background preloader

Psychopathie psychopathe psychiatrie adulte pathologie structure therapie symptome soin

Le crime d'amour-propre L’amour-propre n’est pas l’amour de soi ni le narcissisme, il s’agit d’une passion douloureuse dont les Moralistes depuis l’Antiquité [1] « Je suis, note Marc-Aurèle, souvent étonné de voir... [1] ont souligné l’étrange paradoxe de ne pouvoir tenir la nécessaire estime de soi que de la reconnaissance venue d’un autre. Je ne prendrai pas cette notion au sens où on a coutume de l’entendre depuis La Rochefoucauld qui en fait l’instrument d’une dénonciation de la pseudo oblativité en montrant que nos actions les plus désintéressées en apparence sont faites par souci de gloire personnelle [2] Je dois à E. Prado de Oliveira de m’avoir rappelé l’excellent... [2] . L’amour-propre ne se confond pas pour autant avec la vanité qui en dénonce la vacuité mais partage avec celle-ci une dépendance aliénante au regard et à l’opinion d’autrui, alors mis en position de détenir le pouvoir de valider ou de détruire l’amour de soi du sujet.

Le cerveau des psychopathes est différent -- La Science de l'Esprit Le cerveau des psychopathes est différent, selon une étude publiée dans le Journal of Neuroscience. Les résultats de cette étude, estiment les chercheurs, peuvent aider à expliquer le comportement antisocial insensible et impulsif manifesté par certains psychopathes. Les chercheurs en psychologie et en psychiatrie Joseph Newman et Michael Koenigs de l'Université de Wisconsin-Madison ont analysé, au moyen de deux différentes technologies d'imagerie cérébrale, les cerveaux de 20 prisonniers ayant reçu un diagnostic de psychopathie (trouble de personnalité antisociale) et 20 prisonniers ayant commis des crimes similaires mais n'ayant pas reçu ce diagnostic. Les images ont montré une quantité réduite de connexions entre le cortex préfrontal ventromédian, une partie du cerveau responsable de sentiments tels que l'empathie et la culpabilité, et l'amygdale, qui est impliquée dans la peur et l'anxiété.

Psychopathie - Mécanismes de Défenses du psychopathe Les théories cliniciennes psychanalytiques ont tenté de décrire la personalité psychopathique à partir des mécanismes de défense du Moi que ces psychopathes expriment. Selon ces théories, les psychopathes utilisent 3 principaux mécanismes : la tromperie, le déni et l'imitation. 1. La tromperie La tromperie est omniprésente dans le processus psychopathique. La tromperie du processus psychopathique est caractérisée par son intentionnalité et son orientation vers un but ainsi que par la facilité avec laquelle peuvent être changés aussi bien son contenu logique que son but, selon les besoins. La cible de la tromperie peut être un objet animé ou inanimé ; mais dans les deux cas, il appartient au sujet en tant qu’extension, à un niveau conceptuel de la structure grandiose du soi, et il est dépouillé de tous ses attributs à l’exception de ceux qui facilitent l’installation du cycle projection introjection. 2. Le déni est un processus inconscient. 3.

Interview : Stphane Bourgoin, spcialiste des Serial Killers - Le Journal qui pense ce qu'il crit ! A.S - Bonjour Stéphane, et merci de prendre un peu de temps pour répondre à nos questions. Votre voyage aux Etats-Unis s’est-il bien passé ? Stéphane Bourgoin - Oui oui, très bien. Même si aller là bas pour enquêter sur des serial killers, c’est autre chose que de faire du tourisme (rire). Je reviens toujours assez fatigué, car pendant mes face-à-face avec des tueurs en série, je suis très concentré, très attentif ; à ce que je veux réussir à leur faire dire, à ce qu’ils me confient, etc. (Un jeune homme entre, et achète un livre ; il demande à mon interlocuteur si Stéphane Bourgoin passe de temps en temps à la librairie. A.S - Depuis combien de temps étudiez-vous les serial killers ? S.B - Lorsque j’ai appris en 1978 que le meurtrier de ma compagne, assassinée, violée et mutilée deux ans plus tôt, était un serial killer, j’ai voulu comprendre. A.S. - Stéphane, pourquoi pensez-vous que tous ces tueurs en série acceptent de vous rencontrer ? S.B - (rire) Non, pas du tout.

tueursenserie.org D’où vient cette envie et pourquoi est-elle si forte ? Si nous ressentions cette envie, serions-nous capables d’y résister ? Est-ce génétique, hormonal, biologique ou cela est-il le fruit d’un conditionnement culturel ? "C’était une envie très forte... Les événements de l’enfance L’adoption en tant que contribution potentielle au comportement du tueur en série est intéressante parce qu’elle crée deux questions. David Berkowitz a été profondément blessé lorsque sa mère biologique, qu’il avait retrouvée, l’a repoussé. Selon les biographes de Bundy (Michaud et Aynesworth), la croissance émotionnelle de Ted Bundy a été bloquée après qu’il ait appris qu’il était un enfant illégitime, à 13 ans. « », a dit Bundy. Il va sans dire que l’adoption ne créé pas des tueurs en série. Certains tueurs en série affirment que l’exposition à des événements violents a enflammé leur soif de sang. Même des expériences réellement traumatisantes ne créent pas obligatoirement des tueurs en série. Le Dr.

Les "psychopathes" arrivent. Un adieu à "l'ère du narcissisme" / Götz Eisenberg En 2013, l’association américaine de psychiatrie publiera la 5ème édition de son manuel de diagnostic (Diagnostic and Statistical Manual of Mental Disorders) qui existe depuis 1952. Ce manuel a pour vocation de définir des critères universels pour décider à partir de quel moment un être humain doit être déclaré malade au niveau psychiatrique. La nouvelle publication à venir a déjà déclenché de vives polémiques. Ce manuel tente de fournir une approche objective aux problèmes psychiques, basée uniquement sur les symptômes, et de les imposer de manière universelle. L’objectif est d’assurer que quand on pose par exemple le diagnostic de «dépression» ou de «schizophrénie» on parle partout de la même chose. Le fait que le «trouble de la personnalité narcissique» soit retiré de la circulation peut être interprété comme le fait que les symptômes attribués à cette maladie sont devenus partie prenante de la normalité. Le marché comme vie intérieure L’homme flexible

L’écran du narcissisme En préambule, une petite vignette clinique qui m'a beaucoup amusé en préparant cette intervention. Un analysant, originaire d'un continent lointain, me faisait part l'autre jour d'une de ses petites blessures narcissiques auxquelles il se montre particulièrement intolérant. C'était un dimanche soir, tard, les enfants étaient couchés, il s'apprêtait à dormir. Il reçoit alors un coup de téléphone de sa famille, restée au pays, et rendez-vous est pris aussitôt pour converser sur le net de visu, via les Webcams, comme d'habitude. Le voilà donc tranmutté dans le salon de la demeure familiale, où par la grâce des décalages horaires, se termine le repas dominical, avec l'ensemble de la fratrie, leurs enfants, et tout le toutim. Si des mutations sont en cours dans le champ social, l'extraordinaire essor des technologies de l'information, des machines communicantes y participent. Alors, qu'en est-il de la subjectivité de l'homme hypermoderne confronté à cet écran global ? Share and Enjoy

Related: