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La Liste rouge des espèces menacées en France

La Liste rouge des espèces menacées en France
Pour préserver la diversité de la faune et de la flore, il est important de connaître la situation précise de chaque espèce, de surveiller l’évolution des menaces et d’identifier les priorités d’actions : c’est l’objectif de la Liste rouge nationale des espèces menacées. © Fabrice Croset Etablie conformément aux critères internationaux de l’UICN, la Liste rouge nationale dresse un bilan objectif du degré de menace pesant sur les espèces en métropole et en outre-mer. Elle permet de déterminer le risque de disparition de notre territoire des espèces végétales et animales qui s’y reproduisent en milieu naturel ou qui y sont régulièrement présentes. La Liste rouge des espèces menacées en France est réalisée par le Comité français de l’UICN et le Muséum national d’Histoire naturelle (MNHN/SPN). L’état des lieux se décline en chapitres taxonomiques (mammifères, plantes vasculaires, crustacés, libellules…) et géographiques (métropole, Guadeloupe, Réunion, Nouvelle-Calédonie…). Outre-mer : Related:  Nature/Environnement/biodiversité

Abeilles, pollinisation et biodiversité Apis mellifera, l’abeille domestique des apiculteurs est l’espèce la plus répandue et la plus connue. Près de 1 000 espèces d’abeilles différentes sont recensées en France. Soit plus que le nombre de mammifères, oiseaux et reptiles réunis ! Dans le monde, on ne dénombre pas moins de 20 000 espèces d’abeilles. Régime sans abeilles Abeille domestique, genre Apis. © Denis Bourgeois (Arthropologia) Toutes ces espèces sont très importantes pour la pollinisation, processus indispensable à la reproduction sexuée des plantes à fleurs. 80 % des cultures à travers le monde sont dépendantes de l’activité des insectes pour la pollinisation, au premier rang desquels les abeilles. Les pollinisateurs pèsent 153 milliards d’euros C’est le chiffre auquel sont parvenus des chercheurs de l’Inra pour estimer la valeur économique de l’activité pollinisatrice des insectes, essentiellement des abeilles (programme Alarm, 2006-2009). Biodiversité et abeille : l’une ne va pas sans l’autre

INVASIONS BIOLOGIQUES » EN MILIEUX AQUATIQUES Déforestation : tout savoir sur la déforestation Déforestation : la forêt du bassin du Congo en danger Ensanglantée par la guerre civile à l’est, la République démocratique du Congo voit aussi disparaître son capital vert, le deuxième du monde tropical. Reportage sur la déforestation au Congo. Jean-Lou Justine's Home Page - Que faire si je trouve un Plathelminthe? Si vous avez trouvé un Plathelminthe invasif terrestre, que pouvez-vous faire pour aider la recherche? (mise à jour: juillet 2018) D'abord, bien vérifier que c'est un Plathelminthe invasif terrestre: comparer avec les photos des espèces sur ce site. Attention, il y a une dizaine d'espèces qui ne se ressemblent pas beaucoup. Généralement, un Plathelminthe terrestre est allongé, plat, d'aspect lisse, un peu gluant. Pas de pattes, pas d'anneaux, pas d'yeux visibles, pas de bouche visible. Les confusions sont possibles avec ces animaux, mais aucun n'est plat comme un Plathelminthe: des limaces (les limaces ont des cornes, et elles ne sont pas plates)des vers de terre (les vers de terre ont des anneaux)des chenilles (les chenilles ont des pattes)des sangsues (c'est rare! Ensuite, noter l'endroit (votre jardin? Faire des photos de près - un bon smartphone vous fera une photo tout à fait convenable. Pensez aussi à la lumière - votre photo sera meilleure si l'animal est bien éclairé.

