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Quelle est l’histoire du drapeau français ?

Quelle est l’histoire du drapeau français ?
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La troisième vie de « J’ai vécu la Révolution et l’empire » – Réseau Ludus : jouer en classe J’ai vécu la Révolution et l’empire est l’un des jeux les plus anciens et les plus réussis du réseau Ludus. Créé par Yvan Hochet (inspiré par le cultissime J’ai vécu au XVIIIème siècle de Dominique Natanson) il a ensuite été adapté à de nombreuses reprises et notamment par notre ami et néanmoins breton Sébastien Peigné qui en a réalisé une version blog. Il nous en propose aujourd’hui une nouvelle évolution adossée à une série de Google forms créés pour l’occasion. C’est LA bonne idée pour améliorer encore la jouabilité de ce très bon jeu de rôles. Cet exemple montre la vitalité du jeu pédagogique et valide, s’il en était encore besoin, le choix de la mutualisation et de l’enrichissement collectif que nous avons opéré dès le début de l’existence du réseau Ludus il y a maintenant près de 20 ans. Il illustre en outre au passage l’intérêt de la rencontre entre le jeu traditionnel papier-crayon et les outils numérique. Denis Sestier Origine du jeu Comment j’utilise le jeu en classe Analyse

Marie-Antoinette et Fersen ont-ils été amants ? Si l'amour que Fersen et Marie-Antoinette se portent l'un à l'autre ne fait aucun doute, reste LA question : l'ont-ils consommé ? Les biographes sont bien en peine d'être catégoriques. Aucune des lettres entre la reine et le soldat* ne fait allusion à une quelconque relation charnelle. Sauf que... Des passages -- peut-être licencieux estiment certains -- ont été biffés par on ne sait quelle main et d'autres soigneusement codés. Voilà les historiens réduits à des conjectures où affleure toujours le doute. Fersen, l'éternel célibataire Quant à la psychologie de la reine, elle plaide aussi pour une passion romanesque bien chaste. Et Fersen ? * Prochainement publiées sur www.archives-nationales.culture.gouv.fr.

theconversation Les élections font l’ordinaire de la rhétorique des crises : qu’importent les solutions apportées à celles-ci dès lors qu’on vote pour en sortir, et vite si possible. François Hollande se voulait « intraitable » sur les élections qui devaient avoir lieu au Mali avant la fin de l’été 2013… Nul ne sait plus, aujourd’hui, comment résoudre la crise centrafricaine, mais ceux qui en ont charge parlent avant tout d’élections, même à tout prix. Il n’y a plus d’État en Libye, mais l’important est d’y voter, même si c’est pour juxtaposer, à la fin, deux régimes qui se disputent une même légitimité. On vote au Congo-Brazzaville pour enlever à l’élection présidentielle sa vraie capacité de choisir, on vote en Côte d’Ivoire après avoir neutralisé tout candidat capable de défier le Président sortant. On vote hélas souvent pour ne pas voter réellement ! Comme le cholestérol On pourrait croire, au vu de tout cela, que l’acte compte plus que le fond. Les besoins de la démocratie Où est la différence ?

Le drapeau français Emblème national de la Cinquième République, le drapeau tricolore est né de la réunion, sous la Révolution française, des couleurs du roi (blanc) et de la ville de Paris (bleu et rouge). Aujourd'hui, le drapeau tricolore flotte sur tous les bâtiments publics. Il est déployé dans la plupart des cérémonies officielles, qu'elles soient civiles ou militaires. "Juillet 1830" le drapeau tricolore,Collection de Vinck (1830) ©BnF Le drapeau tricolore n'a pas encore son historien. Avant d'être drapeau, le tricolore fut cocarde. le Porte drapeau de la fête civiqueCollection de Vinck, (1795) ©BnF A l'automne 1790, l'Assemblée constituante décide que tous les vaisseaux de guerre et navires de commerce français porteront un pavillon aux trois bandes verticales : rouge près de la hampe, blanc au centre et cette bande sera plus large que les autres, bleu enfin. Le drapeau tricolore disparaît avec le retour de la monarchie de 1814 à 1830. A plusieurs reprises, le drapeau tricolore fut menacé.

