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Les attentats à Paris révèlent les limites de Daesh

Les attentats à Paris révèlent les limites de Daesh
Photo FLORENCE, Italie — Comme l’a déclaré le Président François Hollande, la France est bien en guerre contre Daesh. La France considère le groupe Islamiste comme son ennemi numéro un. Elle le combat en première ligne avec les Américains au Moyen-Orient, et comme seule nation occidentale dans le Sahel. Vendredi soir la France en a payé le prix. Au Moyen-Orient, les principaux acteurs ont d’autres adversaires qui leur semblent plus importants. Le gouvernement turc est très clair : son ennemi principal c’est l’irrédentisme kurde. Les Kurdes, qu’ils soient syriens ou irakiens, ne cherchent pas à écraser Daesh, seulement à défendre leurs nouvelles frontières. Pour les Kurdes d’Irak, la menace principale c’est la reconstitution d’un état central fort à Bagdad, qui pourrait contester l’indépendance de fait dont jouit le Kurdistan irakien aujourd’hui. Les Chiites irakiens, malgré les pressions américaines, ne semblent pas prêts à mourir pour reprendre Fallouja. Continue reading the main story

« Monsieur le Président, vous êtes tombé dans le piège ! » David Van Reybrouck, d’expression néerlandaise, est l’auteur de nombreux ouvrages dont Congo, une histoire (Ed. Actes sud), pour lequel il a notamment reçu en 2012 le prix Médicis dans la catégorie « essai ». L’écrivain et historien interpelle le président français sur le champ lexical guerrier de son discours, samedi 14 novembre, lendemain des attentats qui ont endeuillé Paris. Et sur la surenchère que cela pourrait entraîner. Monsieur le Président, Le choix extraordinairement irréfléchi de la terminologie que vous avez utilisée dans votre discours de samedi après-midi [14 novembre 2015], où vous répétiez qu’il s’agissait d’un « crime de guerre » perpétré par « une armée terroriste » m’a interpellé. « Ce qui s’est produit hier à Paris et à Saint-Denis, près du Stade de France, est un acte de guerre et, face à la guerre, le pays doit prendre les décisions appropriées. Destabilisation de la région Les conséquences de ces paroles historiques sont connues. Et pourtant, que faites-vous ?

Financement de l'islamisme radical : un ex-chef de la DST met en cause le Qatar et l'Arabie saoudite L'ancien chef de la DST (Direction de la surveillance du territoire) Yves Bonnet a mis en cause, lundi 8 octobre, l'argent de la drogue, mais aussi celui de l'Arabie saoudite et du Qatar dans le financement de réseaux islamistes radicaux. Dans un entretien publié lundi par La Dépêche du Midi, M. Bonnet estime que ces réseaux posent la question du trafic de drogue, mais, selon lui, "il y aussi le problème de l'argent qui est alloué par des pays salafistes". Les projets du Qatar en France suscitent des interrogations dans la classe politique. >> Lire : "Fonds qatari pour les banlieues : Ciotti inquiet" >> Lire : "Le fonds du Qatar en France suscite de plus en plus de réserves à droite" Une cellule islamiste radicale a été démantelée samedi et l'un de ses membres, un Français de 33 ans de la communauté antillaise, a été tué à Strasbourg après avoir ouvert le feu sur des policiers venus l'interpeller.

de Villepin à propos de l'Etat islamique : 6 minutes d'intelligence et de lucidité - vidéo Dailymotion Tony Blair présente "des excuses" pour l'invasion de l'Irak et reconnaît une responsabilité dans la montée du groupe État islamique par Eléanor Douet Plus de douze ans après le début de l'invasion de l'Irak, l'ex-Premier ministre britannique Tony Blair a présenté "des excuses" pour cette intervention en 2003, durant laquelle il fut le principal allié de George W. Bush, dans une interview à la chaîne américaine CNN, qui doit être diffusée lundi 26 octobre. Face à Farid Zakaria, commentateur en faveur de l'invasion américaine à l'époque, avant de basculer du côté des opposants, Tony Blair reconnaît également une part de responsabilité dans la montée actuelle de l'organisation État islamique (EI) en Irak et en Syrie voisine. "Je présente des excuses pour le fait que le renseignement était faux.