La biodiversité : un concept récent La biodiversité, contraction de biologique et de diversité, c’est tout le tissu vivant de notre planète. Étudier la biodiversité, c’est chercher à mieux comprendre les liens et les interactions existant entre les espèces et avec leurs milieux de vie. 21 décembre 2010 (mis à jour le 25 janvier 2016) La biodiversité est un concept apparu dans les années 1980. Biodiversité : une idée complexe mais indispensable L’usage du mot biodiversité est relativement récent mais la biodiversité est, elle, très ancienne puisqu’elle est le résultat de la longue histoire de la terre et de l’évolution du monde vivant qui s’étale sur plusieurs milliards d’années. La biodiversité est le tissu vivant de notre planète. La notion même de biodiversité est complexe car elle comprend trois niveaux interdépendants : En savoir plus Le concept de « diversité biologique » est apparu dans les écrits de Thomas Lovejoy, biologiste américain, en 1980. A voir

sagascience - Modes de gestion agricole et influences sur la biodiversité du sol Certaines pratiques agricoles - trop intensives ou peu respectueuses de l'environnement - peuvent être responsables de la dégradation du sol et de la perte de sa biodiversité. Des labours fréquents et notamment des labours profonds, l'usage intensif d'engrais et de pesticides, la dessiccation, les inondations, les incendies... perturbent les organismes du sol (macrofaune, mésofaune, microorganismes), réduisent le stock de matière organique (principale source d'énergie pour les habitants du sol) et bouleversent la structure, l'aération, la compacité, la texture, le pH ou la composition du sol, modifiant ainsi son fonctionnement. D'autres pratiques agricoles, au contraire, permettent de maintenir, voire de restaurer, la biodiversité du sol. Voici quelques illustrations de modes de gestion agricole et leurs conséquences sur la biodiversité du sol : Lutte contre parasites, prédateurs et mauvaises herbes Des méthodes alternatives existent. Le choix et la rotation des cultures Rédaction :

sagascience - Effet retour sur l'espèce humaine des perturbations qu'elle fait subir à la biodiversité Depuis des milliers d'années, nous vivons plus ou moins consciemment en interaction avec la biodiversité, qui nous rend de nombreux services, vitaux ou de « bien-être » : apport de matières premières pour l'alimentation, la santé et l'économie, bon fonctionnement des milieux permettant par exemple l'agriculture et l'accès à l'eau potable, protection naturelle contre les intempéries et les maladies, régulation du climat local et global, apport de biens immatériels tels que la beauté des paysages, la connaissance que nous tirons de la biodiversité, la culture, etc. Or, ces services, indispensables à l'espèce humaine, sont extrêmement fragiles.© Inra Photothèque / RIGAUDIERE Jean-Paul Pourtant, l'augmentation de la population humaine et de ses besoins, le développement de nouvelles technologies et de nouveaux modes de vie peuvent modifier rapidement cet équilibre Homme-Nature. Si la biodiversité m'était comptée... L'érosion de la diversité biologique modifie aussi nos relations sociales.

Les droits de l’homme et l’environnement Human Rights and the Environment The salvation of the world lies in the human heart, in the human power to reflect, in human meekness and in human responsibility. We are still under the sway of the destructive and vain belief that man is the pinnacle of creation and not just a part of it… We still don't know how to put morality ahead of politics, science and economics. We are still incapable of understanding that the only genuine backbone of all our actions – if they are to be moral – is responsibility. When asked to talk about "the environment", what do you think of first? This widespread concern for the state of the environment is very recent. People realise that we cannot dump our wastes and expect them to disappear. Air The air we breathe can be contaminated, for example, by particle emissions from motor vehicles and industry as well as from household fuels and tobacco smoke. Water Land Question: In what ways are the air, water and land polluted in the environment where you live?

