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Système d'exploitation

Système d'exploitation
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir SE et OS. Il existe sur le marché des dizaines de systèmes d'exploitation différents[2]. La définition des systèmes d'exploitation est rendue floue par le fait que les vendeurs de tels produits considèrent comme étant le système d'exploitation la totalité du contenu de leur produit, y compris les vidéos, les images et les logiciels applicatifs qui l'accompagnent[1]. Le système d'exploitation est un intermédiaire entre les logiciels d'application et le matériel. Relations dans un système d'exploitation moderne. Fonctionnalités[modifier | modifier le code] Le système d'exploitation offre une suite de services généraux qui facilitent la création de logiciels applicatifs. L'utilisation des périphériques : chaque périphérique a ses propres instructions, avec lesquelles il peut être manipulé. Le matériel informatique peut exécuter des instructions, mais celles-ci sont rarement plus que des copies et des additions.

Bienvenue sur Excelabo.net | www.excelabo.net Multitâche Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Un système d'exploitation est multitâche (en anglais : multitasking) s’il permet d’exécuter, de façon apparemment simultanée, plusieurs programmes informatiques. On parle également de multiprogrammation. Cette fonction est indépendante du nombre de processeurs présents physiquement dans l’ordinateur (un système multiprocesseur n'est pas nécessaire pour exécuter un système d'exploitation multitâche). Concept[modifier | modifier le code] Historique[modifier | modifier le code] Le premier ordinateur multitâche dans le monde a été conçu par la firme Bull en 1958. Les systèmes multitâches se sont ensuite répandus dans le courant des années 1960 sous le nom de systèmes à temps partagé. Multitâche coopératif[modifier | modifier le code] Multitâche préemptif[modifier | modifier le code] Pour remédier à cette situation, les systèmes grand-public ont évolué pour utiliser une approche nommée « multitâche préemptif ». Comparaison[modifier | modifier le code]

Convertir un diaporama PowerPoint au format Flash (fichier SWF) Pour partager une présentation PowerPoint sur le web, la meilleure façon est probablement d’utiliser le format Flash. En effet, plus de 98 % des internautes ont ce dernier installé sur leurs machines, et, de plus, il empêche toutes modifications de votre document. Grâce à iSpring, add-on pour PowerPoint, vous allez pouvoir rapidement et simplement convertir vos diapositives en un fichier SWF et l’intégrer à une page web avec une visionneuse. Téléchargement et Installation du plugin pour PowerPoint Tout d’abord, cliquez sur ce lien pour télécharger l’add-on iSpring (gratuit) pour PowerPoint, puis installez le. Conversion du diaporama (.pptx) en Flash (swf) Ouvrez la présentation PowerPoint de votre choix. Fonction Publication - Add-on iSpring pour PowerPoint 2007 Dans la nouvelle fenêtre, saisissez le nom du fichier SWF dans le champ Presentation Title. Dans la partie Slide range, choisissez le nombre de diapos à convertir : D’autres options sont disponibles dont voici les principales :

Sémaphore (informatique) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les sémaphores fournissent la solution la plus courante pour le fameux problème du « dîner des philosophes », bien qu'ils ne permettent pas d'éviter tous les interblocages (ou deadlocks). Pour pouvoir exister sous forme logicielle, ils nécessitent une implémentation matérielle (au niveau du microprocesseur), permettant de tester et modifier la variable protégée au cours d'un cycle insécable. En effet, dans un contexte de multiprogrammation, on ne peut prendre le risque de voir la variable modifiée par un autre processus juste après que le processus courant vient de la tester et avant qu'il ne la modifie. Le sémaphore SEM, sa liste L et son compteur K, SEM est accessible aux opérations : INIT(SEM, VAL) ;P(SEM) ;V(SEM). Les trois opérations prises en charge sont Init, P et V. P et V du néerlandais Proberen et Verhogen signifient tester et incrémenter (en français "Puis-je ?" Initialisation d'un sémaphore : Portail de la programmation informatique

Récursivité Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La récursivité est une démarche qui fait référence à l'objet de la démarche. Ainsi, les cas suivants constituent des cas concrets de récursivité : Décrire un processus dépendant de données en faisant appel à ce même processus sur d'autres données plus « simples » ;Montrer une image contenant des images similaires[1]Définir un concept en invoquant le même conceptÉcrire un algorithme qui s'invoque lui-même[2]. Récursivité en informatique et en logique[modifier | modifier le code] En informatique et en logique, une fonction ou plus généralement un algorithme qui contient un appel à elle-même est dite récursive. Récursivité en linguistique[modifier | modifier le code] La grammaire du sanskrit de Pānini utilise déjà la récursivité au Ve siècle av. Un dictionnaire (dictionnaire de définition) est un exemple de récursivité : chaque mot du dictionnaire est défini par d'autres mots eux-mêmes définis par d'autres mots dans ce même dictionnaire.