Histoire . Les “fake news” déjà à l’origine de la Révolution française Nous vivons à l’ère de la postvérité. La fabuleuse indifférence qu’affiche le futur président Donald Trump envers des informations vérifiables, voire ce qu’il a lui-même déclaré, est le reflet de cette situation, que son attitude ne fait qu’aggraver. Le vaste réseau inextricable d’agrégateurs et de sites d’“information” qui diffusent des nouvelles douteuses joue un rôle tout aussi important. Ce phénomène n’est “nouveau” que dans la mesure où il est pire que par le passé, mais ses racines remontent loin dans l’Histoire, jusqu’à la France du XVIIIe siècle. Des ministres décrits comme incompétents et obsédés Dans une série de livres qui ont fait date, l’historien Robert Darnton a reconstitué l’atmosphère de ce qu’il a appelé le “monde des écrivaillons parisiens”, peuplé de besogneux et de plumitifs, qui, en butte au mépris des institutions sociales et politiques du Paris du XVIIIe siècle, ne rêvaient que de les saper.

Marie-Antoinette et Axel de Fersen, le coup de foudre qui a fait la France Aucune reine française n'a autant fait couler d'encre. L'Autrichienne, la jeune épouse du roi Louis XVI, est une personnalité à part, comme on a pu le voir à travers de nombreux films, romans, ou biographies. Souvent son côté libre marque les esprits. Une fois de plus, avec cette histoire, elle ne déroge pas à la règle. Mariée depuis 1770 au futur roi des France, fille de Marie-Thérèse, l'archiduchesse d'Autriche, reine de Hongrie et de Bohème, et de l'empereur germanique François Ier de Lorraine, sa mère n'avait qu'une idée: rapprocher les Habsbourgs des Bourbons. Elle y rencontre Hans Axel de Fersen le jour du bal de l'Opéra. Marie-Antoinette, elle, n'a d'yeux que pour cet homme, ce Suédois, né en 1755 à Stockholm, la même année que la Reine. Louis XV meurt le 10 mai 1774. Trois ans plus tard, délaissée par son mari, désavouée par le peuple français, la reine traîne son ennui au Trianon, Fersen rentre. Seule une fuite pourrait épargner la famille royale.

Régionales : la guerre des « data » n’aura pas lieu Tous les éléments étaient réunis pour faire des régionales la campagne qui généraliserait l'utilisation de données à des fins électorales. Les outils étaient prêts, les informations collectées, les équipes arrivaient dans la dernière ligne droite… mais l’actualité en a décidé autrement. En étouffant la campagne, les attentats du 13 novembre a empêché les partis politiques d’exploiter efficacement le “big data”. Chronique d’un rendez-vous manqué . Un outil électoral en plein essor La collecte généralisée de données pour améliorer l’impact d’une campagne électoral est une idée qui vient des Etats-Unis. En France, l’accès à certaines données individuelles est plus difficile, en raison d’un cadre légal contraignant. Mieux cerner des territoires nouveaux Les outils liés à l'utilisation des "big data" offrent un atout majeur : baliser une campagne et cibler les thématiques importantes et les électeurs "utiles”. Des entreprises en développement en France Rentabiliser l’énergie des militants

La Marseillaise A l'origine chant de guerre révolutionnaire et hymne à la liberté, la Marseillaise s'est imposée progressivement comme un hymne national. Elle accompagne aujourd'hui la plupart des manifestations officielles. Claude Joseph Rouget de Lisle chantant la marseillaisePaul Adolphe Rajon (XIXème siècle), BnF En 1792, à la suite de la déclaration de guerre du Roi à l'Autriche, un officier français en poste à Strasbourg, Rouget de Lisle compose, dans la nuit du 25 au 26 avril, chez Dietrich, le maire de la ville, le "Chant de guerre pour l'armée du Rhin". Ce chant est repris par les fédérés de Marseille participant à l'insurrection des Tuileries le 10 août 1792. Son succès est tel qu'il est déclaré chant national le 14 juillet 1795. Interdite sous l'Empire et la Restauration, la Marseillaise est remise à l'honneur lors de la Révolution de 1830 et Berlioz en élabore une orchestration qu'il dédie à Rouget de Lisle. 1er couplet Allons enfants de la Patrie, Le jour de gloire est arrivé ! Refrain Quoi !

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