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Les hommages dessinés de nos lecteurs

Les hommages dessinés de nos lecteurs

EN IMAGES. Les attentats de Paris à la une des journaux du monde entier Par Bastien Hugues Mis à jour le , publié le "Carnages à Paris", "La guerre en plein Paris", "L'horreur", "Paris en sang", "Le carnage", "Massacre in Paris", "Terror en Paris"… Les attaques perpétrées vendredi 13 novembre à Paris, dans laquelle au moins 127 personnes ont trouvé la mort et 180 ont été blessées, sont à la une de la presse du monde entier, samedi. >> Suivez la situation minute par minute dans notre direct Des quotidiens nationaux et régionaux français aux journaux américains, britanniques, espagnols, turcs, italiens, hollandais… Francetv info a compilé dans l'image ci-dessous plusieurs dizaines de ces unes.

Attentats de Paris : Comment réagir face aux questions des enfants ? 14 novembre 2015 Les attentats que nous connaissons depuis hier, 13 novembre, nous choquent tous. Nous vous proposons, parents, adultes, de relire cette interview de la pédopsychiatre Catherine Jousselme qui, au moment des attentats de janvier 2015, nous expliquait comment les enfants réagissent à des évènements violents de ce type et comment nous pouvons leur en parler. Les enfants, petits et grands, qu’ils aient été confrontés à l’information directement ou pas, ressentent cette atmosphère et nos sentiments très vifs. Il faut leur expliquer ce qui s’est passé : un attentat, des morts, des gens qui ne veulent pas qu'on exprime librement ses idées. Avec un petit de moins de 6 ans, Catherine Jousselme conseille de ne pas montrer d’images et d’en rester à l’information de base. Les enfants plus grands, jusqu’à 10 ou 11 ans, doivent pouvoir en parler. Cependant les enfants ne réagissent pas tous de la même façon et certains seront plus touchés que d’autres malgré l’attention des parents.

Actualités - Savoir accueillir la parole des élèves après les attentats terroristes en Ile-de-France Comment organiser le dialogue avec les élèves le lundi 16 novembre ? En solidarité avec les victimes et leurs familles, le Président de la République a demandé qu'une minute de silence soit organisée le lundi 16 novembre 2015. Il appartient au directeur d'école et au chef d'établissement d'organiser un temps de regroupement des élèves dans les classes ou la cour de l'école et de l'établissement pour ce moment de recueillement individuel et collectif dans cette journée. Pour accompagner au mieux le moment de recueillement, il convient donc de faire en sorte de répondre favorablement, dans un premier temps, aux besoins, interrogations ou demandes d'expression qui pourraient avoir lieu dans les classes par des élèves très jeunes et des adolescents. C'est à ces conditions qu'une minute de silence sera faite avec les élèves, en signe de recueillement collectif, ou de réflexion personnelle silencieuse sur la gravité des faits qui se sont déroulés dans Paris et en Seine-Saint-Denis vendredi.

“Pour empêcher le risque de la logique guerrière : la citoyenneté terrienne" Acteur du mouvement altermondialiste, penseur des nouveaux indicateurs de richesse, analyste de la psychologie collective, Patrick Viveret pose un regard original sur les tourments du monde. Nous l’avons rencontré dimanche, à Paris, à l’orée d’une marche historique. Reporterre - Pourquoi avez-vous participé au rassemblement d’hier ? J’ai participé à la manifestation citoyenne pour la liberté, la fraternité et contre les logiques meurtrières. La récupération de cette marche par les partis politiques, ou la présence de chefs de gouvernement connus pour leurs atteintes à la liberté, ne vous a-t-elle pas fait hésiter ? J’ai des amis qui n’ont pas participé à la manifestation parisienne, parce que c’est sur Paris que le problème se pose surtout. Je comprends la position de non participation, car cela fait partie de l’exigence de la pratique de la liberté et de la qualité démocratique de se comprendre, même quand on a des choix différents. Peut-on parler d’unité nationale, d’unité républicaine ?

Il y a des actes barbares, il n’y a pas de Barbares Ce texte a déjà été publié sur Reporterre le 20 mars dernier. Au lendemain des terribles attentats qui se sont déroulés à Paris le 13 novembre au soir, et qui ont provoqué la mort d’au moins 128 personnes, nous le republions, dans l’émotion, et dans la réflexion. Patrick Viveret A menace globale il faut une riposte globale, déclare un responsable tunisien après les attentats de Tunis venant après ceux de Paris, de Copenhague, de Tunis... La première est celle de la guerre de civilisation théorisée il y a quelques années par le penseur conservateur américain Samuel Huntington. Cette logique, si elle s’imposait aujourd’hui en Europe, nous mènerait droit vers des régressions comparables ou même pires et pourrait devenir source de guerre civile, ce qui signerait d’ailleurs la victoire de la logique terroriste dont c’est l’objectif à terme. Il y a des actes barbares, il n’y a pas de Barbares Simple nuance de vocabulaire dira-t-on ? La logique du conflit est toute autre.