Le Mythique homme-mois Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le Mythe du mois-homme (titre original : The Mythical Man-Month: Essays on Software Engineering) est un livre de Frederick Brooks considéré comme un classique dans le domaine du génie logiciel. Le titre de l'ouvrage fait référence à une unité de coût de développement : le mois-homme ou plus communément l'homme-mois, c'est-à-dire le travail d'un homme pendant un mois. Le seul fait d'utiliser cette unité tend à faire croire qu'un travail de 1 personne pendant n mois peut parfaitement être réalisé par n personnes pendant 1 mois ; selon cette idée, on pourrait diviser les temps de développement par deux en mettant deux fois plus de personnel. Or, expérimentalement, cela est faux. Bien que certaines remarques proprement techniques de l'ouvrage soient très datées (car portant sur des types de systèmes depuis longtemps dépassés), de nombreux problèmes soulevés par Brooks sont toujours d'actualité au XXIe siècle. Résumé[modifier | modifier le code]

Loi de Grosch Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Grosch. La loi de Grosch est une loi (au sens scientifique) concernant l'informatique, en particulier les ressources, le coût et la puissance des ordinateurs. Elle vient de l'observation que la combinaison des ressources informatiques sur une même machine a un effet multiplicatif et non pas additif. Elle s'énonce généralement de la manière suivante: la puissance réelle d'un ordinateur croît généralement bien plus vite que son coût. Ainsi, une machine dont on augmente la vitesse permet la résolution de nouveaux problèmes. Grosch pense pouvoir en déduire une loi implacable et dont l'énoncé influencera toute l'informatique des années 1960 et 1970 : il faut procéder à toutes les améliorations possibles sur une même machine centrale et en partager les ressources. Bruno Lussato conteste vers 1971 la validité de cette loi. Il n'est pas alors entendu. La course à la puissance[modifier | modifier le code]

Algol (langage) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Algol. Algol est un langage de programmation. Le langage existe en trois versions : Algol 58, Algol 60 et Algol 68. Le premier rapport décrivant le langage date de 1958 et a donc donné lieu à Algol 58. Hormis un succès universitaire certain, Algol 60 sera peu utilisé dans des programmes commerciaux. Algol 60 a été publié en 1960. La suite de cet article est principalement consacrée au langage Algol 60. Algol 60 est un langage typé, procédural récursif et à structure de blocs. Algol 60 permet deux types de passage de paramètres lors de l'appel de procédure : passage par valeur et le passage par nom, proche de la macro-substitution. En réaction contre le manque de formalisme dans le projet Fortran, John Backus a conçu la BNF pour Backus Normal Form permettant la spécification de Algol 58. Les programmes Algol 60 sont à format libre, avec le point-virgule comme séparateur principal.

General Comprehensive Operating System Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Un système DPS-7 GCOS7 de Honeywell-Bull en 1990 GCOS /djee'kohs/ (General Comprehensive Operating System) est une famille de systèmes d'exploitation orientée mainframes. La première version a été développée par General Electric à partir de 1962 ; nommée historiquement GECOS (the General Electric Comprehensive Operating Supervisor). Architecture système et concepts[modifier | modifier le code] Chaque processus possède son propre espace d'adressage, sur lesquels les droits d'accès sont une combinaison de droits élémentaires (lecture, écriture, exécution). Le système d'exploitation peut gérer les ordinateurs multi-processeurs (SMP). Histoire[modifier | modifier le code] Le système d'exploitation GECOS-II a été développé par General Electric pour le GE-635, une machine 36 bits, de 1962 à 1964. Après le rachat de la division des ordinateurs de General Electric par Honeywell, GECOS-III a été rebaptisé GCOS-3, et la ligne de machines renommée H-6000.

