background preloader

ARTE Documentaire 2015 Daech Naissance d'un État terroriste

ARTE Documentaire 2015 Daech Naissance d'un État terroriste
Related:  Politique & géopolitique

Rafale, hélicoptères, blindés… la France n’a jamais vendu autant d’armes qu'en 2015 Le Koweït a signé deux accords d’achat d'armements à la France pour une valeur de 2,5 milliards d’euros, qui comprennent 24 hélicoptères d'Airbus, des véhicules blindés légers et diverses prestations sur ses bateaux patrouilleurs P37. Des contrats qui font grimper les compteurs pour les industriels de la défense. La France, moribonde ? En tout cas, certainement pas dans le domaine de l’armement, grâce au succès du Rafale à l’export en 2015, mais pas seulement. Si la Direction Générale de l'Armement (DGA) ne dévoile pas l'ensemble des transactions pour des raisons de confidentialité, le total des ventes d’armes françaises cette année dépasserait désormais la barre des 18 milliards d'euros, selon nos estimations. A l'origine de ce boom des exportations d'armes : l'exacerbation des tensions mondiales ainsi que le volontarisme du gouvernement et notamment de son ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian. > Rafale, frégate et missiles > Hélicoptères > Véhicules terrestres et blindés

Un "nouveau Snowden" révèle le programme de drones tueurs américains Un lanceur d’alerte de l’armée américaine a fourni à The Intercept des informations détaillées sur le programme de drones du Pentagone. Vue d’artiste d’un drone Predator de l’armée américaine en action. The Intercept les a baptisés les “Drone Papers”. Des documents, transmis au magazine en ligne d’investigation par un (nouveau) lanceur d’alerte au sein même de l’armée américaine, qui détaillent par le menu les exactions commises du Yémen à la Somalie par l’administration Obama dans le cadre du programme d’assassinats par drones, entre 2011 et 2013. Joint à cette manne de données confidentielles, disponible sur le site et accompagnée d’un indispensable glossaire, The Intercept - journal co-fondé par Glenn Greenwald, le journaliste responsable des “Pentagon Papers” d’Edward Snowden, et Laura Poitras, réalisatrice du documentaire Citizenfour - a également reçu un texte de leur anonyme informateur. La signature d’Obama derrière chaque mission Derrière les cibles, des informations peu fiables

Pourquoi tous ces coups d’Etat en Afrique ?, par Pierre Franklin Tavares (Le Monde diplomatique, janvier 2004) Coups d’Etat en Guinée-Bissau (septembre 2003) et à Sao-Tomé- et-Principe (juillet 2003), tentatives de putsch au Burkina Faso et en Mauritanie (octobre 2003), renversement de M. Charles Taylor par une rébellion au Liberia (août 2003), remous politiques au Sénégal (année 2003), déstabilisation de la Côte d’Ivoire (depuis septembre 2002)… l’Afrique de l’Ouest semble s’être durablement installée dans la crise politique. Et si certains pays y échappent, parmi lesquels le Cap-Vert, le Ghana et le Mali, pour combien de temps seront-ils à l’abri des secousses ? Au total, l’Afrique de l’Ouest se trouve au bord de l’effondrement général. Les crises actuelles apparaissent d’une tout autre nature que celles qui affectaient les Etats africains dans les années qui ont suivi les indépendances. Tous les indicateurs macroéconomiques, sociaux et sanitaires se sont dégradés depuis les années 1980, éradiquant les classes moyennes et suscitant de profondes tensions sociales. Une recolonisation civile

« La victoire de Jeremy Corbyn serait un séisme politique » Contrairement à beaucoup de dirigeants réformistes européens acquis au néolibéralisme, Jeremy Corbyn est un authentique social-démocrate, dans la tradition de la 1e Internationale. Membre du Labour party depuis ses plus jeunes années, il n’a jamais été ni membre d’une organisation de la gauche radicale, ni trotskiste. Son élection à la tête du parti constituerait un séisme politique. Propos recueillis par Nathanaël Uhl et publiés sur le site Grey Britain le 25 août 2015 : Le leadership pour le Labour Party rentre dans sa dernière phase avec le vote des adhérents. A mon sens, si Corbyn est élu, ce serait potentiellement plus important que la victoire électorale de Syriza en Grèce, au printemps dernier. En quoi la victoire de la gauche travailliste peut-elle ouvrir un espace original ? D’abord, il y a le profil politique de Jeremy Corbyn lui-même. C’est exact.

WikiLeaks révèle les câbles secrets de la diplomatie saoudienne WikiLeaks a commencé la publication de plus d’un demi-million de documents piratés du ministère saoudien des Affaires étrangères. Un total de 61 000 documents en arabe sont déjà en ligne, une riche mine d’informations sur les correspondances en coulisses dans les allées du pouvoir du royaume. Les Saoudiens ont reçu l’avertissement de ne pas fourrer leur nez dans ces documents, de ne pas les diffuser ni de croire en leur contenu. « Une dictature de plus en plus secrète » Le déballage, baptisé « câbles saoudiens », révèle les communications secrètes des ambassades saoudiennes, ainsi que des notes « top secret » d’autres institutions étatiques saoudiennes, comme le ministère de l’Intérieur et les Services de renseignements généraux du royaume, indique un communiqué de presse du site de lanceurs d’alertes : Julian Assange, la figure emblématique de WikiLeaks, a déclaré : Les documents d’« ennemis de l’Etat » Le second, quelques minutes plus tard, se veut plus explicite :