Attentats de Paris : en quoi consiste le deuil national de trois jours décrété par François Hollande ? Par Camille Caldini Mis à jour le , publié le François Hollande a décrété trois jours de deuil national, au lendemain des attentats qui ont fait au moins 129 morts et 352 blessés, à Paris, vendredi. Selon le décret publié dimanche 15 novembre au Journal officiel (JO) numéro 0265, "les 15 novembre, 16 novembre et 17 novembre 2015 sont déclarés jours de deuil national en hommage aux victimes des attentats commis à Paris le 13 novembre 2015". >> Suivez en direct les dernières informations sur l'enquête Comment est-il décidé ? Le deuil national est une décision prise par décret, signé par le chef de l'Etat. Quelles sont les conséquences ? C'est la seule modalité un peu précise : les drapeaux sont mis en berne et hissés à mi-mât sur les édifices publics, pour toute la durée du deuil national. Est-ce une première en France ? Oui, c'est la première fois en France qu'une période de deuil national s'étend sur trois jours.

Attentats à Paris - Charlie Hebdo : que dire aux enfants Comment gérer un tel évènement lorsque l’on est parent ? Claude Halmos : Il n’y a pas à gérer quoi que ce soit. On ne gère pas le fait d’être bouleversé. On l’est, c’est normal de l’être et on ne peut pas faire semblant. Une fois que cela est dit, que faire ? Il est selon moi très important que tous les parents parlent avec leurs enfants, dès la maternelle. Comment leur expliquer ? Les enfants sentent l’angoisse des adultes. Il faut lui raconter les faits, le plus sobrement possible, en évitant les détails et tout ce qui pourrait prêter à encore plus d’images effrayantes que l’enfant se fabriquerait. Comment apaiser leur inquiétude une fois que les évènements sont expliqués ? En leur expliquant deux choses. La deuxième chose, c’est de leur expliquer la mission des forces de police, le renforcement du plan Vigipirate.

Primaire : Agnès Florin : Que faire lundi matin ? Que faire dans sa classe lundi matin après les fusillades parisiennes ? Professeure de psychologie, spécialiste de l'école maternelle, Agnès Florin invite à laisser s'exprimer les enfants et à donner toute sa place au sens du collectif. Lundi matin, les enseignants vont se retrouver à l'école face aux enfants. Quels conseils leur donner ? Beaucoup d'enfants ont entendu parler des attentats. Pour les enfants sans lien particulier avec les événements, il est important de leur donner la possibilité d'exprimer ce qu'ils appris ou vu à la télévision. Evitons de parler à leur place, de leur donner des explications ou des descriptions. Cet échange peut passer par la parole. Après cette expression, le rôle du maitre c'est aussi de rassurer. Il y a aussi des enfants qui ont vu ou entendu directement des choses parce qu'ils vivent dans les quartiers où les attentats ont eu lieu, ou qui ont été concernés par leurs proches. Pour eux il est important de s'exprimer.

Attentats à Paris: il faut parler de "guerre" aux enfants. Cacher la vérité est une erreur Des secours devant le bar le Carillon, théâtre de l'un des attentats meurtriers à Paris le 13 novembre 2015. (Jacques Brinon/AP/SIPA) Les attentats simultanés qui viennent de se produire à Paris sont d’une immense gravité. Comme pour ceux de janvier, il va falloir les expliquer à nos enfants et ne pas leur cacher la vérité. Prononcer le mot "guerre" Il est extrêmement important de sortir du déni de la gravité du drame. Il est violent de parler de "guerre" mais il est encore plus violent de le taire. Expliquer pourquoi on a peur Si le discours des parents reste édulcoré, les enfants ne comprendront pas pourquoi les adultes sont angoissés, pourquoi le foot du samedi est annulé, pourquoi la sortie à Disney n’a pas lieu. Une fois que l’on explique ce qu’il se passe, on peut mettre des dispositifs en place et gérer le traumatisme. Apprendre à vivre avec Il est urgent d’éduquer les enfants, comme les adultes, à vivre avec la peur. Or si on veut contrôler la peur, il faut pouvoir l’anticiper.

Rassurer, consoler puis réfléchir : comment parler des attentats aux enfants? • Dans la tête des enfants Comment en parler aux enfants? Comment leur transmettre les valeurs de tolérance, de respect, comment développer l'esprit critique, ouvrir à la culture, à la pensée, à l'humour, à l'empathie... Comment par l'éducation éviter ces horreurs?.. Pas de solution miracle mais gardons au cœur la foi laïque qui doit animer chaque parent, chaque enseignant, chaque éducateur : Donnons la parole aux enfants, trouvons les mots justes, apprenons leur à réfléchir, à s'écouter, à débattre, aiguisons leur esprit critique, transmettons sans relâche les Humanités, les Arts, les Cultures... Bien sûr le lendemain des attentats, il faut consoler, rassurer les enfants avec des mots simples et justes : leur dire que le mal existe malheureusement, mais que nous pouvons le combattre, que les adultes sont là pour les protéger, qu'à la maison ou à l'école ils ne risquent rien, que ces événements sont très rares. Tomi UNGERER, Jean de la lune, L’école des Loisirs. RASCAL, Coté cœur, L’école des loisirs. D.

