Allongé sur mon lit d’hôpital, j’ai tout de suite pris mon téléphone pour regarder mes mails et ce qui se passait sur les réseaux sociaux. Votre conclusion, c’est que vous étiez victime d’un burn-out numérique… T.C : Oui. Plus aucun accès à Internet pendant six mois… Pourquoi ce choix d’une déconnexion totale ? T.C : Je ne savais pas ce qui posait problème. Avant cette prise de conscience, vous sentiez-vous accro au net ? T.C : Non, ou alors comme d’autres sont accros à leur travail.

TPE - Les jeux d'argent: PARTIE III : Addictions et appauvrissements 1 - Les grands perdants de ce business Malgré la crise, les jeux d'argent continuent d'attirer les Français. Que ce soit pour gratter un ticket, pour miser sur un cheval ou remplir une grille de loto, les ménages français ont parié 46,2 milliards d'euros en 2012, soit 76% de plus qu'en 2000, selon une étude de l'Insee. En France, 1 personne sur 2 déclare avoir joué de l'argent au cours des douze derniers mois. Parmi eux, seulement 1 personne sur 5 a joué de manière régulière et 1 personne sur 10 à dépensé plus de 500 euros. Ce graphique nous expose l’évolution du poids des jeux d'argent dans la consommation des ménages en France. Source : Insee, comptes nationaux, base 2005. De plus une recherche a été effectuée afin de révéler quelles étaient les caractéristiques des joueurs engendrant le plus de perte. 2 - Causes et conséquences des addictions L’addiction aux jeux d’argent concernent plus de 2% de la population adulte en France . Quels sont les causes de ces dépendances ?

L’addiction | Blog de 3e I – Description L’addiction à Internet porte plusieurs noms : cyberdépendance, cyberaddiction, UPI (Usage Problématique d’Internet), TDI (Trouble de Dépendance à Internet). Cette addiction est un trouble psychologique entraînant un besoin excessif d’Internet, de jeux vidéos, d’un ordinateur, d’un portable ou d’une tablette. II – Symptômes a) : Symptômes psychologiques – Incapacité à arrêter d’utiliser Internet, à l’utiliser de plus en plus, même la nuit, – Perte de contact avec le monde qui nous entoure, – Problèmes de concentration au travail ou à l’école, – Ne pas se rendre compte de son addiction, – Éventuellement, la schizophrénie, – Dépression ou irritabilité lorsque la personne est privée d’Internet. b) : Symptômes physiques – Yeux secs, – Migraines constantes, – Maux de dos, – Souffrances au nerf médian (doigts, poignets), – Repas irréguliers ou sautés, – Mauvaise hygiène, – Convulsions et/ou impulsions, – Insomnies ou changements dans le cycle du sommeil.

INPES - Addiction aux jeux de hasard et d'argent Le jeu constitue une pratique culturelle ancestrale dont on trouve la trace dans toutes les civilisations. Son institutionnalisation et sa fiscalisation est assez récente. De tout temps, l’histoire du jeu est aussi l’histoire d’une prohibition pour des raisons religieuses ou morales. La pratique des jeux de hasard et d’argent, qu’il s’agisse de la loterie nationale (qui existe depuis 1933), des jeux de grattage, des paris hippiques, des paris sportifs, du poker ou encore des machines à sous dans les casinos est une habitude assez répandue et bien ancrée dans notre pays. Ainsi, plus de la moitié des adultes français (27 millions en 2011) jouent au moins une fois par an à l’un ou l’autre de ces jeux, « en dur » chez les buralistes, dans les casinos… ou « en ligne » sur des sites internet. Le terme « addiction » a fait son apparition dans les années 1970 dans le domaine de la psychiatrie américaine, pour désigner initialement la dépendance à l’alcool et aux drogues.

Notes sur les sites web ou contenus de référence Les jeux d'argent pathologiques - La Réponse du Psy « Partout et toute ma vie j’ai dépassé les limites » Fédor Dostoïevski, Le joueur. Jouer est une activité importante chez l’Homme tout au long de sa vie. Par le jeu, les enfants vont acquérir dès leur plus jeune âge les compétences qui sont nécessaires à leur épanouissement. Ils vont développer leur créativité, leurs capacités motrices, leurs intelligences pratiques et tactiques, et leurs compétences sociales. Cela leur permet d’imaginer, de dire, de faire, d’anticiper, de programmer et aussi d’expérimenter de nouveaux comportements avant de les mettre en œuvre dans « la vraie vie ». On peut aussi jouer pour de l’argent. A la même période, 11% des personnes ont affirmé le faire au moins une fois par semaine et 4,7 % des personnes ont dépensé plus de 500 euros dans l’année dans ces jeux «traditionnels» de hasard et d’argent. Qu’est-ce que le jeu d’argent pathologique ? « Je me souviens nettement que je fus soudain, sans aucune incitation de l’amour-propre, possédé par la soif du risque.

Notes sur les sources informelles (forums, blogs) L’addiction aux jeux de hasard et d’argent Le jeu est une activité humaine essentielle. Le jeu est universel, il apporte plaisir et récompense. La grande majorité des joueurs a une pratique « sociale » ou « récréative ». Pour quelques personnes, le jeu sera excessif ou pathologique. Que classe-t-on dans les jeux de hasard et d’argent ? Se classe dans la catégorie « Jeux de hasard et d’argent » : les jeux de loterie (loto, jeux de grattage, Rapido, Keno, etc.)les jeux de casinos (machines à sous, roulette…)les paris hippiques ou sportifs le poker. Est-ce que je suis un joueur excessif ? Je peux jouer sans me rendre compte des heures que j’y passe.J’accorde la priorité au jeu au détriment d’autres occupations. A quel moment je peux devenir un joueur pathologique Le parcours du joueur pathologique Le joueur pathologique passe par des phases qui se succèdent sur une période de 10 à 15 ans avec des moments où il ne jouera plus et des périodes de « craving » (envie irrépressible) , de rechute. ... Pourquoi chercher de l’aide ? Et encore...

Notes sur les Flux RSS Jeux de hasard et d'argent. Contexte et addictions Avant-propos L'industrie du jeu de hasard et d'argent constitue un secteur économique et financier important qui draine de l'emploi (direct et indirect), de la fiscalité et concerne une population de joueurs qui se chiffre en millions de personnes. D'après l'Insee, en 2006, près de 30 millions de personnes en France, soit trois sur cinq en âge de jouer, ont tenté leur chance au moins une fois par an à un jeu d'argent. Depuis 1975, le montant global des enjeux a doublé. Les jeux de hasard et d'argent sont des pratiques sociales et culturelles inscrites dans une histoire très ancienne des loisirs. Les méfaits possibles du jeu attirent de plus en plus l'attention des pouvoirs publics et des opérateurs de jeu eux-mêmes. Afin de répondre à cette demande, l'Inserm a réuni un groupe pluridisciplinaire d'experts en histoire, sociologie, économie de la santé, épidémiologie, psychologie, neurobiologie, psychiatrie et addictologie. Synthèse Le PMU gère les paris en dehors des hippodromes.

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