Quand Matteo Renzi lance la rébellion contre l’Allemagne dont l’Europe a besoin... dans l’indifférence absolue de la France de François Hollande Atlantico : Dans une interview donnée au Financial Times, Matteo Renzi salue les résultats économiques de l’administration Obama, notamment en les comparants à la déception en termes de croissance et d’emplois en Europe. Le modèle américain est-il applicable en Europe ? Quels sont les freins existants à sa mise en application ? Nicolas Goetzmann : Il est déjà utile de saluer la perspective prise par Matteo Renzi. La pertinence de cette approche repose sur un fait simple, l’Europe, comme les Etats Unis, fonctionne avec une seule Banque centrale. Quant à l’application de ce modèle au continent européen, il ne s’agit que d’un choix politique. « Maintenant, il s’agit d’une nouvelle Italie qui est en mesure de dire ce qu’elle pense de l’Europe ». Cela est malheureux pour la France, mais Matteo Renzi cherche simplement à remplir le vide laissé par François Hollande. atlantico sur facebook notre compte twitter Ajouter au classeurSuivre ce contributeurLecture zen Intéressé par cet auteur ?

Comment Michel Onfray est devenu la caution intellectuelle de Daech Lorsque son Traité d'athéologie est paru en 2005, Michel Onfray devait être loin de penser que, dix ans plus tard, il deviendrait la coqueluche du groupe sunnite djihadiste Daech. Et pourtant, c'est bien ce qu'il s'est passé. Ce vendredi 21 novembre, il est apparu dans une vidéo de propagande du groupe Etat Islamique. Ce n'était pas la première fois que Michel Onfray tenait de tels propos. "Onfray reprend mot pour mot le discours de l'EI" On comprend donc mieux pourquoi le philosophe bénéficie d'une certaine popularité dans les rangs des Français de l'EI, malgré son statut de "mécréant". Lors d'une interview sur France Inter le 16 novembre, David Thomson expliquait d'ailleurs que Onfray était en train de devenir une des "coqueluches" de l'EI. "Les djihadistes avaient raison d'appliquer la charia" Comme le rappelait France 24, la renommée d'Onfray dans les milieux djihadistes n'est pas récente.

En fait, les terroristes de Daech sont des trolls pianistes… - Extension du domaine du jeu Quand j’étais petit, les pubs me dictaient l’image de la famille parfaite : souriante, unie et aimante, par des après-midi ensoleillées, partageant un moment ensemble. Mais si j’ai eu une enfance merveilleuse, les moments que nous partagions n’étaient pas ceux des pubs : c’était le dîner, les promenades, la lecture… Moi je voulais jouer à des jeux de société où on a l’air de s’amuser comme des petits fous ! Mais ma mère ne voulait pas, elle n’aime pas les jeux de société. Alors je faisais des crises d’enfant, je cassais les nouilles à tout le monde pour jouer, j’insistais et le truc qui marchait super bien c’était de provoquer : « Je parie que je te bats au 1000 bornes ! Boîte du jeu de plateau « LIFE » Une autre victoire Si vous taquinez assez longtemps votre cousin, il finit par se dire que ça prendra moins d’efforts de vous botter le train que d’argumenter sans fin et hop, on joue. Pourquoi les troll ? De même, les trolls ne sont pas là pour gagner. « U mad bro » (t’es vénère mec ?)

Etats-Unis . Pourquoi Donald Trump est dangereux “Washington, nous avons un problème”, titre The Economist. Ce problème, symbolisé par ses cheveux qui atterrissent sur la Maison-Blanche, c’est Donald Trump, le milliardaire américain actuellement en campagne pour la primaire républicaine à l’élection présidentielle de 2016. Pour l’hebdomadaire britannique, le candidat outsider, spécialiste des polémiques faciles et connu pour sa rhétorique raciste, est “très dangereux”. Le journal évoque d’autres populistes de l’histoire américaine, tel Pat Buchanan en 1996. The Economist prévient qu’il faut prendre Donald Trump au sérieux, car il représente une menace bien plus grande que ses prédecesseurs. “Son impolitesse semble un signe d’authenticité – celle d’un leader qui peut focaliser la rage de ceux qui se sentent trahis par l’élite ou laissés pour compte des avancées sociales.

Les 5 plus gros vendeurs d'armes dans le monde Chine, Etats-Unis, France, Royaume-Uni et Russie sont les plus gros vendeurs d’armes dans le monde. Qui sont leurs principaux clients ? Et comment vendent-ils leurs armes ? Les États-Unis sont, de loin, le plus gros exportateur d’armes au monde. ils sont à l'origine d'environ 30 % des transferts d'armes classiques (en valeur). Principaux clients : Les États-Unis fournissent des armes à plus de 170 pays. Transferts irresponsables : Les États-Unis sont le principal fournisseur d’armes de l’Égypte et d'Israël, à qui ils vendent des armes lourdes ainsi que des armes de petit calibre, des munitions et des agents chimiques antiémeutes, malgré la répression violente menée contre les manifestants. La Russie est le deuxième plus gros vendeur d’armes au monde en termes de valeur des exportations. Principaux clients : L'Inde, la Syrie, l'Algérie, le Myanmar, le Venezuela, le Soudan et de nombreux autres pays d’Afrique. Transferts irresponsables : Principaux clients : Principaux clients :