Attentats à Paris : comment en parler aux enfants ? Le Monde.fr | • Mis à jour le | Propos recueillis par Mattea Battaglia Une fin chaotique de match de football, des scènes d’émotion, des institutions fermées… Autant de manières par lesquelles les enfants ont été touchés par les attentats de vendredi soir. Jean-Luc Aubert, psychologue, spécialiste de l’enfant et de l’adolescent, donne des pistes aux parents sur la manière d’aborder la question en famille. » Suivez la situation en direct Tous les foyers se sont réveillés, ce matin, partagés entre sidération et angoisse. Plus qu’à l’événement en lui-même, les enfants sont réceptifs à l’angoisse de leurs proches. En parler simplement, d’accord, mais avec quels mots ? Il est préférable, auprès des plus jeunes, de rester simple, de résumer les principaux faits : « Il y a eu des attentats à Paris, avec des morts. » Avant l’âge de l’école primaire, il est inutile d’en dire plus. Les enfants posent des questions auxquelles, souvent, les parents n’ont pas de réponse.

Attentats du 13 novembre: Comment expliquer le terrorisme aux enfants? - L'Express Styles Presque un an après les attentats de Charlie Hebdo et la prise d'otages dans une épicerie casher à Porte de Vincennes, la France est de nouveau en proie aux attaques terroristes. Une série d'attaques simultanées a fait ce vendredi 13 novembre plusieurs dizaines de morts à Paris, ainsi qu'autour du stade de France, où avait lieu le match France-Allemagne. Couvert par les médias, le sujet sensible du terrorisme nécessite d'être abordé pour contenir l'éventuelle inquiétude qu'il provoque et limiter son impact dans les foyers français. Comment aborder la question en famille, alors que l'état d'urgence a été déclaré? Eléments de réponse. Répondre à toutes les questions "Le dialogue est la clé", assure Anne Bacus, psychologue clinicienne spécialiste de la famille. Evitez cependant d'édulcorer la vérité. Le choc des images Difficile d'y échapper. >>> A lire aussi: Attentats terroristes, comment ne pas céder à la psychose? Continuer à vivre normalement La peur du terrorisme est en chacun de nous.

Attentats à Paris : non, tout n'est pas fiable sur les réseaux sociaux Après les attaques meurtrières qui se sont déroulées à Paris et à Saint-Denis, de nombreuses rumeurs et fausses informations ont commencé à circuler sur les réseaux sociaux. La préfecture de police de Paris a appelé à "ne pas diffuser de fausses informations". Le gouvernement a même mis en place un guide de bonne conduite sur les réseaux sociaux en situation d'urgence. Non, ce ne sont pas les terroristes Dès les premières fusillades, un portrait commence à circuler sur Instagram et Twitter montrant une personne présentée comme l'un des assaillants. La photo circule abondamment sur les réseaux sociaux, en pleine prise d'otages au Bataclan, alors même que les forces de l'ordre n'ont pas communiqué sur l'identité des terroristes. Une seconde photo circule à partir de samedi sur les réseaux sociaux, montrant un homme avec un gilet pare-balles et un coran à la main. Non, quatre policiers n'ont pas été tués Non, les terroristes n'ont pas été tués à Bagnolet Non, ce n'est pas le Bataclan #Paris.

Attaques à Paris : les rumeurs et les intox qui circulent Dans le sillage des fusillades à Paris et en région parisienne, de nombreuses réactions de soutien ont émergé sur les réseaux sociaux, mais aussi des rumeurs et de fausses informations. Le gouvernement a mis en garde contre la propagation de ces rumeurs et édité un guide de bonne conduite, les #MSGU, ou pratique des Médias sociaux en gestion d’urgence. Voici les principales, ainsi que l’explication de leur caractère erroné. 1. Des chaînes d’information et quelques sites ont diffusé durant la nuit une information erronée évoquant quatre policiers tués en neutralisant les assaillants au Bataclan, qui s’est répandue très rapidement. En revanche, un policier en civil, qui n’était pas en service, a été tué rue de Charonne. 2. D’autres médias ont pu donner des informations non avérées, comme dans ce tweet, très relayé. Suivi - 7 lieux d'attaques confirmés : - Bataclan - République - Les Halles - Trocadéro - St de France - Belleville - Paris X— LesNews (@LesNews) 3. 4. Or il n’en est rien. 5. 6.

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