L’économie circulaire constitue-t-elle une solution viable face au défi environnemental ? Le modèle de l’économie « linéaire », dans lequel les modes de production de biens utilisent les ressources naturelles pour les transformer en produits de consommation à durée de vie limitée qui sont au final « jetés », s’est développé à partir des deux premières révolutions industrielles des 18e et 19e siècles. Il s’est ensuite généralisé avec l’avènement de la société de consommation après la seconde guerre mondiale puis l’accélération de la mondialisation à partir de la fin des années 1980. Si ce modèle économique s’est révélé très efficace pour accroître les niveaux de vie d’une grande partie de la population mondiale, il est aussi tenu responsable de l’apparition des deux problèmes majeurs que sont la raréfaction des ressources naturelles et la pollution de l’environnement. Le modèle de l’économie circulaire constitue a priori une réponse pertinente pour lutter contre la raréfaction des ressources et le réchauffement climatique. Source : Ademe Principales sources :

Mieux gérer les ressources naturelles - Interstices L'exploitation raisonnée des matières premières et des sources d'énergie implique d'en évaluer les stocks et d'en étudier les interactions avec le milieu environnant. Un banc d’albacores et quelques coryphènes pris au piège dans une senne au large des Seychelles (Océan Indien – 2006). © Ifremer-IRD/Fadio/M. Taquet. La pression sur les ressources naturelles a commencé à s’accentuer dès le début de la révolution industrielle. Pour répondre aux besoins énergétiques, le premier réflexe a été de rechercher de nouvelles sources d’énergie, de nouvelles mines, de nouveaux territoires. Pour la gestion des milieux naturels, on s’oriente dans la même voie, vers une coexistence des usages qui permette d’utiliser dans la durée les multiples ressources disponibles. Vers une mixité des usages. Des apparences trompeuses Ce concept de compartimentation est en fait très général et également pertinent pour la gestion de populations vivantes comme les ressources halieutiques. © Alain Rapaport/INRA.

La compensation, un « permis de détruire » la nature ? Comparée à une compensation « à la demande », réalisée au cas par cas après une construction, la compensation par l’offre apparaît plus efficace : elle permet d’anticiper la destruction d’un habitat ; elle peut être planifiée sur des sites plus vastes et mieux connectés aux autres écosystèmes ; et plus facile à contrôler. Mais cette opération, simple coût à budgéter pour les aménageurs et maîtres d’ouvrage qui en ont les moyens, ne serait-elle pas un peu « trop facile » ? Elle risquerait alors, dénonce Attac, de servir de « dérivatif facile et généralisé aux étapes visant à éviter et réduire les dégradations écologiques », et finalement, de « véritable droit à détruire ». Faux, pense l’économiste Harold Levrel, à condition que les critères de cette compensation écologique soient exigeants et que son prix soit élevé – comme aux Etats-Unis, où il n’y a pas eu « d’appel d’air à la construction » d’après lui.

Sol et climat - L'Esprit Sorcier - Cap sur l'agro écologie Regardez l’émission qui prolonge ce dossier : Sol et climat – 4 pour 1000 Retrouvez toutes nos vidéos sur la chaîne Youtube de l’Esprit Sorcier Suivez-nous sur Facebook et Twitter Soutenez-nous sur Tipeee ! Un dossier préparé par Elodie Barakat Rédaction en chef Frédéric Courant Direction artistique et technique Pascal Léonard Direction de productionJoël Guillemet Assistante de réalisationAnaïs Van Ditzhuyzen Assistant de productionPatrick Berger Documentaliste Laurence Lebon Directeur photoArthur Le Ret Montage/Prise de vue Timothée CoignusBenoît Aubert Prise de sonThomas Spitz VoixValérie GuerlainJean-Baptiste Puech MixagePascal StevensLaurent Cauneau Relation presseNathalie BôGraphisme et animations Christophe Pernoud – BROTHERMAN Productions Web design Olivier Hamon – VO Productions Antoine Chérel – ATALANTA Intégration Florent Chevallier Remerciements Antonio Bispo, ingénieur sol et environnement, ADEME Pierre Jacquemot, diplomate, président du GRET-Professionnels du développement solidaire Ukraine

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