Lawrence Lessig, l’icône geek qui veut être candidat à la présidentielle américaine A 54 ans, cet intellectuel spécialiste d’Internet envisage de se présenter à la primaire démocrate pour s'attaquer à la corruption dans la politique américaine. Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Martin Untersinger Lawrence Lessig aurait pu se satisfaire du parcours tout tracé auquel ses diplômes le destinaient : après des études en droit dans les prestigieuses universités de Pennsylvanie, de Cambridge (en Angleterre) et Yale, il a enseigné à l’université de Chicago puis assisté le juge de la Cour suprême Antonin Scalia. Mais après avoir, il y a quelques mois, traversé le New Hampshire à pied en plein mois de janvier – température moyenne : -6 °C – ce juriste et intellectuel américain de 54 ans a choisi d’envisager une candidature à la primaire démocrate avant l’élection américaine de 2016. Quel rapport ? Son combat, entamé en 2007, contre la corruption en politique. Universitaire respecté La plupart des Américains n’ont jamais croisé ses indéboulonnables petites lunettes rondes.

Thomas Piketty : « Le choc Sanders » Le Monde | • Mis à jour le | Par Thomas Piketty (Directeur d’études à l’Ecole des hautes études en sciences sociales, Ecole d’économie de Paris) Comment interpréter l’incroyable succès du « socialiste » Bernie Sanders aux primaires américaines ? Le sénateur du Vermont devance désormais Hillary Clinton parmi l’ensemble des sympathisants démocrates de moins de 50 ans, et seuls les seniors permettent à Hillary de maintenir l’avantage. Revenons en arrière. De 1930 à 1980, pendant un demi-siècle, le taux applicable aux revenus américains les plus élevés (supérieurs à 1 million de dollars par an) est en moyenne de 82 %, avec des pointes à 91 % des années 1940 aux années 1960, de Roosevelt à Kennedy, et toujours 70 % lors de l’élection de Reagan en 1980. Cette politique n’affecte en rien la vigoureuse croissance américaine de l’après-guerre, sans doute parce que cela ne sert pas à grand-chose de payer des super-managers 10 millions de dollars plutôt que 1. Capitalisme mythique

Oui, Alain Juppé a changé: il est pire qu’avant Une part substantielle de l’électorat de gauche envisage de participer à la primaire de droite prévue cet automne afin de voter pour Alain Juppé, et certains sympathisants de gauche semblent même envisager de voter pour lui lors de l’élection présidentielle de 2017. Venant d’électeurs de gauche, même modérés, même sociaux-libéraux, c’est d’autant plus surprenant que l’Alain Juppé de 2016 a empiré par rapport à celui de 1995. Voici pourquoi. 1.Il cherche à minimiser son passé clientéliste et népotiste De 1983 à 1995, alors qu’il était à la fois secrétaire général du RPR (l’ancêtre du parti Les Républicains) et maire adjoint de Paris en charge des finances, il a pris une part active à un système illégal visant à financer des emplois au RPR avec l’argent de la mairie et avec l’argent d’entreprises désireuses de passer des contrats de marchés publics avec la Ville. «Alain-Juppé-a-payé-pour-Chirac»: c’est un refrain bien connu. Tout cela remonte à plus de vingt ans. CQFD.

Hillary Emails Reveal True Motive for Libya Intervention The New Year’s Eve release of over 3,000 new Hillary Clinton emails from the State Department has CNN abuzz over gossipy text messages, the “who gets to ride with Hillary” selection process set up by her staff, and how a “cute” Hillary photo fared on Facebook. But historians of the 2011 NATO war in Libya will be sure to notice a few of the truly explosive confirmations contained in the new emails: admissions of rebel war crimes, special ops trainers inside Libya from nearly the start of protests, Al Qaeda embedded in the U.S. backed opposition, Western nations jockeying for access to Libyan oil, the nefarious origins of the absurd Viagra mass rape claim, and concern over Gaddafi’s gold and silver reserves threatening European currency. Hillary’s Death Squads Under attack from allied Air and Naval forces, the Libyan Army troops have begun to desert to the rebel side in increasing numbers. Al-Qaeda and Western Special Forces Inside Libya The Threat of Libya’s Oil and Gold to French Interests

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