Pas de balle en argent Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. « Pas de balle en argent » (traduction littérale de « No Silver Bullet » ) est une expression introduite en génie logiciel dans les années 1980 par Frederick Brooks lorsqu'il a publié No Silver Bullet — Essence and Accidents of Software Engineering. Brooks désigne ainsi l'ensemble des « techniques miracles » censées permettre magiquement d'augmenter la productivité des programmeurs et de diminuer la quantité de bugs dans les programmes produits, et ainsi de tuer le monstre redouté, le dépassement des délais, lors de la réalisation des projets informatiques. L'expression est un jeu de mots entre d'une part le fait que dans une présentation, les puces au début de chacune des phrases s'appellent en anglais bullet(s), d'autre part le fait qu'une balle d'argent est, dans les légendes, le seul projectile capable d'abattre un lycanthrope, et a donc le statut d'arme miraculeuse. Articles connexes[modifier | modifier le code] Portail de l’informatique

Ada (langage) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Ada. Ada est un langage de programmation orienté objet dont les premières versions remontent au début des années 1980. Ada[1] est un langage de programmation conçu par l’équipe de CII-Honeywell Bull dirigée par Jean Ichbiah en réponse à un cahier des charges établi par le département de la Défense des États-Unis (DoD). Ada 83 a été ensuite repris et amélioré au milieu des années 1990 pour donner Ada 95, le second langage objet normalisé de manière internationale (publié en février 1995, il est précédé de peu par Common Lisp, publié en décembre 1994). Le nom Ada a été choisi en l’honneur d’Ada Lovelace, sans doute la première informaticienne de l’histoire. Voici quelques particularités d’Ada : Il est souvent utilisé dans des systèmes temps réel et embarqués nécessitant un haut niveau de fiabilité et de sécurité. Un exemple courant pour montrer la syntaxe d’un langage est le programme Hello world :

Programmation par contrat Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Principe[modifier | modifier le code] Le principe est de préciser ce qui doit être vrai à un moment donné de l'exécution d'un programme. Il ne faut pas penser que ce paradigme oblige à réaliser des tests effectifs des règles pendant l'exécution : ces tests ne sont qu'une des façons de s'assurer que les règles sont respectées. Précondition : La condition qui doit être vérifiée par le client avant le lancement d'un traitement donné. Ces assertions sont écrites directement dans le code source du programme et permettent de fournir une documentation supplémentaire sur le sens que possède le code. Contexte[modifier | modifier le code] Mais, contrairement aux méthodes de preuves de programmes, on ne va pas chercher à montrer explicitement que la spécification est bien réalisée par le programme. Néanmoins on met souvent en place des mécanismes de tests des règles pendant l'exécution pour vérifier leur validité. Mais il est reconnu [Où ?]

Notation Z Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La notation Z est un langage de spécification utilisé pour décrire et modéliser les systèmes informatiques. Historique[modifier | modifier le code] La notation Z a été créée par J.R. En 1983, Delobel et Adiba utilisent la notation Z d'origine dans leur livre « Bases de données et systèmes relationnels » (Dunod). J.R. J.R. La première norme internationale (ISO) sur Z a été publiée en juillet 2002. Z en quelques mots[modifier | modifier le code] Une spécification en Z est un prédicat. Z par l'exemple[modifier | modifier le code] On utilise, quand c'est possible, la notation ASCII de B. Les ensembles de base[modifier | modifier le code] ETUDIANT et GROUPE sont des types de base (les SETS de B) Un schéma[modifier | modifier le code] Voici ce qu'en Z, on appelle des schémas : ______MaPetiteEcole______________ promo : POW (ETUDIANT) aPourGroupe : ETUDIANT + → GROUPE _________________ promo = dom (aPourGroupe)_____________________________________ etc.

Méthode B Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. On distingue : le B classique tel qu'il est défini dans le B Book de 1996[2]. L'outil logiciel de support est l'atelier B[3], ou le B-Toolkit [4].le B événementiel qui est une évolution utilisant uniquement la notion d'événements pour décrire les actions et non plus les opérations (qui sont proches des routines informatiques). Par conséquent, la méthode peut s'appliquer pour l'étude des systèmes de domaines variés, plus seulement à des programmes. On réalise alors des développements incrémentaux de systèmes prouvés. Vue d'un projet et d'une machine dans Click'n'Prove. Travail sur une preuve dans Click'n'Prove. Travail sur une preuve dans Rodin. Historique de B[modifier | modifier le code] Le langage B a été conçu par J.R.Abrial (un des principaux concepteurs de Z dans les années 80), avec le concours de G. B s'inscrit dans une longue filiation de recherches fondamentales : 1949 Alan M. Objectifs de B[modifier | modifier le code] ↑ JR.

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