La « guerre mondiale contre le terrorisme » a tué au moins 1,3 million de civils « Je crois que la perception causée par les pertes civiles constitue l’un des plus dangereux ennemis auxquels nous sommes confrontés », déclarait en juin 2009 le général états-unien Stanley McCrystal, lors de son discours inaugural comme commandant de la Force internationale d’assistance à la sécurité en Afghanistan (ISAF). Cette phrase, mise en exergue du rapport tout juste publié par l’Association internationale des médecins pour la prévention de la guerre nucléaire (IP- PNW), lauréate du prix Nobel de la paix en 1985, illustre l’importance et l’impact potentiel du travail effectué par cette équipe de scientifiques qui tente d’établir un décompte des victimes civiles de la « guerre contre le terrorisme » en Irak, en Afghanistan et au Pakistan. PENDANT CE TEMPS-LÀ, EN IRAK, EN AFGHANISTAN, AU PAKISTAN...

Les mystères du crash d’Ustica, par Andrea Purgatori (Le Monde diplomatique, juillet 2014) Il est 20 h 08, le 27 juin 1980, lorsque le DC-9 de la compagnie Itavia (1) quitte Bologne avec cent treize minutes de retard. A son bord, les quatre membres d’équipage et soixante-dix-sept passagers, dont treize enfants. Une fois dépassée la chaîne des Apennins, il emprunte le couloir aérien Ambra 13, qui, en survolant la mer Tyrrhénienne, mène à Palerme, sa destination finale. Visibilité parfaite et communications de routine. Mais, à 20 h 59, sur l’enregistrement vocal, on entend le commandant s’adresser subitement à son second. S’engage alors une partie de poker dont les cartes sont manipulées par les gouvernements, les autorités militaires et les services secrets de quatre pays (l’Italie, la France, les Etats-Unis et la Libye). Carte de Cécile Marin En 2013, deux jugements en responsabilité civile de la Cour de cassation italienne ont attribué l’explosion à un missile air-air, sans identifier la nationalité de l’avion de chasse qui l’aurait lancé. Un climat de tension avec Kadhafi

"Le vote n’est pas une parole. En aucun sens." Lundimatin : Par le passé, vous distinguiez la politique (au sens de politique-politicienne) et le politique (comme sphère intégrée à la vie). Il semble que vous soyez récemment revenu sur cette distinction. Par quelle chemin proposez-vous de sortir de cette alternative ? Jean-Luc Nancy : Pourquoi ? Je ne propose pas de sortir de l’alternative, mais de mettre à plat la question : entre une idée de la cité (polis) et une technique de gouvernement (archie ou cratie) faut-il évacuer les deux ? LM : Vous dites aussi qu’il y a encore besoin de la politique, qu’entendez-vous par là ? JLN : Oui, la sphère de la justice et du pouvoir – le « et » fortement conjonctif autant que possible – car cette sphère au moins a un sens précis : elle doit endiguer la mafia, qu’on pourrait aussi nommer le féodalisme (mais sans serment ni allégeance de nature sacrée) ou bien le règne des bandes. LM : Cette question est à relier avec les élections. JLN : Excellente question ! LM : À la question « Que faire ?

ZEjournal.mobi - Après la victoire du président Evo Morales : Prodigieuse métamorphose de la Bolivie Auteur : Ignacio Ramonet | Editeur : Walt | Lundi, 03 Nov. 2014 - 04h17 Pour le voyageur qui revient en Bolivie après quelques années d’absence, et qui marche doucement dans les rues étroites de La Paz, ville balafrée par des ravins escarpés à presque quatre mille mètres d’altitude, les changements sautent aux yeux : on ne voit plus de mendiants, ni de vendeurs informels qui remplissaient les trottoirs. Les gens s’habillent mieux, ils ont un air plus sain. Et l’aspect général de la capitale apparaît plus soigné, plus propre, avec de multiples espaces verts. Mais le plus spectaculaire ce sont les téléphériques urbains d’une extraordinaire technologie futuriste, qui maintiennent au-dessus de la ville un ballet permanent de cabines colorées, élégantes et éthérées comme des bulles de savon. « La Bolivie change. Relativement peu peuplée (quelques dix millions d’habitants), la Bolivie a une superficie de plus d’un million de kilomètres carrés (deux fois la France). Et maintenant ?

Evo Morales has proved that socialism doesn’t damage economies | Ellie Mae O’Hagan The socialist Evo Morales, who yesterday was re-elected to serve a third term as president of Bolivia, has long been cast as a figure of fun by the media in the global north. Much like the now deceased Hugo Chávez, Morales is often depicted as a buffoonish populist whose flamboyant denouncements of the United States belie his incompetence. And so, reports of his landslide win inevitably focused on his announcement that it was “a victory for anti-imperialism”, as though anti-US sentiment is the only thing Morales has given to Bolivia in his eight years in government. According to a report by the Centre for Economic and Policy Research (CEPR) in Washington, “Bolivia has grown much faster over the last eight years than in any period over the past three and a half decades.” Having said this, it would be dishonest to argue that Morales’s tenure has been perfect. Earlier this year the Bolivian government drew criticism from human rights groups for reducing the legal working age to 10.

Related: